[RUMEUR] Un Moyen Format Sony ?

[rascal]

fait nous la même chose pour les objos FF en monture A, CZ et G compris, qu'on rigole...

Oulala ! j'estime avoir droit a une réponse, simple
Aucun des CZ et G ne coûtent 2300€, donc la moyenne des 13 objos en A et vite faite.

T'es SUR de toi ? Genre... VRAIMENT ? j'ai 2-3 exemples à BIEN plus que 2300€... et chaque G ou CZ étant à 1100€ et plus....

allez.... 15 objectifs valables en FF monture A, y compris les macros, le fisheye et le 70-300...

moyenne ?


2480€....


c'est vrai que si j'enlève 2 anomalies tarifaire, on est à 1400€... mais... pas donné, et moins éloigné du MF qu'on pourrait le croire (y'a plus de différence entre l'APSC et le FF qu'entre le FF Sony et le MF Pentax...)

[Lubna]

Au final, quand tu bosses avec des diaph entier ça fonctionne dans la plupart des cas avec un film pas trop exigeant. Du coup, tout est bien plus facile.

Parfait ! Je n'ai plus rien à t'apprendre...

naipigéquedale

La règle des f/16 : Par temps ensoleillé, on considère qu'on expose bien avec le couple f/16 1/iso.
Si tu prends un vieux boitier tu as :
- sur l'optique : f/1.4 - 2 - 2.8 - 4 - 5.6 - 8 - 11 - 16 et parfois 22. Entre chaque valeur il y a en diaph d'écart, soit deux fois plus ou moins de lumière qui atteint la surface sensible entre deux valeurs.
- sur le barillet de vitesses : 1s - 1/2 - 1/4 - 1/8 - 1/15 - 1/30 - 1/60 - 1/125 - 1/250 - 1/500 et parfois 1/1000 et tu as aussi un diaph d'écart, soit deux fois plus ou moins de lumière qui atteint la surface sensible entre deux valeurs.

Donc, si tu veux appliquer la règle des f/16 par beau temps avec une sensibilité de 400iso, tu as le couple f/16 1/500 pour bien exposer. Mais du coup, en gardant cette logique, tu peux aussi avoir la même exposition à f/11 1/1000, parce que si tu ouvres d'un diaph tu vas faire passer deux fois plus de lumière, du coup, il va falloir compenser ton temps d'expo aussi d'un diaph.
Par temps nuageux, tu descends un des deux paramètres d'un diaph. Donc tu peux faire la photo à f/16 1/250, f/11 1/500, f/8 1/1000, etc... Tu as moins de lumière, donc soit tu exposes plus longtemps, soit tu fais passer plus de lumière par l'objectif.

Sur le même principe, avec un film de 200iso, tu as f/16 1/250, etc... en plein soleil et f/16 1/125, etc... par temps nuageux

En fait tu raisonnes en diaph entier, c'est à dire en quantité de lumière. Il y a juste un petit tableau à connaitre : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8gle_de_f/16 (perso, en contre jour, je rajoute facilement un diaph)

Les boitier actuels, fonctionnent par 1/3 de diaph, que ce soit en sensibilité, ouverture et vitesse. Mais au final, en dehors de quelques cas particuliers, c'est plus de la branlette qu'autre chose. Ca va être utile si tu fais de la diapo ou du négatif couleur (et encore). Mais sur du n&b ou du numérique, on s'en fout les 3/4 du temps.

Ben ça reste le même principe quand tu bosse avec les appareils numérique en manuel. Que ce soit en studio ou en extérieur.
La cellule te donne une infos et a toi de l'interpréter selon le rendu que tu veux!

[rascal]

ouais enfin... quand c'est nuageux, c'est nuageux nuageux ou juste un voile? ... ^^

[J.C]

Les diaphs entier c'est super avec du négatif (grande tolérance aux écarts d'expo) en diapo ou en numérique (ce qui revient au même) c'est autre chose quand même.
Sauf si on se dit qu'on peut tout rattraper en PT (ce qui est évidemment faux).
Je suis bien content de mes 1/3 de diaphs et ne les échangerais pour rien au monde pour des diaphs entiers.

