La 3 est bien meilleure que la 2, mais effectivement un peu jaunâtre sans doute.
Pour les droits de photographier, la qestion est complexe:
1) il y a le droit des propriétaires. Mais depuis que les propriétaires (privés) de la plupart des volcans d'Auvergne avaient voulu interdire leur photo ( utilisé effectivement sans autorisation - et peut-être plus sensible, sans rémunération

- par le conseil général ou régional, à moins que ce ne soit par une cél_bre marque d'eau minérale locale... pour une campagne de pub.), un arrêt célèbre de la justice, faisant jurisprudence, a heureusement stoppé net les dérives et même marqué u retour en arrière.
En gros, la limite c'est usage privé/usage commecial de la photo: si on en fait un usage commercial (livre par ex. ou utilisation pour une pub.), il faut l'autorisation, mais l'usage privé ne pose pas de problème si photo prise depuis un lieu public.
Bon, ensuite on peut chipoter ce qui est lieu public: En région parisienne la RATP est tristement célèbre pour considérer que tout son réseau (en tt cas souterrain)à est un espace privé, et que nul ne peut y photographier sans autorisation.Dans les lieux privés ouverts au public (monuments, musées...) les règles sont variables, et appliquées de façon variable...

par ex. même quand la photo privée est autorisée, certains gardiens considèrent que celui qui utilise un pied est forcément un pro qui vient pour un usage commercial. Mais certains règlements intérieurs proscrivent explicitement le pied (peut-être à partir de la même assimilation).
L'usage du flash est aussi sujet à restriction, mais là plutôt pour la conservation des oeuvres ou de peintures fragiles... (et du coup, beaucoup de peronnes étant incapables d'inhiber le flash auto de leur compact, la photo est totalement interdite à cause de cela

bon, là en expliquant à un gardien qu'on sait faire sans flash, on arrive parfois à obtenir une dérogation).
Ceci dit si intérieur, lumière faible, et ni pied ni flash, cela revient en gros à interdire les photos!L'inverse est aussi vrai: à ma première visite du musée des arts premiers quai Branly à Paris, ayant vu sur leur site internet que le règlement interdisait la photo, je n'avais pas emmené mon matériel. Sur place, tout le monde photographiait à tout va, y compris au flash, devant les gardiens indifférents!
2) S'y superpose la propriété artistique, en général d'un artiste qui n'est pas propriétaire: Par ex.
l'éclairage modernisé voici quelques années (à l'ocasion de l'an 2000?) de la Tour Eiffel de nuit est effectivement concerné (mais pas la Tour Eiffel en elle même), et les photos mettant en valeur cet éclairage (en tout cas leur usage commercial) protégé. Pas mal de contentieux là -dessus (par ex. éditeurs de cartes postales, mais aussi livre sur la TFL). Mais jamais vu quiconque s'opposer à ce qu'un passant ou touriste photographie la TFL de nuit (d'ailleurs, cf. toutes celles postées sur le forum).
SRT101, 9xi, D7, D9, Z3, NEX 5N (+viseur), D5D, Alpha 700, Alpha 900 et pas mal de cailloux qui se montent dessus.
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet