Clin d'œil à Harry Gruyaert (MAJ 2019)

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Merci de ton retour, cerise

Oui, en effet, c'est tout à fait stimulant, non seulement d'avoir un avis favorable de la part d'un photographe aussi reconnu, mais aussi simplement d'échanger avec quelqu'un qui a tant d'expérience et qui a consacré sa vie à son art On a l'impression de voir mieux…

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MAJ.
Dans l'esprit du récent album Roots de Gruyaert : jeu de couleurs dans la rue Hoche à Grenoble, un soir de la semaine dernière :

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Dans le même esprit, avec les teintes assourdies mais complémentaires qu'on trouve fréquemment dans l'album Roots (épicerie Arax, rue Turenne, Grenoble) :

[cerise]

Le jeu de couleurs est très bien vu
L'environnement des scènes moins agréable que tes autres essais me laisse un peu sur ma faim même si j'entends le parti pris fort réussi par aillleurs.

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Merci pour ton retour, cerise.

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Bon, ça n'intéresse une nouvelle fois personne, mais je continue quand-même, pour l'amour de l'art

N° 4, pour célébrer les autos jaunes qu'affectionne Gruyaert et qu'il a photographié à de nombreuses reprises, une scène de fin de journée prise chemin Fortuné Ferrini ; le bâtiment orange au fond est l'Institut des Neurosciences :

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Quelques exemples chez Gruyaert, en plus de celle de la page précédente. Les fichiers de pauvre qualité que j'ai trouvés ne donnent évidemment qu'une faible idée de l'impact des tirages…
[noindex]

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Une autre du même [noindex] :

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Celle-ci n'est pas de Gruyaert, mais de son génial prédécesseur Ernst Haas :

#317720: Consulté 2600 fois

Aimé fois - dont moi Exifs

[noindex]

[jlonzeweb]

Le thème de la voiture jaune sur fond monochrome a été depuis sacrément rabâché, voire massacré par des cohortes de photographes en mal d'inspiration.

Scribe, à travers cet hommage, merci de rendre à César...

edit : j'aime beaucoup la 317625, elle a quelque chose d'intemporel

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Merci d'être passé commenter

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Version corrigée de la n° 2 :

[cerise]

je trouve celle çi beaucoup mieux que ton premier essai avec un traitement plus prononcé. Qu'en penses tu toi ?

[meta 4xer]

Scribe, tu devrais numéroter tes photos ce serait plus facile pour les commenter par la suite... parfois cela met quelques jours pour que quelqu'un donne son avis mais ça finit par arriver

Personnellement j'ai un peu de mal avec les photos de rue dont le cadrage est "encombré d'élements parasites" que l'on ne peut pas souvent éliminer de sa composition, de par le coté express de cette pratique, et le coup d'oeil pour une scène qui est souvent très fugace... Je ne sais pas si je m'exprime très bien pour livrer ma pensée, mais souvent les éléments coupés me gênent un peu, moi qui aime la photo de paysage justement pour avoir le temps de composer mes photos en ne gardant que ce que j'ai envie dans le cadre!

Dans cet esprit, la photo que je préfère dans cet hommage est la toute première de la série et la seconde avec tes personnages hauts en couleurs. Mais le traitement trop appuyé pour celle-ci me gêne un peu, on distingue même des "points" bleus dans les ombres tellement le contraste est accentué

En tout cas merci d'améliorer ma culture photographique avec tes hommages

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je trouve celle çi beaucoup mieux que ton premier essai avec un traitement plus prononcé. Qu'en penses tu toi ?

Oui, je préfère aussi. La première surjouait un peu l'ambiance "soir pluvieux" et finalement c'était terne, alors que c'est bien le jeu de couleurs qui est important…

on distingue même des "points" bleus dans les ombres tellement le contraste est accentué

Oui, c'est vrai — j'ai corrigé ça depuis sur mon tiff
Il est sûr qu'il ne faut pas pratiquer la photo de rue avec l'idée d'obtenir une composition sagement ordonnée et nettoyée. Non seulement c'est impossible en pratique, mais la démarche est tout à fait contraire. En fait, la photo de rue est une excellente école pour apprendre à gérer la complexité, et même plus fondamentalement à accepter le désordre… Car on est tous éduqués à considérer la maîtrise, l'ordre, la symétrie, la pureté, etc., comme plus esthétiques et plus "méritoires" que la contingence. Alors que la maîtrise peut souvent être une facilité (parce qu'elle est spontanément adoptée) et le hasard être une difficulté (parce qu'on ne s'y résigne pas), paradoxalement…

Merci beaucoup pour vos retours