[Onikenji]

naipigéquedale

La règle des f/16 : Par temps ensoleillé, on considère qu'on expose bien avec le couple f/16 1/iso.
Si tu prends un vieux boitier tu as :
- sur l'optique : f/1.4 - 2 - 2.8 - 4 - 5.6 - 8 - 11 - 16 et parfois 22. Entre chaque valeur il y a en diaph d'écart, soit deux fois plus ou moins de lumière qui atteint la surface sensible entre deux valeurs.
- sur le barillet de vitesses : 1s - 1/2 - 1/4 - 1/8 - 1/15 - 1/30 - 1/60 - 1/125 - 1/250 - 1/500 et parfois 1/1000 et tu as aussi un diaph d'écart, soit deux fois plus ou moins de lumière qui atteint la surface sensible entre deux valeurs.

Donc, si tu veux appliquer la règle des f/16 par beau temps avec une sensibilité de 400iso, tu as le couple f/16 1/500 pour bien exposer. Mais du coup, en gardant cette logique, tu peux aussi avoir la même exposition à f/11 1/1000, parce que si tu ouvres d'un diaph tu vas faire passer deux fois plus de lumière, du coup, il va falloir compenser ton temps d'expo aussi d'un diaph.
Par temps nuageux, tu descends un des deux paramètres d'un diaph. Donc tu peux faire la photo à f/16 1/250, f/11 1/500, f/8 1/1000, etc... Tu as moins de lumière, donc soit tu exposes plus longtemps, soit tu fais passer plus de lumière par l'objectif.

Sur le même principe, avec un film de 200iso, tu as f/16 1/250, etc... en plein soleil et f/16 1/125, etc... par temps nuageux

En fait tu raisonnes en diaph entier, c'est à dire en quantité de lumière. Il y a juste un petit tableau à connaitre : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8gle_de_f/16 (perso, en contre jour, je rajoute facilement un diaph)

Les boitier actuels, fonctionnent par 1/3 de diaph, que ce soit en sensibilité, ouverture et vitesse. Mais au final, en dehors de quelques cas particuliers, c'est plus de la branlette qu'autre chose. Ca va être utile si tu fais de la diapo ou du négatif couleur (et encore). Mais sur du n&b ou du numérique, on s'en fout les 3/4 du temps.

Grand merci d'avoir pris le temps d'expliquer

[Flash]

Heureux que tu as appris quelque chose, car la règle des f/16... c'est vieux comme l'argentique

Sur le Kodak Folding Pocket 3A de 1912 équipé d'un objectif 170mm f/4.0 de mon grand-père, ouverture et temps d'exposition se réglaient déjà en notions de plein soleil, ciel partiellement couvert, couvert nuageux, sombre, intérieur... suivant le principe de la règle des f/16.
Dommage que la production de films type 122 (3¼×5½ inch - 9 x 14 cm) a stoppé début des années '70s... car le boitier fonctionne toujours (et au niveau taille du "capteur" on fait pas mieux aujourd'hui)
C'était des films de 6 vues N&B, une seule sensibilité disponible (en fait on n'en parlait pas) et la planche contact donnait une carte postale - le pied quoi !

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Voici un cliché (numériquement restauré par mes soins) de mon grand-père pris en 1915 sur le front de l'Yser par ma grand-mère et ce boitier. Il était chirurgien militaire, elle était infirmière.

#198097: Consulté 926 fois

Aimé fois - dont moi Exifs

[ear_78]

Sauf si on se dit qu'on peut tout rattraper en PT (ce qui est évidemment faux).

Vu que tu ne fais qu'amplifier un signal natif quand tu montes en ISO, oui tu peux rattraper une sous exposition de plusieurs diaph ! Pour la surexposition, c'est autre chose mais avec Sony on est toujours sous exposé au minimum d'1/3 d'IL et souvent 2/3...