Mais redresser un horizon ou redresser des verticales de batiments n'est pas ce que j'apelle du recadrage. De nos jours beaucoup cadrent à la va-vite et n'hésitent pas à retailler en ne retenant que 75% voire moins de leur image.
La pratique: Longuement regarder tout ce qu'il y a dans le viseur, tous les élements... et ne déclencher que quand tout va bien. Comme je le disais, en diapositive on n'a pas le droit à l'erreur, pas même de tirage après le développement. Après 40 ans de pratique, il en reste forcément quelques traces, même en numérique!
            
         
 ?
 avec rascal. Autant quand je photographie une église, je recadre très rarement, autant pour les farouches lézards dans le fond du jardin, si je veux un gros plan, je n'ai pas encore trouvé d'autre solution que le recadrage.
 