Vagabondage maj Chinguetti / Sahara p35
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J.C - Galeriste
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Breizhoo a écrit :...Un peu du même avis que toi pour Fès (j'ai d'ailleurs dormi dans un hotel juste à coté de la Bab Boujloud (19) que tu as pris en photo, ça fait bizarre de reconnaitre des lieux sur tes photos), on a largement préféré Meknès pour le coup. Sans doute parce qu'on y a été moins "harcelés" et on a pu profité pleinement de la ville.
Vous avez poussé jusqu'à Moulay Idriss et Volubilis ou pas ?
Pareil, à choisir, on à préféré Meknès. Non on a pas "poussé" jusqu'à Volubilis ni Moulay Idriss.
Je crois que je vais faire un condensé du reste car c'est vraiment du standard ce qu'on a fait au Maroc, après ça nous à gonflé alors on à tracé en Mauritanie.
Par contre le sud du Maroc, là c'est autre chose, pas étonnant personne y va

Je vous prépare ça.
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La prochaine destination?
L'hosto, début octobre
pour me faire remplacer une durite, voir ici.
Donc on prévoit rien pour l'instant, on attend de voir, si il y a quelque chose qui se fait ce sera pas avant, un an, à la louche. Mais je sais pas où...
L'hosto, début octobre

Donc on prévoit rien pour l'instant, on attend de voir, si il y a quelque chose qui se fait ce sera pas avant, un an, à la louche. Mais je sais pas où...
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staurenghi - Messages : 5516
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plein de souvenirs aussi, Meknès, Fès ...etc
par contre Fès est une des villes que j'ai adoré, faut dire qu'on avait un super guide qui envoyait bouler les harceleurs et pour les enfants mendiants leurs disait d'aller à l’école
du coup on était vraiment peinard
volubilis pas mal aussi
par contre Fès est une des villes que j'ai adoré, faut dire qu'on avait un super guide qui envoyait bouler les harceleurs et pour les enfants mendiants leurs disait d'aller à l’école

du coup on était vraiment peinard
volubilis pas mal aussi

A' gent... nù ver, nù sent e nù parl però sap semp e cazz' e tutt' quant.
et de toutes façons J'Aime Pas La Musique Mouligasse ni les V.O sous-titrées
Ni les tatouages et perçages et encore moins les NB
A femmena bell se ver a matin appen scetat....no cu 10 kil e stuk n'facc !!!!
et de toutes façons J'Aime Pas La Musique Mouligasse ni les V.O sous-titrées
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Quentin a écrit :Je sais bien que tu dois te soigner, mais je pensais à ton prochain voyage (pas immédiat) dans 1 an ou 2
Je pense que ce sera avec un véhicule, finis le sac à dos, ca c'est quasiment certain, en plus comme ça Manu aura son bureau pour bosser un peu et faire rentrer des pépettes


Mais d'ici lĂ tout peut encore changer.

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Nous décidons de continuer le trajet en train, c'est un moyen de locomotion que nous apprécions et nous le prenons à chaque fois c'est possible. Le voyage est souvent plus confortable, pas beaucoup plus cher et les rencontres plus faciles qu'en bus.
Nous mettons le cap au sud, avec dans l'idée de sortir rapidement du Maroc.
Nous n'attendons pas grand chose de la capitale et pourtant nous sommes positivement surpris. Pour une métropole, elle est très agréable, les rues principales sont bordées de palmiers et les palais et être bâtiments officiels se dressent fièrement, parfaitement entretenus.
1/

Nous nous prenons une agréable petite chambre pour une semaine, le temps d'organiser les papiers pour notre prochaine destination: la Mauritanie.
La première visite au consulat Mauritanien sera un coup pour rien. A la deuxième, un fonctionnaire de mauvais poil nous remet un formulaire à remplir (super!) et à ramener le lendemain
C'est incroyable combien de questions on peut entasser sur un si petit bout de papier. Recto Verso, bien sûr! Finalement il va bien falloir une journée pour le remplir…
Contrairement à d'autres pays sur d'autres continent où le visa est gratuit délivré immédiatement et valable 3 mois, ici il vous en coûte de passer d'un pays à l'autre, c'est ainsi que 2 photos et 320 dirhams plus tard nous sommes informés que le visa sera prêt dans quinze jours et qu'il n'est valable qu'un mois… Aïe!
A Rabat nous passons le temps en terrasse à regarder les gens vaquer à leurs occupations en buvant du café. Nous logeons juste en face du marché central, au coeur de l'action donc.
L'agitation commence vraiment seulement après le coucher du soleil. des centaines de vendeurs envahissent les rues pour occuper la moindre surface d'asphalte libre. La densité est telle qu'il est presque impossible de se frayer un chemin sans marcher sur des marchandises. Quand la police pointe son nez on se retrouve soudainement dans une rue déserte. Mais ça ne durent pas, dix mètres derrières eux les vendeurs se réinstallent déjà et pour les policiers c'est tout un art de ne pas se retourner et de faire semblant d'ignorer ce manège. La règle est: là où je regarde je ne veux rien voir, le reste je m'en fous. Ca me va!
Pour la Mauritanie, et l'Afrique sub-saharienne, il va nous falloir des Euros, c'est la monnaie la plus facile à changer. Seulement voilà des euros on en a pas! Après s'être renseigné, on apprend qu'il y a en Mauritanie, en tout et pour tout, DEUX distributeurs de billets, à la capitale. Mais ce n'est pas du tout sûr qu'ils fonctionnent et encore moins qu'ils donnent des Euros. Il nous faut donc nous organiser maintenant.
Si vous pensez qu'il facile d'obtenir des euros au Maroc vous vous trompez gravement. Il n'y a pas plus compliqué! Si on ne réside pas ici, il est simplement interdit de changer des dirham en Euros! Mais l'inverse ça va, bien sûr. Western Union n'en donne pas, les distributeurs de billets non plus.
"il n'y a que le marché noir", nous informe une vieille dame rencontré sur un banc. Ce n'est peut-être pas non plus la meilleure idée, quand on se fait déjà arnaqué pour un simple achat...
Tout problème ayant sa solution nous trouvons la notre: aller chercher de l'argent dans un pays européens! heureusement il ne nous faudra pas traverser la méditerannée, nous nous rendrons dans l'enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc. Ce n'est pas du tout sur notre chemin mais c'est la seule solution.
C'est ainsi que, blasé, nous retrouvons quelques jours plus tard dans le train, direction… Tanger. Exactement là où le bateau nous à débarquer...
Le contrôleur à l'air d'avoir une mauvaise journée aujourd'hui. C'est dimanche, il doit travailler et apparemment c'est de notre faute. Il regarde nos tickets et demande d'un air légèrement hautain: où est le troisième ticket? Nous lui faisons remarquer poliment que nous ne sommes que deux. C'est alors qu'il hausse le ton pour nous expliquer qu'il parle de facture!
Je monte la voix d'un cran également pour lui dire que nous n'avons jamais dù montrer la facture de nos billets dans un train et je lui demande si il pense sérieusement que nous avons contrefait les billets dans note chambre d'hôtel?!? A moins qu'il croit qu'on les ai achetés au souk!
Sur ce il nous annonce que nous devons repayés les billets! Alors lui il pas le gaz à tous les étages, hors de question, ça pue le bakschisch…
Voyant qu'il n'arrivera pas à ses fins il exige nos passeports. Avec plaisir lui dis-je mais il n'aura que le mien et je me rendrais avec lui, à notre arrivée chez le chef de gare pour le récupérer.
Il me rendra mon passeport sans moufter Ă peine le pied mis sur le quai...
Que l'on soit obligé de batailler le prix d'un trajet en vus, on est habitué et c'est connu mondialement mais dans le train, dans un pays développé, on pourrait penser que l'on va s'épargner se souci. Pas au Maroc…
Le lendemain nous nous rendons à Ceuta. L'enclave ne se situe en fait qu'à 70 kilomètres de Tanger mais le bus faisant un énorme détour, ça nous prendra 3 heures aller et 3 heures retour.
C'est une des frontières les plus bizarres que nous ayons vues. Des silhouettes sombres encombrent l'entrée et observent les voyageurs entrants, des petits "malins" essayent de refourguer aux touristes de faux documents d'immigration. Nous sommes bientôt de lautre côté et rapidement dans le centre ville. Ici c'est une autre image qui s'offre à nous. De jolies rues, propres et d'un seul coup, tout le monde est amical, plus d' "amis" qui nous courent après. Nous savourons cette demi journée de vacances avec un verre de Rioja et du Jamon Serrano, pas très Halal, mais bon…
Les distributeurs de billets sont bien approvisionnés et crachent les Euros tant désirés. Jusqu'à un certain point seulement: la bande magnétique d'une de nos cartes décide de choisir ce moment très précis pour rendre l'âme. nous retirons quand même tout ce que nous pouvons et repartons de l'autre côté de la frontière pour un voyage retour de trois heures. Nous arrivons tard dans la soirée à Tanger, complètement épuisé.
Bien que je me retrouve au lit avec une fièvre carabinée nous décidons de repartir le plus vite possible pour Rabat. A la capitale, une fois le visa récupérer nous n'avons plus qu'une chose en tête: prendre la route du sud et passer la frontière Mauritanienne.
Nous ferons un stop à Marrakech, on doit vraiment être maso, je vous jure…
2/

3/

Plus un stop forcé à agadir où nous attendrons DIX jours, une nouvelle carte de crédit.
Après cela c'est enfin le sud du Maroc et là , c'est autre chose, à suivre donc...

Nous mettons le cap au sud, avec dans l'idée de sortir rapidement du Maroc.
Nous n'attendons pas grand chose de la capitale et pourtant nous sommes positivement surpris. Pour une métropole, elle est très agréable, les rues principales sont bordées de palmiers et les palais et être bâtiments officiels se dressent fièrement, parfaitement entretenus.
1/

Nous nous prenons une agréable petite chambre pour une semaine, le temps d'organiser les papiers pour notre prochaine destination: la Mauritanie.
La première visite au consulat Mauritanien sera un coup pour rien. A la deuxième, un fonctionnaire de mauvais poil nous remet un formulaire à remplir (super!) et à ramener le lendemain

C'est incroyable combien de questions on peut entasser sur un si petit bout de papier. Recto Verso, bien sûr! Finalement il va bien falloir une journée pour le remplir…
Contrairement à d'autres pays sur d'autres continent où le visa est gratuit délivré immédiatement et valable 3 mois, ici il vous en coûte de passer d'un pays à l'autre, c'est ainsi que 2 photos et 320 dirhams plus tard nous sommes informés que le visa sera prêt dans quinze jours et qu'il n'est valable qu'un mois… Aïe!
A Rabat nous passons le temps en terrasse à regarder les gens vaquer à leurs occupations en buvant du café. Nous logeons juste en face du marché central, au coeur de l'action donc.
L'agitation commence vraiment seulement après le coucher du soleil. des centaines de vendeurs envahissent les rues pour occuper la moindre surface d'asphalte libre. La densité est telle qu'il est presque impossible de se frayer un chemin sans marcher sur des marchandises. Quand la police pointe son nez on se retrouve soudainement dans une rue déserte. Mais ça ne durent pas, dix mètres derrières eux les vendeurs se réinstallent déjà et pour les policiers c'est tout un art de ne pas se retourner et de faire semblant d'ignorer ce manège. La règle est: là où je regarde je ne veux rien voir, le reste je m'en fous. Ca me va!
Pour la Mauritanie, et l'Afrique sub-saharienne, il va nous falloir des Euros, c'est la monnaie la plus facile à changer. Seulement voilà des euros on en a pas! Après s'être renseigné, on apprend qu'il y a en Mauritanie, en tout et pour tout, DEUX distributeurs de billets, à la capitale. Mais ce n'est pas du tout sûr qu'ils fonctionnent et encore moins qu'ils donnent des Euros. Il nous faut donc nous organiser maintenant.
Si vous pensez qu'il facile d'obtenir des euros au Maroc vous vous trompez gravement. Il n'y a pas plus compliqué! Si on ne réside pas ici, il est simplement interdit de changer des dirham en Euros! Mais l'inverse ça va, bien sûr. Western Union n'en donne pas, les distributeurs de billets non plus.
"il n'y a que le marché noir", nous informe une vieille dame rencontré sur un banc. Ce n'est peut-être pas non plus la meilleure idée, quand on se fait déjà arnaqué pour un simple achat...

Tout problème ayant sa solution nous trouvons la notre: aller chercher de l'argent dans un pays européens! heureusement il ne nous faudra pas traverser la méditerannée, nous nous rendrons dans l'enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc. Ce n'est pas du tout sur notre chemin mais c'est la seule solution.
C'est ainsi que, blasé, nous retrouvons quelques jours plus tard dans le train, direction… Tanger. Exactement là où le bateau nous à débarquer...
Le contrôleur à l'air d'avoir une mauvaise journée aujourd'hui. C'est dimanche, il doit travailler et apparemment c'est de notre faute. Il regarde nos tickets et demande d'un air légèrement hautain: où est le troisième ticket? Nous lui faisons remarquer poliment que nous ne sommes que deux. C'est alors qu'il hausse le ton pour nous expliquer qu'il parle de facture!

Je monte la voix d'un cran également pour lui dire que nous n'avons jamais dù montrer la facture de nos billets dans un train et je lui demande si il pense sérieusement que nous avons contrefait les billets dans note chambre d'hôtel?!? A moins qu'il croit qu'on les ai achetés au souk!

Sur ce il nous annonce que nous devons repayés les billets! Alors lui il pas le gaz à tous les étages, hors de question, ça pue le bakschisch…

Voyant qu'il n'arrivera pas à ses fins il exige nos passeports. Avec plaisir lui dis-je mais il n'aura que le mien et je me rendrais avec lui, à notre arrivée chez le chef de gare pour le récupérer.
Il me rendra mon passeport sans moufter Ă peine le pied mis sur le quai...
Que l'on soit obligé de batailler le prix d'un trajet en vus, on est habitué et c'est connu mondialement mais dans le train, dans un pays développé, on pourrait penser que l'on va s'épargner se souci. Pas au Maroc…

Le lendemain nous nous rendons à Ceuta. L'enclave ne se situe en fait qu'à 70 kilomètres de Tanger mais le bus faisant un énorme détour, ça nous prendra 3 heures aller et 3 heures retour.
C'est une des frontières les plus bizarres que nous ayons vues. Des silhouettes sombres encombrent l'entrée et observent les voyageurs entrants, des petits "malins" essayent de refourguer aux touristes de faux documents d'immigration. Nous sommes bientôt de lautre côté et rapidement dans le centre ville. Ici c'est une autre image qui s'offre à nous. De jolies rues, propres et d'un seul coup, tout le monde est amical, plus d' "amis" qui nous courent après. Nous savourons cette demi journée de vacances avec un verre de Rioja et du Jamon Serrano, pas très Halal, mais bon…
Les distributeurs de billets sont bien approvisionnés et crachent les Euros tant désirés. Jusqu'à un certain point seulement: la bande magnétique d'une de nos cartes décide de choisir ce moment très précis pour rendre l'âme. nous retirons quand même tout ce que nous pouvons et repartons de l'autre côté de la frontière pour un voyage retour de trois heures. Nous arrivons tard dans la soirée à Tanger, complètement épuisé.
Bien que je me retrouve au lit avec une fièvre carabinée nous décidons de repartir le plus vite possible pour Rabat. A la capitale, une fois le visa récupérer nous n'avons plus qu'une chose en tête: prendre la route du sud et passer la frontière Mauritanienne.
Nous ferons un stop à Marrakech, on doit vraiment être maso, je vous jure…

2/

3/

Plus un stop forcé à agadir où nous attendrons DIX jours, une nouvelle carte de crédit.
Après cela c'est enfin le sud du Maroc et là , c'est autre chose, à suivre donc...
J'y ai passé 24j au total, mais ça me fatigue aussi
. Bien que là ou nous allions on était relativement préservé des excès de tout les lieux de tourisme de masse.
oui tu te fais toujours avoir quelque part, ça a été le cas sur les deux voyages réalisés, mais c'est l'Afrique, non? Pour eux ce n'est pas de la malhonnêteté, c'est un jeu, les occidentaux blindés de normes ont du mal avec ça.
Et puis on te dira toujours oui, tu n'auras ou ne feras jamais, mais un oui, oui!
Tout se rediscute indéfiniment, rien n'est établi définitivement. Mais parfois en laissant aller le cours des choses, en se relâchant tu peux avoir des surprises exceptionnelles.

