Diferents jpeg
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Lionel - Site Admin
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Jamais toujours en RAW ca permet plus de souplesse en post prod, d'avoir le max de dynamique, de ne pas avoir de perte et de pouvoir reprendre les fichiers plus tard. Donc uniquement RAW
mes images, matos
"Croire que ce qu'on voit est "réel" c'est un peu comme croire que le monde a disparu quand il fait noir.." PhotonHunter 06.2016.
"je préfère voir une belle photo de pigeon qu'une moche d'aigle royal" Aguares 07.2010
sommep a écrit :Perso je suis en Raw + Jpeg, et dans ce cas les jpeg sony en qualité Fine.

7D mk II 300/4 L IS USM, 85/1.8, TC1.4III, T10-24, Si105 macro HSM, 70-200/2.8 OS HSM, 17-70 OS HSM C - YN568EXII
RP, R6mkii 16/2.8, 35/1.8
Swarovski ATS 80HD et zoom 20-60 + DCA +Canon A95
RP, R6mkii 16/2.8, 35/1.8
Swarovski ATS 80HD et zoom 20-60 + DCA +Canon A95
Je me démarque des copains en faisant, en reportage sur circuit, du JPG standard, dont le facteur de qualité (inverse du taux de compression) est - rappelons-le - de l'ordre de 92/100*. Donc loin d'être aussi destructeur que le prétendent les puristes.
En effet, il me faut souvent fournir les clichés avant même qu'ils soient pris afin qu'ils soient mis en ligne sur les médias du web, et/ou inclus dans des magazines. Pas le temps de post-traiter. Ou juste concernant un poil l'expo. Et quel besoin de faire du JPG fine pour une image qui sera intégrée dans un mag en 10 à 12 cm max de large, ou en 800 x 536 sur Internet !
A raison de 14 à 16000 clichés/an, ça gagne de la place sur mes disques de sauvegarde.
Par ailleurs, en reportage, on fait de l'info ; l'artistique est secondaire. Même mes JPG standards semblent quand même satisfaire les managers qui les réclament pour les dossiers de sponsoring en A4 de leurs protégés... On en a même utilisé pour faire tirer des agrandissements de 1 m de large (sujet déjà exposé par ailleurs sur le forum).
Sans parler du besoin aussi de longues rafales ; alors le raw+jpg...
Pour la famille, ben une fois transmises, ils regardent les photos sur leur écran d'ordi. Et quand ma femme fait un album, c'est avec des tirages en 13 x 18...
En clair, je ne peaufine sur du raw que pour les shootings importants, genre mariages. Et encore, pas durant la soirée festive qui suit.
* nombreux sont ceux qui partent d'un fichier raw travaillé pour sortir un JPG bien plus compressé que ça !
En effet, il me faut souvent fournir les clichés avant même qu'ils soient pris afin qu'ils soient mis en ligne sur les médias du web, et/ou inclus dans des magazines. Pas le temps de post-traiter. Ou juste concernant un poil l'expo. Et quel besoin de faire du JPG fine pour une image qui sera intégrée dans un mag en 10 à 12 cm max de large, ou en 800 x 536 sur Internet !
A raison de 14 à 16000 clichés/an, ça gagne de la place sur mes disques de sauvegarde.
Par ailleurs, en reportage, on fait de l'info ; l'artistique est secondaire. Même mes JPG standards semblent quand même satisfaire les managers qui les réclament pour les dossiers de sponsoring en A4 de leurs protégés... On en a même utilisé pour faire tirer des agrandissements de 1 m de large (sujet déjà exposé par ailleurs sur le forum).
Sans parler du besoin aussi de longues rafales ; alors le raw+jpg...
Pour la famille, ben une fois transmises, ils regardent les photos sur leur écran d'ordi. Et quand ma femme fait un album, c'est avec des tirages en 13 x 18...
En clair, je ne peaufine sur du raw que pour les shootings importants, genre mariages. Et encore, pas durant la soirée festive qui suit.
* nombreux sont ceux qui partent d'un fichier raw travaillé pour sortir un JPG bien plus compressé que ça !
