
après cela dépend de quel boitier tu utilise, mais il existe aussi les IZO auto, voir réglable en mini et maxi !
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mode auto, P ou AJ'ajouterai à tout cela que les modes PSAM ont besoin d'un réglage manuel des IZO, si ta femme prend l'appareil, qu'il est bien régler en ouverture (F5.6) mais les IZO sont trop bas (200) pour la photo voulu (en intérieur), bah c'est raté, car vitesse trop longue et vive le flou
![]() après cela dépend de quel boitier tu utilise, mais il existe aussi les IZO auto, voir réglable en mini et maxi ! Iso toujours manuels pour ce qui me concerne. Je préfère garder aussi la main sur ce paramètre.
en l'occurence, par defaut iso sur auto, j'ai un a65 donc l'accès iso est direct
vu qu'elle me pique souvent l'appareil vaut mieux que je remette en auto du coup, je pensais que les modes P, A et S se reglait à l'allumage, mais vu qu'ils gardent le reglage precedent .... (ca me prendrait trop de temps à lui expliquer la différence entre vitesse et ouverture :p) deja que moi meme je suis relativement debutant Alpha 65,Alpha 77, sigma 17-50 2.8 HSM, tamron 70-300 USD, minolta 100-300, minolta 50 1.7, tamron 18-200 Di III
"On peut rattraper le coup avec le décalage d'expo "
cloclo tu parles de la correction d'expo "+/-" ? Alpha 65,Alpha 77, sigma 17-50 2.8 HSM, tamron 70-300 USD, minolta 100-300, minolta 50 1.7, tamron 18-200 Di III
Idem pour moi ![]() D600 grippé | N18-35/3.5-4.5 | N50/1.8 | N85/1.8 | N105/2.8 VR Macro | T180/3.5 Macro | S500/4,5
Adepte du mode P, depuis le 7xi(la décision d'achat vient de là ), je trouve que c'est le mode idéal envoyage, le décalage ne me fait pas perdre de temps.L'iconvenient, c'est qu'a chaque vue il faut redécaler, pas pratique pour une série de photos identiques.
Alpha 700,16/105,28-105 XI/Minolta 50 1.7 /Minolta 70-210 3.5/4.5 /Flash 36HSD.Canon A640.RX100 I et RX 100 III.Sigma 105 EX DG Macro,Tamron 70/300.Alpha 77II +16/50 f/2.8.
Dans le contexte des reportages sur circuit, C'est A avec le A580 en pitlane, et S avec le A77 pour couvrir la piste.
Pour le reste, c'est A dès que cela n'évolue pas en distance.
Bon sujet pour illustrer que si sur un boitier il y a de multiples moyens de parvenir au même résultat, qui parfois peuvent sembler identiques ou très semblables, ils diffèrent souvent par des détails subtils pour le nojn habitué. Souvent autant liés au fonctionnement (voire habitudes) du photographe qu'à la technique pure (et donc les choix de la méthode de réglages restent quand même personnels).
Tentative de synthèse pour d'autres qui viendraient lire ce sujet: Effectivement, P on ne s'occupe de rien, mais si le couple proposé par le boitier ne satisfait pas (pour s'en apercevoir il faut être un peu moins débutant ![]() Il y a je crois des modes "tout auto" ou "Pvert" pour le tout débutant, où on ne peut rien modifier du tout: garantie pour ceux qui n'y connaissent rien même s'il effleurent par ereur une molette... Se mettre en A (ou S) impose de choisir le diaph. (la vitesse), qui ne se règle pas par défaut comme en P (et effectivement le réglage lors de l'extinction se retrouve quand on rallume le boitier). L'autre paramètre (vitesse ou diaph) est réglé par le boitier en conséquence. Cela permet au cerveau du pohotographe de se concentrer sur le paramètre qui lui est le plus important pour sa prise de vue (ou série de PdV). Par ex. en A, choisir le diaph. en fonction de la profondeur de champ qu'il souhaite... Ou tout simplement se mettre au diaph. où l'objectif a son piqué maximal (ce qui explique que beaucoup de photographes expérimentés se mettent par défaut en A). S est choisi quand on se focalise sur la vitesse (sujet très mobile et on veut éviter le flou de bougé, ou au contraire pose longue...) Mais cela ne dispense pas de surveiller l'autre paramètre du coin de l'oeil pour voir qu'on ne sort pas des valeurs acceptables: par ex. surveiller que la vitesse ne descend pas trop (flou de bougé) quand on ferme fortement le