[Studio] Pin-up

[marco117]

J'aime beaucoup. Cela fait photo des années soixante. Seuls les tatouages aux pieds sont anachroniques.

[kribo]

Vous êtes durs

Nan mais ça fait du bien!!
Je ne suis pas satisfé de se que j'ai fais donc je ne suis pas surpris par les coms.
La séance c'est faite sur Bruxelles, je ne connaissais ni le modéle ni l'endroit où devait se faire le shoot et j'ai encore bien galéré (j'ai minimisé les ""dégats"").

[LE BISON]

Pour moi, le regard bute un peu sur le bord, non?

Pour le reste j'aime !

François

Avec toi. Le photographe aurait du donner plus de champ au regard qui bute sur le côté gauche.
Pas mal en recherche

[LE BISON]

ça gène personne les déformations dues au GA en plongée ?

La taille du bras droit par rapport au reste est assez démesuré je trouve. Pê moins de plongée pour rattraper ça ?

Aussi. Il fallait s'éloigner et opérer un zooming afin d'éviter l'effet GA!
De plus, j'aurai tenté soit une contre plongée soit une plongée + importante!

[Foug]

Vous êtes durs

Pour une fois que Kribo nous sort pas une photo parfaite on se lache

Personnellement je préfère tes photos sur fond gris/noir dont je suis fan, ici mis à part les tatouage je ne reconnais pas ton style.

Mais ce n'est que mon avis

[Bertrand T]

J'aime beaucoup. Cela fait photo des années soixante. Seuls les tatouages aux pieds sont anachroniques.

Oh, le tatouage va très bien aux héritières de Betty Page…

D'accord pour le "à la chambre" mais le "avec mouvement" ça veut dire quoi

Les mouvements de la chambre photographique, évidemment, pas la chambre dans laquelle on amène la pin-up bien que là aussi, il y ait matière à mouvements
L'intérêt de la chambre — ce machin archaïque derrière lequel le photographe se cache sous le voile noir, insigne de sa profession — est que la platine porte-objectif et le chassis porte-film se déplacent indépendemment, permettant les deux mouvements : bascule et décentrement.

Le décentrement permet d'ajuster les points de fuite. La pin-up, par nature, est perchée sur des jambes interminables. À défaut de trouver un modèle vénusien mutant, le photographe prend une terrienne ordinaire en contre-plongée au grand angle, ce qui lui allonge les gambettes par artifice, et déplace verticalement le corps avant de son appareil(*) pour éviter l'apparition de fuyantes disgracieuses.

Le décentrement préserve le parallélisme des deux corps de l'appareil. La bascule fait exactement l'inverse : les corps sont centrés, mais plus parallèles. Cela permet de répartir la zone de netteté selon la règle de Scheimpflug : le plan objet(**), le plan image et le plan de l'objectif se coupent en une même droite (réputée se située à l'infini dans le cas "normal" où les trois plans sont parallèles).

(*) honni soit qui mal pense à cette phrase
(**) ce terme technique ne fait aucune allusion au sujet féminin qu'est la pin-up; voir le (*)

Vous êtes durs

Un peu, parce que lapidaire, mais c'est exactement symétrique des "j'aime bien" et autres , qui ne font guère avancer le schmilblick — sans qu'on le leur reproche. Kribo venant chercher des commentaires sur son travail, je pense qu'il ne m'en tiendra pas rigueur.
La lumière est bonne, mais le reste ne va pas : les jambes sont en vrac, une main, cassée, le regard s'égarre, le décor envahissant (canapé rouge, cadres au mur, dont un coupé) tangue et détourne du sujet. N'ayant aucune expérience dans cet exercice, je suis certain que je ne ferais pas mieux que lui, et même facilement pire, mais je peux analyser ce qui ne va pas.

[sertei57]

J'aime bien cette photo, mais je trouve que les tatouages gachent un peu le charme de l'ensemble...