Rideau electronique... qui m'explique les enjeux ?
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rascal - Modérateur
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que faire mieux qu'un truc datant de 10 ans n'est pas la preuve d'une maitrise de la conception optique.
The magnificients 7s ! D7, D700, D7000
Sony HX5V, Nikon 18-55VR, AFS 24-70/2.8, AI 135/3.5, AFS 200/2 VR, Sigmund 500/4,5 HSM, tokina 100 macro. Bague allonges kenko, rotule benro GH2, Benro BH1 Manfrotto 141RC, 128RC, 804RC2, tripod 190 nat, monopode 679...
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rascal a écrit :Bug Killer a écrit :Le 70-400 G est le dernier en date des objectifs disponibles de ce type. Heureusement qu'il est meilleur que des objectifs conçus il y a plus de 10 ans.
j'entend mero qui approche avec son CZ 90mm...

J'ai rien dit... mais j'ai pas dit que j'ai rien pensé...

Nex 7 + 18-55 + 18-200 + Voigtlander 15 et 35 1,7 + Zeiss G 28, 45 et 90 | Nex 3 défiltré. 50 1,7 et 35 2,8 Zeiss ; 24 2,8 ; ... ; 50 2,8 macro ; 100 2,8 macro ; 17-35 2,8-4 ; 85 1,4 CZ Contax ; 24-105 ; Tokina 500 f8 MD ; .
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rascal - Modérateur
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Bug Killer - Messages : 13225
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Le CZ est nettement moins bon de 70 Ă 89 mm et de 91 Ă 400 mm que le Sony 

BK : EOS 7D+BG-E7, 10-22, 15-85 IS, 70-200/4L IS, 100-400L IS, Sigma 30/1.4, 580 EX II, PowerShot G5X
KB : EOS D40D+BG-E2, 18-200 IS, 70-300 IS, RX10M3
MK : EOS 80D, 10-18 STM, 15-85 IS, 50/1.8
CK : EOS 700D, 24 pancake, S17-70, T70-300
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3 pages et c'est parti en vrille

Bon je tente de recapituler:
- l'obturateur mécanique n'aurait que des inconvénients ! (fragile, couteux, "lent")
- l'obturateur électronique serait trop rapide pour de rares optiques (inertie du diaph)
Si les obturateurs électroniques ne sont pas arrivés plus tôt sur les reflex, c'est à cause du temps de "remise à zéro" du capteur ? (défaut des compacts) qui serait réglé depuis l’avènement du liveview et de la video ?? c'est ça ??
Pourquoi proposer de combiner les deux type d'obturation ? (premier rideau d'une façon et second de l'autre ??).
Autant modifier le premier rideau, je saisi... mais quelle différence quant au second rideau ?
Et surtout... avec l'obturateur electronique.. on passe outre la synchro flash ? seule la durée de l’éclair est limitante ???
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un petit inconvenient et avantage du rideau electronique, souvent les modeles se calent sur le bruit du rideau pour changer de pose, il y a une petite perte de reperes et de rythmes, mais cela peut aussi forcer a mieux diriger les modeles.
NEXs RX1R SEL30 CV40 Cron-SEL 50 / écran calibré /
mon petit fil: http://www.alphadxd.fr/viewtopic.php?f=155&t=55612&start=272
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eqe a écrit :un petit inconvenient et avantage du rideau electronique, souvent les modeles se calent sur le bruit du rideau pour changer de pose, il y a une petite perte de reperes et de rythmes, mais cela peut aussi forcer a mieux diriger les modeles.
Pas grave, comme sur mon minolta XG d'il y a 7 ans on pourra enregistrer le bruit de déclenchement que l'on veut

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sernine - Messages : 2900
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Si je résume ce que je crois savoir de l'obturateur mécanique:
- le 1er rideau s'ouvre et dévoile progressivement le capteur, suivi par le 2nd rideau qui cache progressivement le capteur
- si le temps de pose est supérieur à la Synchro-X, il y a un moment où tout le capteur est découvert, ce qui permet de mettre un coup de flash uniforme si besoin.
J'aurais 2 questions sur le 1er rideau électronique du coup:
1. Est-ce qu'il est également progressif comme le rideau mécanique? Sinon, comment est assurée une exposition uniforme de toute la surface du capteur.
2. Est-ce que ça a une influence sur la vitesse de Synchro-X ? On pourrait imaginer que le 1er rideau électronique s'ouvre d'un coup (et pas progressivement), permettant donc un coup de flash avant le passage du 2nd rideau mécanique, même pour des vitesse très élevée (proche de la durée de l'éclair?) ?
- le 1er rideau s'ouvre et dévoile progressivement le capteur, suivi par le 2nd rideau qui cache progressivement le capteur
- si le temps de pose est supérieur à la Synchro-X, il y a un moment où tout le capteur est découvert, ce qui permet de mettre un coup de flash uniforme si besoin.
J'aurais 2 questions sur le 1er rideau électronique du coup:
1. Est-ce qu'il est également progressif comme le rideau mécanique? Sinon, comment est assurée une exposition uniforme de toute la surface du capteur.
2. Est-ce que ça a une influence sur la vitesse de Synchro-X ? On pourrait imaginer que le 1er rideau électronique s'ouvre d'un coup (et pas progressivement), permettant donc un coup de flash avant le passage du 2nd rideau mécanique, même pour des vitesse très élevée (proche de la durée de l'éclair?) ?
de ma perception (perfectible puique j'ai initié le fil
)
ok avec ton préambule.
1: Si le second rideau reste mécanique, le numérique est obligatoirement progressif sinon l'expo ne pourrait etre uniforme (et c'est un des enjeux techno.. pouvoir effectuer un balayages justement)
2: pas tant qu'un des rideaux reste mécanique car c'est lui qui impose la vitesse du balayage electronique, donc la synchro X n'est pas améliorée. Pour celà il faut que l'obtu soit totalement electronique (et là c'est une autre limite techno, non plus de balayage qui n'est pas necessaire, mais de vitesse de remise à zero du capteur si j'ai bien compris)
Le mi-electronique doit permettre d'economiser sur le cout de l'obtu tout mécanique sans, me semble t il apporter d'autre interet.

ok avec ton préambule.
1: Si le second rideau reste mécanique, le numérique est obligatoirement progressif sinon l'expo ne pourrait etre uniforme (et c'est un des enjeux techno.. pouvoir effectuer un balayages justement)
2: pas tant qu'un des rideaux reste mécanique car c'est lui qui impose la vitesse du balayage electronique, donc la synchro X n'est pas améliorée. Pour celà il faut que l'obtu soit totalement electronique (et là c'est une autre limite techno, non plus de balayage qui n'est pas necessaire, mais de vitesse de remise à zero du capteur si j'ai bien compris)
Le mi-electronique doit permettre d'economiser sur le cout de l'obtu tout mécanique sans, me semble t il apporter d'autre interet.
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jr56 - Messages : 24349
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Question ouverte pour moi, me suis jamais penché en détail sur la réalisation pratique des obturateurs électroniques.
De toute façon, parler d'obturation électronique est au mieux une facilité de langage, au pire un faux sens (rien n'est "obturé", au mieux "inhibé").
En fait, c'est l'application d'un potentiel électrique sur les photosites qui initialise l'exposition. Du coup c'est "facilement" et bien plus rapidement gérable que des rideaux mécaniques (sous réserve de l'implantation sur le capteur de la circuiteire électrique nécesaire, on doit pouvoir faire beaucoup de choses et de façon bien plus rapide qu'avec des solutions mécaniques).
Par contre, pas encore compris pourquoi le second rideau mécanique reste apparemment indipensable, au moins sur les grands capteurs...
Pour moi, outre ce qui a été dit, l'obturateur électronique permet aussi une rapidité plus grande (rafale haute vitesse) et ausi une précision/stabilité bien plus grande à grande vitesse (avec les deux rideaux mécaniques, à hautes vitesses, la précison de l'expo dépend de la précision de la largeur de la fine fente qui défile. Fut une époque où ce paramètre était testé pour les boitiers, de mémoire la précision n'était pas au rendez-vous (un 1/8000 pouvait être un 1/5000 ou1/7000 et surtout la valeur n'était pas stable d'un déclenchement à l'autre (dispersion d'au moins 10%, voire 20%).
Dès lors que la fin d'expo reste gérée par le second rideau mécanique qui se ferme, il me semble évident que l'initialisation électronque des photosites doit se faire aussi progressivement ligne à ligne, à la vitesse de fermeture du second rideau, sans quoi on n'aurait pas une expo constante.
Coté synchro X, on doit rester tributaire des limites mécaniques du second rideau (temps de défilement du second rideau: un éclair de flash pouvant être très bref, 1/20000 ou 1/25000 s, il faut bien qu'il se déclenche à un moment où tout le capteur est simultanément actif. Le problème ne venant pas du flash, mais de la lumière ambiante, a priori assez forte (sans cela on ne chercherait pas une vitesse d'obturation très courte - par ex. débouchage au flash en plein soileil-. Or pendant tout le temps où le second rideau descend, une fois l'éclair terminé, la lumière ambiante va continuer à exposer les photosites pas encore cachés par le seond rideau.
En 100% électronique, on pourrait par contre imaginer de n'activer les photosites que pendant la seule durée de l'éclair, même très brève (sous réserve des limitations de la gestion de l'activation/vidage des photosites, qui semblent réelles pour l'instant puisqu'on est obligé de conserver un second rideau mécanique; bref, il me semble que c'est la question du pourquoi de cette limite qui reste centrale).
EDIT: Sur les principes, grillé par THP
Mais reste ma demande d'explications détaillées pour comprendre
De toute façon, parler d'obturation électronique est au mieux une facilité de langage, au pire un faux sens (rien n'est "obturé", au mieux "inhibé").
En fait, c'est l'application d'un potentiel électrique sur les photosites qui initialise l'exposition. Du coup c'est "facilement" et bien plus rapidement gérable que des rideaux mécaniques (sous réserve de l'implantation sur le capteur de la circuiteire électrique nécesaire, on doit pouvoir faire beaucoup de choses et de façon bien plus rapide qu'avec des solutions mécaniques).
Par contre, pas encore compris pourquoi le second rideau mécanique reste apparemment indipensable, au moins sur les grands capteurs...
Pour moi, outre ce qui a été dit, l'obturateur électronique permet aussi une rapidité plus grande (rafale haute vitesse) et ausi une précision/stabilité bien plus grande à grande vitesse (avec les deux rideaux mécaniques, à hautes vitesses, la précison de l'expo dépend de la précision de la largeur de la fine fente qui défile. Fut une époque où ce paramètre était testé pour les boitiers, de mémoire la précision n'était pas au rendez-vous (un 1/8000 pouvait être un 1/5000 ou1/7000 et surtout la valeur n'était pas stable d'un déclenchement à l'autre (dispersion d'au moins 10%, voire 20%).
Dès lors que la fin d'expo reste gérée par le second rideau mécanique qui se ferme, il me semble évident que l'initialisation électronque des photosites doit se faire aussi progressivement ligne à ligne, à la vitesse de fermeture du second rideau, sans quoi on n'aurait pas une expo constante.
Coté synchro X, on doit rester tributaire des limites mécaniques du second rideau (temps de défilement du second rideau: un éclair de flash pouvant être très bref, 1/20000 ou 1/25000 s, il faut bien qu'il se déclenche à un moment où tout le capteur est simultanément actif. Le problème ne venant pas du flash, mais de la lumière ambiante, a priori assez forte (sans cela on ne chercherait pas une vitesse d'obturation très courte - par ex. débouchage au flash en plein soileil-. Or pendant tout le temps où le second rideau descend, une fois l'éclair terminé, la lumière ambiante va continuer à exposer les photosites pas encore cachés par le seond rideau.
En 100% électronique, on pourrait par contre imaginer de n'activer les photosites que pendant la seule durée de l'éclair, même très brève (sous réserve des limitations de la gestion de l'activation/vidage des photosites, qui semblent réelles pour l'instant puisqu'on est obligé de conserver un second rideau mécanique; bref, il me semble que c'est la question du pourquoi de cette limite qui reste centrale).
EDIT: Sur les principes, grillé par THP

SRT101, 9xi, D7, D9, Z3, NEX 5N (+viseur), D5D, Alpha 700, Alpha 900 et pas mal de cailloux qui se montent dessus.
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
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Un paramètre à prendre en compte au passage, c'est - comme l'a plus ou moins évoqué JR - le temps de démarrage de la "dé-obturation", plus prompte en électronique qu'en mécanique, puisque la rapidité de la version électronique semble poser problème avec les objectifs de grand diamètre, handicapés par l'inertie de leur grand diaphragme.
Je n'ai pas trop réfléchi à cette techno (et pas le temps de me disperser en ce moment pour faire des recherches), mais je me demande si l'obligation de conserver l'obturation mécanique finale n'est pas liée à la techno du SLT et de sa visée électronique.
Je n'ai pas trop réfléchi à cette techno (et pas le temps de me disperser en ce moment pour faire des recherches), mais je me demande si l'obligation de conserver l'obturation mécanique finale n'est pas liée à la techno du SLT et de sa visée électronique.
jr56 a écrit : bref, il me semble que c'est la question du pourquoi de cette limite qui reste centrale).
C'est effectivement lié à la conception même des capteurs (les C-mos et les je-sais-plus-quoi)
Les compacts mettent du temps à s'initialiser à zero d'où leur latence au déclenchement, mais pour le second rideau no probleme pour cette techno.
Pour un reflex avant l'arivée du live view: no problem puisque le capteur restait derriere le rideau fermé, on gagnait donc la latence au declenchement (mais qui dit rideau fermé dit qu'on ne peut pas s'en passer pour ne garder que les seuls rideaux electroniques du coup

Avec le liveview... ca remet Ă plat le probleme.
Il a donc fallut regler le probleme de latence au declenchement. Ca ça semble mature, Sony avait commencé par contourner le probleme avec le second capteur des premiers miroirs semi transparents qui permettait de garder le capteur principal eteint jusqu'au declenchement (Sony refusait encore d'implanter la video, le second capteur ne permettant que la qualité suffisante pour le live view), depuis il n'y a plus que la cellule AF de phase qui justifie encore le semi transparent.
Mais il reste un probleme structurel qui je crois reside dans le fait que cette techno de capteurs de reflex ne sait justement travailler QUE par balayage et que si tout est fait avec ce balayage il y a à ce jour une perturbation type moiré ou stries non réglée.
Alors qu'une techno sans balayage reste confrontée à sa latence au déclenchement et n'est donc pas utilisable non plus telle quelle.
Je pense que ce doit etre un truc comme ça

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ThP a écrit : Avec le liveview... ca remet à plat le probleme.
Il a donc fallut regler le probleme de latence au declenchement. Ca ça semble mature, Sony avait commencé par contourner le probleme avec le second capteur des premiers miroirs semi transparents qui permettait de garder le capteur principal eteint jusqu'au declenchement (Sony refusait encore d'implanter la video, le second capteur ne permettant que la qualité suffisante pour le live view), depuis il n'y a plus que la cellule AF qui justifie encore le semi transparent.:
Pas lié aux SLT. Ça marchait déjà comme ça avec les OVT.
ThP a écrit :Mais il reste un probleme structurel qui je crois reside dans le fait que cette techno de capteurs de reflex ne sait justement travailler QUE par balayage et que si tout est fait avec ce balayage il y a à ce jour une perturbation type moiré ou stries non réglée.
Alors qu'une techno sans balayage reste confrontée à sa latence au déclenchement et n'est donc pas utilisable non plus telle quelle.
Je ne suis pas en phase avec ça. En effet, si la relecture des infos issue du capteur se fait effectivement par "balayage" (en fait mise dans un message série les infos issues de chaque rangée de photosites), rien n'empêche de "flasher" d'un coup l'ensemble des photosites du capteur sur un ordre unique.
A priori, la vérité est ailleurs...
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