"J' erre, minable" récit zolien, takumarique et bretonnant!

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jean-louis
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#49 Message Mar 07 Oct 2008 20:36


C'es bien beau tout ça ! Y a des forums où souffle l'Esprit, c'est sûr ! Et s'il souffle aussi des poussières, y a ce qu'il faut pour s'en défaire sur nos bestiaux respectifs!
Les cits de Charlie m'étaient connues sauf la première que j'aurais davantage vue flaubertienne (à cause du dicco, sans doute))
Ah Maupassant, en v'là un bon, lui aussi. L'homme à femmes de notre littérature, en plus, le petit taureau normand! Censuré outrageusement par le Lagarde et Michard! Toute ma jeunesse, quand j'y pense !
Pas gai, j'admets! Tu lis "Un bock" ou "Aux champs" - mais non, pas l'hyper, c'est vous qui êtes hyper -relouds! et tu files à l'agence GDF la plus proche demander un tarif dégressif pour un suicide au gaz!
Très très dur à imiter, Maupassant ! M'y suis jamais risqué Tu crois qu'y a pas de style alors que ben si, justement! Les Goncourt, par exemple, z'y ont rien compris! Et pourtant z'y ont mis le prix!

Pour revenir à la phot, quand je compare le prix et les possibilités du 5 D mK 2 à celles du défunt 5 D ,alors seul sur le créneau FF, je crie :" Vive la concurrence! Mais vous auriez pas pu arriver plus tôt!!!
Comme s'écriait Le petit corse à Waterloo :" Grouchy ! C'était plus cher!"
Bof!
Vais lire au lit!
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odile
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#50 Message Mar 07 Oct 2008 21:26


Maupassant, c'était un grand de grand ! :prosterne:
Dynax 9 /9Ti; A700; A900; objectifs du 8mm Peleng au 500 cata Minolta, en passant par plein de focales intermédiaires; flash 5600 et macro; et quelques autres plaisanteries hors-sujet, avec un penchant pour les versions titane.

jean-louis
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#51 Message Mar 07 Oct 2008 21:34


Forcé, Odile! avec le grand Gustave qui lui a appris à écrire! Ca aide!
J'ai les deux tomes en PleĂŻade. Rien que du bon!
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odile
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#52 Message Mar 07 Oct 2008 21:47


Oui, mais tu vois, le Gustave je n'ai jamais accroché, alors que Maupassant...

C'est peut-être pour ça qu'on le qualifie d'homme à femmes ? :mrgreen:
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jean-louis
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#53 Message Mer 08 Oct 2008 09:36


Comment ça, Odile, tu ne serais donc pas une flaubertienne, toi un esprit si distingué ???
Déception !
Un des sommets de la Littérature, ce "Madame Bovary" que je relis chaque année par hygiène mentale,y découvrant toujours de nouvelles richesses! (même que j'ai traîtreusement glissé dans ce "J'erre, minable", une reprise audacieuse de la scène des comices agricoles avec GMC qui fait le discours officiel, à la place de Lieuvain, et Ronan en écho ! Z'allez bientôt voir ça!
Madame Bovary que des tâcherons de la pellicule ont adapté à l'écran!!! Crime suprême puisque le Maître s'était exclamé, approximativement. "J'interdis qu'on mette des images sur mes mots pour empêcher que le premier imbécile venu mette un visage sur ma Bovary,que je me suis évertué à ne pas montrer. Une femme peinte fait penser à une femme et c'est tout, une femme décrite en LIttérature fait penser à toutes les femmes."
Madame Bovary et l'histoire si émouvante de Justin le bien nommé qu'on prend pour un voleur de pommes de terre quand il pleure son grand amour,
Madame Bovary et l'autre histoire d'amour si émouvante d'Hippolyte le bien nommé (voir Phèdre, bien sûr puisq'il est palefernier) Hippolyte qui s'aperçoit qu'à poursuivre la femme idéale, on se retrouve avec un pilon! (en bois d'olivier, je précise, qu'il préfère à çui en métal que Charles lui a offert)
Madame Bovary où l'on s'émeut (et même "c'est meuh", vu que c'est un univers bovin avec Bovary, Tuvache, la Pature, et j'en passe) où l'on s'émeut disais-je, de voir une pauvre épouse mal mariée s'éprendre de deux minables dont un R Iglésias de sous- préfecture à bottes molles, qui essore des éponges sur ses lettres de rupture pour faire croire qu'il a pleuré avant d'aller tirer les choses à un pauvre clerc de notaire incapable de piquer dans la caisse pour la sauver et qui finira par épouser une Léocadie Lebeuf, y m'semble (mais suis pas sûr du prénom)
Madame Bovary dont je parlerais des plombes !!! si je devais pas partir au lycée, sans avoir même le temps de relire, non sans signaler à l'honorable assistance publique que le début du ch suivant, c'est tiré d'un autre chef d'oeuvre flaubertien incontournable, " 'éducation sentimentale" que vous avez tout juste le temps de relire d'ici dimache pour goûter pleinement votre feuilleton chéri, SI VOUS LE VOULEZ BIEN !
(accent Lucien Jeunesse indispensable ici!)
JL

