Renato a écrit :Lionel a écrit :compenser le déplacement des étoiles
Je dirai plutĂ´t la rotation de la terre
Tout est relatif et question de révérenciel

jmr80 a écrit :superbe, je suis scotché, le avant/après est stupéfiant, outre l'amélioration du rendu de nouvelles étoiles apparaissent
sur le avant les images sont déjà superposées ?
Non, c'est un aperçu d'une des centaines de RAW utilisée ensuite pour le traitement.
alphatango a écrit :Superbes images, dommage que l'interview soit constellée de fautes![]()
Text édité, merci à mickarl pour la correction


Morane a écrit :Interview très bien faite et explicative illustrant une très belle image de ce grand classique qu'est M31 Andromède.
J'apporte mon petit grain de sel bien que n'ayant pas du tout le niveau de Hyb dans cette pratique qu'est l'astrophotographie.
Pour le tout débutant, la première étape consistera à apprendre à repérer les constellations dans le ciel ; et contrairement à ce que dit Hyb et à moins d'être dans un environnement hyper pollué par les lumières urbaines, je conseille de commencer la découverte par l'observation d'un ciel dans lequel seules les étoiles les plus lumineuses seront visibles. Ce sont elles qui traces dans le ciel les limites des constellations. Dans un ciel très sombres montrant la voie lactée, les petites constellations composées d'étoiles moins brillantes seront plus difficiles à percevoir et vouloir explorer à la jumelle, même grand champ et lumineuse, c'est pénétrer dans la profondeur du Cosmos et entrevoir encore plus d'étoiles que l'oeil ne peut en apercevoir, compliquant l'apprentissage.
C'est effectivement une activité très chronophage lorsque l'on s'y frotte....ce n'est pas fait pour les passions éphémères.
L'étape suivante sera effectivement de rechercher un ciel plus sombre, mais Andromède est observable à l'oeil nu quand on apprend à la repérer, y compris avec un peu de pollution lumineuse à proximité.
Mais attention on ne la verra pas comme sur la photo......juste une petite tache ovale blanche, qui sera Ă peine plus grosse dans un petit instrument.
Et c'est là que réside le plus grand défi de cette pratique ; savoir gérer comme le concluait et sous entendait Hyb la frustration de ne pas avoir facilement et rapidement les résultats que l'on voit dans une image finalisée.
En plus de Stellarium, une application pour Androïd et probablement Apple du nom de Star Tracker est bien pratique. Une fois installée sur le smartphone ou mieux une tablette, il suffit de la brandir vers le ciel pour obtenir la désignation des objets visible à l'oeil ou non dans la zone pointée.
Une série d'ouvrages réputés pour partir à la découverte du ciel profond, fourmillant d'indications quant au repérage, périodes de l'année les plus favorables à l'observation mais surtout montrant ce que l'observateur pourra espérer voir à l'oeil et avec le potentiel des instruments utilisés. Informations destinées à l'origine à l'observation avec instruments mais transposables à l'utilisation de téléobjectifs en photographie astro. Je pense que Lionel le baroudeur terrestre et bientôt céleste y trouvera quelque intérêt....
http://splendeursducielprofond.eklablog ... es-p562872
Je vous souhaite patience et abnégation dans cette pratique. j'ai orienté la mienne vers un autre sujet plus terrestre.
Merci pour le complément