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blade - Messages : 1351
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Jusqu'Ă aujourd'hui, je ne faisait quasiment que du Jpeg. A chaque fois en extra fine.
Je réserve la RAW pour des lumières délicates.
Je réserve la RAW pour des lumières délicates.
Mon mathos : A77+ 16-50/2.8+ 70-200G/2.8 + 70-400G/4-5.6 SSM. +TC x1.4 Kenko + TC x2 Vivitar
http://www.24passion.fr/
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Essaie donc de prendre la même image détaillée (la végétation est bien ciblée pour cela) dans les trois qualités du JPG.
Fais un crop sur une zone détaillée de telle manière de pouvoir placer les 3 images côté à côté. Zoome ensuiite progressivement et de la même valeur dans les trois crop, jusqu'à même des valeurs déraisonnables (100 % et +) et observe les différences. Par ce biais, on arrive à déceler une organisation des pixels quelque peu différente. Mais si tu mélanges les clichés, tu seras souvent incapable de dire celui qui est fin et celui qui est standard. Le taux de compression entre le trois est trop voisin.
Jadis, on disposait en plus du "JPG économique" (avec des variantes dans l'appellation), dont le taux de compression était voisin de 15 ou 16. Là , il y avait effectivement des différences observables. Notamment dans les nuances des quasi-aplats (comme le ciel par exemple), avec des regroupements disgracieux de pixels provoqués par les "simplifications" du codage. Une observation peu probable entre un jpg standard (compression au taux de de 8), fine (compression de 6) et extrafine (comrpession de 4).
En fait, la plus grosse variation est le poids du fichier. Cette variation étant d'autant plus faible que l'image comporte beaucoup de détails avec de nuances différentes.
Il faut rappeler que le RAW n'est pas une finalité ; mais le moyen de travailler plus efficacement sur un fichier image ; soit pour l'adapter à notre preception, soit pour rattraper des problèmes d'expo lors de la prise devue.
Si les paramétrages ont été correctes, ainsi que les conditions d'éclairage lors de la prise de vue, il n'y a en principe pas matière à modifier le ficheir RAW, mais juste à en sortir le JPG pour le partage (ce qui m'est souvent arrivé). Dans ces conditions, le JPG direct sera également correcte. C'est d'ailleurs l'intérêt du RAW+JPG, qui est un JPG accompagné d'une bouée de sauvetage.
Je me suis volontairement placé dans le cadre du reportage, bien sûr. Pas dans celui de la créativité.
Fais un crop sur une zone détaillée de telle manière de pouvoir placer les 3 images côté à côté. Zoome ensuiite progressivement et de la même valeur dans les trois crop, jusqu'à même des valeurs déraisonnables (100 % et +) et observe les différences. Par ce biais, on arrive à déceler une organisation des pixels quelque peu différente. Mais si tu mélanges les clichés, tu seras souvent incapable de dire celui qui est fin et celui qui est standard. Le taux de compression entre le trois est trop voisin.
Jadis, on disposait en plus du "JPG économique" (avec des variantes dans l'appellation), dont le taux de compression était voisin de 15 ou 16. Là , il y avait effectivement des différences observables. Notamment dans les nuances des quasi-aplats (comme le ciel par exemple), avec des regroupements disgracieux de pixels provoqués par les "simplifications" du codage. Une observation peu probable entre un jpg standard (compression au taux de de 8), fine (compression de 6) et extrafine (comrpession de 4).
En fait, la plus grosse variation est le poids du fichier. Cette variation étant d'autant plus faible que l'image comporte beaucoup de détails avec de nuances différentes.
Il faut rappeler que le RAW n'est pas une finalité ; mais le moyen de travailler plus efficacement sur un fichier image ; soit pour l'adapter à notre preception, soit pour rattraper des problèmes d'expo lors de la prise devue.
Si les paramétrages ont été correctes, ainsi que les conditions d'éclairage lors de la prise de vue, il n'y a en principe pas matière à modifier le ficheir RAW, mais juste à en sortir le JPG pour le partage (ce qui m'est souvent arrivé). Dans ces conditions, le JPG direct sera également correcte. C'est d'ailleurs l'intérêt du RAW+JPG, qui est un JPG accompagné d'une bouée de sauvetage.