PS Odile, Lis au moins, du grand Gustave, "le dictionnaire des idées reçues".
Tu vas aimer, à coup sûr!
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odile
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#54 Message Mer 08 Oct 2008 20:07


jean-louis a écrit :PS Odile, Lis au moins, du grand Gustave, "le dictionnaire des idées reçues".
Tu vas aimer, à coup sûr!


Je dois avoir ça en stock, suffit que je trouve le temps d'y plonger.
Promis, j'essaie :topla: et je te raconte :trinque:
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jean-louis
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#55 Message Mer 08 Oct 2008 23:04


Dictionnaire des idées reçues :
Achille : ajouter "aux pieds légers" pour faire croire qu'on a lu Homère (alors qu'on n'a lu qu' Achille Talon de Greg !)
Pas dit d'ailleurs que ça soit inférieur : Greg, le roi du zeugma ! ( et Desproges, l'empereur du double zeugma : " après avoir sauté sa belle-soeur et son petit déjeuner, le petit prince reprit son souffle et une biscotte !" )
J'adore!
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odile
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#56 Message Jeu 09 Oct 2008 21:15


Tu as vu ça Jean-Louis ? Le Clézio Nobel de littérature !

Ouaouh ! Chapeau l'académie suédoise ! C'est un grand Monsieur, lui aussi !
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jean-louis
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#57 Message Jeu 09 Oct 2008 22:18


Sûr !!!
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jean-louis
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#58 Message Sam 11 Oct 2008 08:49