oui tu te fais toujours avoir quelque part, ça a été le cas sur les deux voyages réalisés, mais c'est l'Afrique, non? Pour eux ce n'est pas de la malhonnêteté, c'est un jeu, les occidentaux blindés de normes ont du mal avec ça.
Et puis on te dira toujours oui, tu n'auras ou ne feras jamais, mais un oui, oui!
Tout se rediscute indéfiniment, rien n'est établi définitivement. Mais parfois en laissant aller le cours des choses, en se relâchant tu peux avoir des surprises exceptionnelles.
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Breizhoo - Messages : 4424
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Ah... Jamaa El Fna
On a super bien mangés sur cette place, et même pas malade en plus ! Et pourtant, y'avait moyen de se chopper qqchose de carabiné ...

Mes fils "Voyage" sur le forum : Namibie, Terre de contrastes + Escapade Islandaise
D610 | 35/1.8 | 50/1.8 | 85/1.8 | T24-70/2.8 | Yongnuo YN-568
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vroum a écrit :J'y ai passé 24j au total, mais ça me fatigue aussi. Bien que là ou nous allions on était relativement préservé des excès de tout les lieux de tourisme de masse.
oui tu te fais toujours avoir quelque part, ça a été le cas sur les deux voyages réalisés, mais c'est l'Afrique, non? Pour eux ce n'est pas de la malhonnêteté, c'est un jeu, les occidentaux blindés de normes ont du mal avec ça.
Et puis on te dira toujours oui, tu n'auras ou ne feras jamais, mais un oui, oui!
Tout se rediscute indéfiniment, rien n'est établi définitivement. Mais parfois en laissant aller le cours des choses, en se relâchant tu peux avoir des surprises exceptionnelles.
Je suis entièrement d'accord avec toi, sauf que pour moi le Maroc, c'est pas l'Afrique. Ils sont à des années lumières de la mentalité africaine.
Il y a eu un glissement de terrain
?
Je ne sais pas, pas fait le reste du continent, mais en écoutant P'tit Luc le passage des frontières africaines en moto rappelle furieusement le mode marocain, niveau fonctionnaires.
Plus qu'Ă attendre la suite, tu fais quoi
?


Je ne sais pas, pas fait le reste du continent, mais en écoutant P'tit Luc le passage des frontières africaines en moto rappelle furieusement le mode marocain, niveau fonctionnaires.
Plus qu'Ă attendre la suite, tu fais quoi


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tomazi - Messages : 5029
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Il est vrai que le Maroc est déroutant, enfin la façon de faire des Marocains. Ce sentiments d'être harcelé m'a drôlement pesé les 2-3 premiers jours. J'étais à 2 doigts de mettre une trempe au premier qui allait s'approcher. Une fois "compris" la façon de faire, c'est nettement plus vivable.
Je ne sais pas si vous êtes allé au Sénégal mais, d'après des amis, Marrakech c'est du "pipi de chat" comparé à Dakar. (ils ont navigué 3 mois entre Maroc/Mauritanie/Sénégal, l'un d'eux a voulu prendre un avion pour partir, moins de 48h après être arrivé).
Je ne sais pas si vous êtes allé au Sénégal mais, d'après des amis, Marrakech c'est du "pipi de chat" comparé à Dakar. (ils ont navigué 3 mois entre Maroc/Mauritanie/Sénégal, l'un d'eux a voulu prendre un avion pour partir, moins de 48h après être arrivé).
Alpha 550 - Sony 18-200mm F3,5-6,3 / 18-55mm F3,5-6,3 SAM / 30mm F2.8 SAM / 35mm F1.8 SAM - Minolta 50mm F1,7 / 135 F2,8 / 70-210 F4 (beercan) - Tamron 10-24mm F3.5-4.5 - Samyang 8mm Fisheye - flash Sony HVL-F58AM
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Corinne 'tite route - Messages : 10880
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tomazi a écrit :Une fois "compris" la façon de faire, c'est nettement plus vivable.
Au bout d'un mois sur place, on s'est rendus compte qu'on se faisait nettement moins alpaguer par les vendeurs/guides de tout poil. C'est donc qu'on avait changé d'attitude, mais on n'a pas réussi à déterminer en quoi exactement.
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