diaph. en A pour avoir une très forte PdC. Ou diaph à pleine ouverture mais pas suffisant pour une expo correcte (photo sous exposée) quand on monte les vitesses à l'extrême pour figer un bolide. Les ISO... je dirai que ceux qui ont utilisé ou utilisent encore l'argentique on une forte propension à être en ISO manuel, et les "experts" aussi pour maîtriser ce paramètre qui peut fortement modifier le rendu de la photo (bruit numérique, moins agréable en plus que le grain des pellicules argentiques). Par ailleurs, ISO auto impose aussi de surveiller du "coin de l'oeil" (et l'info n'est pas toujours dispo en plus dans le viseur, du moins sans appuyer au moins sur un bouton). Et se concentrer sur la photo tout en surveillant du coin de l'oeil DEUX paramètres, c'est plus prenant que de la faire en ne surveillant qu'UN paramètre! ![]() Certes si en plus son boitier est partagé avec quelqu'un qui ne maitrise pas du tout ces réglages, le mode P et iso auto (voire les dernier modes iquelquechose, qui doit avoir l'avantage d'imposer aussi les iso auto) sont des garanties que le boitier se règlera tt seul. La contrainte étant pour le moins débutant de basculer en A ou S dès l'allumage du boitier, et de revenir en P ou itruc à l'extinction... Ma progression personnelle: quand j'ai débuté, il n'y avait aucun de ces modes, tout en manuel, ou plutot le début du "semi auto": en tournant les bagues de diaph ou vitesse on déplaçait sur le coté du viseur un petit cercle au bout d'un support. La cellule montrait la luminosité par une aiguille qui se déplaçait sur la même échelle. Le "jeu" était de centrer le cercle sur l'aiguille (celle ci devenant le diamètre du cercle) en modifiant manuellement diaph. et/ou vitesse, et on avait alors l'expo correcte (avec les limites des cellules de l'époque, pas de multizone non plus, mais une espèce de "centrale" qui est ensuite devenue un peu pondérée (terre naturellement plus sombre que le ciel, donc pour beaucoup de photo, bas de l'image plus sombre que le haut ![]() Bref, à l'époque pas question de faire des photos sans comprendre un peu ce qu'était un diaph. et une vitesse, et comment réagissait son boitier sous différents éclairages.. Quel confort donc quand sont apparus les premiers mode P!!! (j'avais sauté les premier A ou S). Cela semblait presque relever du miracle. Le boitier savait choisir (enfin... ne se trompait pas trop souvent ![]() Et puis un beau jour, après quelques années, comme je me suis aperçu que je corrigeais très souvent le boitier, et qu'en fait j'avais systématiquement en tête le diaph. que je voulais, je suis passé essentiellement en A (au moins 80% des cas), parfois en M, et n'ai plus changé. (Je fais peu de sujets rapides, et dans ce cas, je peux aussi choisir ma vitesse, en tournant en A les dipah en sens "contraire" pour faire varier la vitesse vers la valeur souhaitée... quand je dis qu'il y a beaucoup de démarches différentes pour arriver au même résultat ![]() SRT101, 9xi, D7, D9, Z3, NEX 5N (+viseur), D5D, Alpha 700, Alpha 900 et pas mal de cailloux qui se montent dessus.
Viseur optique... what else? Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet Excellente synthèse pour ce qui concerne la première partie de l'exposé (juste quelques coquilles de non relecture...).
Concernant la 2e partie, plus personnelle, de mon côté mon boîtier argentique et le zoom 35-105 associé ne sont même pas AF ! Et sur mon objectif 50 f:2 Hélios, la présélection était également manuelle (fallait pas oublier de refermer la bague avant de shooter). C'était donc vraiment tout manuel (avec comme tu dis la zaigüille pour régler l'expo), avec en plus le poids d'une tonne dans les mains. J'ai conservé tout ça à titre de souvenir. Ayant démarré le numérique en parallèle en 1998, ça n'a plus servi depuis 1999 ou 2000... Revenir vers « Questions pratiques ou techniques » Qui est en ligne ?Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 2 invités ![]() |
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