Chapitre 6

Ce fut comme une apparition : elle était debout, en retrait de son père, mais il ne distingua qu’elle, dans l’éblouissement que lui envoyèrent ses yeux ; déjà Tizefgen s’était précipité, enlevant son fils dans ses bras pour l’allonger, avec une infinie tendresse, sur le canapé de velours grège et il le pressait de questions, mais lui parvenait à peine à entendre ce qu’on lui disait, plongé dans une contemplation amoureuse si intense qu’elle en était presque presque douloureuse. D’où tenait-elle la splendeur de sa peau brune ? Et qui devait-on bénir pour lui avoir donné la profondeur de ces yeux verts où il aurait souhaité se noyer ? Lui, d’un naturel chaste, avait fait son éducation sentimentale en cédant aux sollicitations pressantes de camarades de lycée qui, toutes, craquaient pour ses boucles folles et cette aisance de mouvements donnant toujours l’impression qu’il dansait, mais, à chaque expérience, lui était resté un goût amer d’insatisfaction. Quelques horizontales, d’assez bonne composition pour consentir aux étudiants des tarifs privilégiés, avaient ensuite pris l’affaire en mains, apportant cette irremplaçable compétence professionnelle née d’une solide expérience alliée à la maîtrise technique mais, après le temps du plaisir, venait toujours celui de la nostalgie. Le jeune homme n’avait donc tiré, pour l’essentiel, que des conclusions désabusées sur la possibilité d’atteindre à la fusion amoureuse. La lecture des « Journaux intimes » de Baudelaire, qu’il adulait, n’avait rien arrangé, et il lui arrivait de croire, lui aussi, que le gouffre de l’incommunicabilité avait vocation à rester infranchi ! Il s’était donc réfugié dans les études et la pratique à haut niveau du jeu d’échecs, y connaissant les succès les plus flatteurs, mais sans désespérer de La rencontrer un jour. Or, ce jour venait d’arriver, il l’avait compris au premier regard.
Elle, pour sa part, n’avait connu l’amour que sous la forme dégoûtante du désir sénile, lorsque, apprentie photographe chez Kenardier, il lui fallait prévenir sans cesse les désirs lubriques de son maître de stage. Celui-ci, profitant de la promiscuité trouble du minuscule laboratoire que la lanterne murale éclairait chichement d’une lueur rougeâtre, multipliait les tentatives impudiques, sans considération ni respect pour l’innocence de ses seize ans ! Oh, les deux années d’enfer qu’elle avait vécues là, dans les relents d’acide du fixateur, lorsque, l’œil rivé au Scoponet, penchée vers le Durst 601 dont sa main droite atteignait à peine la molette de réglage du point, elle sentait, derrière son cou, le souffle rauque du tyran dont les mains s’égaraient sous sa jupe !
- Cessez, mais cessez donc ! suppliait-elle en vain, se tortillant pour échapper aux caresses malsaines mais ne parvenant qu’à aiguillonner le désir de l’autre. Un jour, même, il avait voulu la prendre de force, alors que ses mains à elle décrivaient gracieusement des arabesques pour faire venir la zone ciel d’un 30X40 et elle n’avait pu lui échapper qu’en se tournant brusquement et en l’envoyant bouler sur la glaceuse à plaques qui fonctionnait en permanence à l’extrémité du laboratoire. Dame, ça lui avait fait chaud aux fesses, au bonhomme, mais quelle colère l’avait pris, ce jour-là, au point qu’il avait défait sa ceinture de cuir tressé pour en en fouetter au sang cette pimbêche, cette gueuse qui l’allumait et se refusait ensuite. Odile avait subi sans une plainte la grêle de coups et d’injures mais, le soir, alors qu’elle desservait la table où il pérorait devant son acariâtre épouse, elle l’avait regardé bien dans les yeux avec tant de mépris qu’il avait fui son regard et bougonné des menaces. Le soi-même la jeune fille
rassemblait ses maigres richesses et partait sur les routes, après avoir libéré Kléber de la triste volière où il dépérissait.
Toute cette noirceur malsaine d’un désir non partagé et qui piétine tout, salit tout pour arriver à ses fins venait de s’effacer en un instant lorsque Odile avait découvert Yoann. L’évidence de l’amour entre ces deux-là s’imposait, si lumineuse que les deux étudiants et Tizefgen lui-même eurent le sentiment d’être de trop. Les jeunes gens sortirent dans la rue sous le prétexte
d’« en griller une », tandis que le père laissait la jeune fille en tête à tête avec son fils pour courir chercher son voisin médecin, le vieux Kerlois, qui avait soigné Yoann tout gamin. On ne sut jamais ce qu’ils se dirent ; déjà Tizefgen revenait en compagnie du praticien précédé de son sthétoscope. Très vite, on apprit que la blessure n’était pas trop grave : sans doute deux côtes cassées, à confirmer à la radio dès le lendemain, et divers hématomes. Le bandage du jeune homme fut repris en professionnel, on lui fit une piqure analgésique et le brave docteur accepta sans façon de rester à dîner. Tizefgen, après avoir exprimé toute sa gratitude aux amis de son fils, les invita également, ce qu’ils acceptèrent de bon cœur et l’on déplaça la table pour la rapprocher du canapé de Yoann, demi-allongé, le dos calé par deux gros oreillers. Pour ses grands-parents, qu’on attendait encore, ils venaient juste d’appeler disant qu’avec les manifestations et les grêves du jour, ils ne pourraient pas venir fêter le succès du héros, mais que ce n’était que partie remise.
Hasard ou bien plutôt complicité bienveillante de Tizefgen, Odile se trouva placée tout près du canapé de Yoann et s’offrit à l’aider à manger. Il accepta dans un sourire comblé faisant douter qu’il fût blessé. Le dîner fut somptueux, mais les jeunes gens étaient trop occupés à se contempler amoureusement pour le goûter vraiment. Même les souvenirs d’enfance et de jeunesse du docteur passaient au dessus de leurs deux têtes tournées l’une vers l’autre. Il en avait pourtant de bonnes à raconter, ce brave médecin, surtout quand il avait un ou deux verres de cognac dans l’estomac ! Combien de fois Yoann s’était tordu de rire à l’entendre narrer comment Lekermezan, le patron du chalutier « la belle poulette » avait remonté un sous-marin de poche allemand dans ses filets, pendant la guerre. Le capitaine avait été fait prisonnier mais libéré dès 45 et était venu s’établir au pays des abers, par passion de marin. On avait vite sympathisé, à tel point qu’on se lançait avec lui dans d’interminables parties de poker et qu’il s’était fait gagner son Leica à télémètre par le père du docteur ! Que c’était loin, ce temps, une fichue époque, par ailleurs, où on manquait de tout et où il fallait faire la queue des heures durant pour espérer toucher un bon de cretonne ! N’importe, c’était sa jeunesse qui revenait au vieux Kerlois et il avait presque la larme à l’œil d’avoir évoqué ça quand on le reconduisit chez lui, titubant un peu, minuit passé.
De retour, Tizefgen se fit grave. S’il s’offrait à loger la jeune fille, il ne pouvait lui proposer d’emploi, les affaires allant trop mal avec cette crise qui empirait chaque jour, mais il avait entendu dire que le bureau de poste local cherchait une remplaçante pour quelques mois, la factrice étant en congé de maternité. Travail ingrat, pour sûr et chichement payé : il s’agirait de faire sa tournée avec l’antique triporteur jaune qui faisait la joie de tous les gamins du canton. Odile accepta sans hésiter de se porter candidate et, quand on se quitta enfin pour aller se coucher, on aurait dit que Kléber lui-même avait de la lumière plein les yeux.
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jean-louis
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#59 Message Sam 11 Oct 2008 09:26


Qu'est-ce que j'apprends?
Sony qui se met à faire des cash back, à la manière de Canon !
Ah c'est vrai que c'est la crise, façon 29.
Bientôt faudra se pointer avec sa brouette de billets de 500 euros pour acheter un bouchon arrière d'objectif!
A moins qu'on ne voie de nouveaux pauvres qui avaient, dernièrement encore, leur coulant de serviette au Fouquet's, vous supplier de leur échanger leur FF Sony et son 300 F 2,8 contre un pauvre quignon de pain.
Pas gai, tout ça!
Vais m'en jeter un pour me remettre§
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ethnies
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#60 Message Lun 13 Oct 2008 15:00


:ordi
Salut à tous; super ton texte jean louis, j'espère que tu as d'autres idées de " patische " sur d'autres grands textes de la littérature française !
:mur:
Sinon voici une petite citation, Ă  vous de trouver de qui elle est :
La volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté.
BONNE CHANCE
:duel:

jean-louis
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#61 Message Lun 13 Oct 2008 18:54


moi je sais!
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odile
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#62 Message Lun 13 Oct 2008 19:05


Trop facile !
CB
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jean-louis
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#63 Message Lun 13 Oct 2008 19:23


Et oui c'était Charlie et non le divin marquis !
A propos, vous connaissez le dialogue immortel entre le sadique et le masochiste ?
Y a le masochiste qui soupire :" Fais moi mal! "
Et le sadique qui murmure :" Non !"
(suis sorti faire une partie d'échecs sur un autre forum en écoutant France inter)
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jean-louis
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#64 Message Lun 13 Oct 2008 21:09


J'ai fait 6 ou 7 parties en blitz avec un gars sympa à qui j'ai conseillé de venir prendre l'air sur ce forum.
S'peut qu'il y connaisse rien de rien en phot et qu'il demande si on peut mettre des ampoules flash au magnésium sur les appareils numériques ou si on peut acheter des cartes en 24 ou 36 poses.
Vous lui sortez pas trop de vannes, au moins....
"ketchup", beau pseudo qu'il a !
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