Je me suis volontairement placé dans le cadre du reportage, bien sûr. Pas dans celui de la créativité.
...Tout comme Cloclo et Magnolias, JPG et très peu de RAW, pour les mêmes raisons évoquées par Cloclo.
Je shoote souvent, beaucoup pour le partage et le plaisir. Quand je couvre des mariages ou des événements sur l'aérodrome de Bondues on me remercie pour la qualité des photos, j'ai des disques durs blindés et donc je ne veux pas en remettre une couche avec le RAW. Effectivement, il sera plus sage d'assurer avec le RAW en cas de lumière difficile par exemple, sinon je m'en passe très bien.
Je shoote souvent, beaucoup pour le partage et le plaisir. Quand je couvre des mariages ou des événements sur l'aérodrome de Bondues on me remercie pour la qualité des photos, j'ai des disques durs blindés et donc je ne veux pas en remettre une couche avec le RAW. Effectivement, il sera plus sage d'assurer avec le RAW en cas de lumière difficile par exemple, sinon je m'en passe très bien.

Alpha 77x2;Alpha 77II;Alpha 550 ;D7D+Grip Offert à ma nièce :-);CZ 16-80mm;S 16-50mm f2.8;[/color]S 70-400mm;M 50mm f1,7;M 50mm f3.5Macro,M 100mm f2,8Macro ,KM 18-70,M 80-200Apo G HS ,M 500 f8;Flash 3600HSD;Flash HVL-F58AM;Lowepro Slingshot 300AW
http://www.flickr.com/photos/aaantoine/sets/
http://www.flickr.com/photos/aaantoine/sets/
Justement, Antoine et Blade, vous faites bien de souligner cette exception qui impacte également mes reportages : en cas d'éclairages composites, qui déroutent complètement la BdB, là comme vous je fais quand même du RAW + JPG.
Par exemple, j'ai eu le pb sur des courses de Kart sur glace en nocturne, à cause des éclairages néons + des projos halogènes + des puissants spots de différentes couleur : la glace jaune, même si c'est comme ça qu'elle apparaissait réellement, ça ne le fait pas bien sur les photos. J'avais quand même étalonné une BdB perso pour les JPG ; mais ça changeait sans arrêt...
Une autre raison qui me fait adopter les JPG en reportage : quand on revient à la maison avec 1200 clichés, dont 1000 potables, je ne me vois pas imposer à mon vieil ordi de faire mouliner DXO pour un calcul de plusieurs minutes sur chaque image...
Par exemple, j'ai eu le pb sur des courses de Kart sur glace en nocturne, à cause des éclairages néons + des projos halogènes + des puissants spots de différentes couleur : la glace jaune, même si c'est comme ça qu'elle apparaissait réellement, ça ne le fait pas bien sur les photos. J'avais quand même étalonné une BdB perso pour les JPG ; mais ça changeait sans arrêt...
Une autre raison qui me fait adopter les JPG en reportage : quand on revient à la maison avec 1200 clichés, dont 1000 potables, je ne me vois pas imposer à mon vieil ordi de faire mouliner DXO pour un calcul de plusieurs minutes sur chaque image...
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calimelolo - Messages : 6267
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Sur le 77 l'extrafine est aussi lourd que le RAW… du coup j'ai plutôt choisi d'être toujours en RAW pour les possibilités de rattrapage, mais c'est plus de boulot 

Sony A7RIVA, 16-35GM, 24-70GMII, 70-200GMII, Samyang FE 85/1.4, Tamron 150-500/5-6.7 et plein de Godox…
"Je suis photographe parce que je ne sais pas dessiner" - Nath Sakura
Mon site
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Jo6447 a écrit :Donc, le taux de compression est décroissant de standard à extra fine ? Bizarre
Evident ! Moins tu compresses, moins tu simplifies l'info, plus c'est lourd et moins tu as de dégradations.
Ne confonds pas avec le facteur de qualité, qui en est le complément.
Moins tu compresses, plus tu as de qualité...
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