Sur mon vieux X700, là au moins, on voit bien ! ( synchro flash à ... 1/60 ème s ... on ne peut pas tout avoir ! ).
Sinon, j'ai pris un peu de temps pour mon explication précédente : voici le croquis ... très (très) simplifié...
"obturateur visible" en lumiere naturelle
Je ne suis pas trop d'accord avec le schéma ci-dessus, il y a bien une image inversée, mais le "croisement" se fait plutôt en avant du miroir, par exemple "dans l'objectif" comme illustré sur ce site :
http://www.optotelecentric.com/images/T ... _Img03.jpg
D'ailleurs les capteurs n'aiment pas les rayons inclinés, ils ont intérêt à "provenir" d'un point très éloigné.
http://www.optotelecentric.com/images/T ... _Img03.jpg
D'ailleurs les capteurs n'aiment pas les rayons inclinés, ils ont intérêt à "provenir" d'un point très éloigné.
La formule optique d'un objectif télécentrique est à l'évidence un cas très particulier et ces optiques sont dédiées à des usages pratiquement exclusivement scientifiques.
Mais effectivement, sur les objectifs récents, les formules optiques tendent à se rapprocher de ce cas de figure, surtout sur un grand angle.
De toutes façons, une simulation qu'on vient de faire avec un 50 mm montre que la fin de parcours du miroir assombrirait toute l'image et pas seulement une partie.
Donc ... retour à la case départ.
Et sans exclure complètement l'hypothèse du miroir, qui pouvait être corroborée par des articulations dont la graisse se fige aux basses températures, il faut bien reconsidérer des problèmes de régularité des mouvements des rideaux.
Ils sont maintenant tous métalliques, à plusieurs lamelles commandées par des bras dont les pivots sont lubrifiés (Les premiers Nikon D 300 étaient réputés pour laisser quelques taches grasses sur le filtre du capteur!)
Pour ma part, cet hiver j'ai utilisé un bon vieux D7D entre moins 22°C et moins 17°, à des vitesses comprises entre 1/2000 et 1/4000 ème de s, sans noter d'anomalie d'exposition.
Et puis quand même, sur cette photo, la variation d'exposition est énorme.
De plus, la "frontière" d'assombrissement n'est pas une droite...
Les obturateurs Minolta étaient des Seiko, tout à fait réputés . Sony les a-t-il conservés ?
Voilà donc une "panne" de plus sans véritable explication ...
A suivre !
Mais effectivement, sur les objectifs récents, les formules optiques tendent à se rapprocher de ce cas de figure, surtout sur un grand angle.
De toutes façons, une simulation qu'on vient de faire avec un 50 mm montre que la fin de parcours du miroir assombrirait toute l'image et pas seulement une partie.
Donc ... retour à la case départ.
Et sans exclure complètement l'hypothèse du miroir, qui pouvait être corroborée par des articulations dont la graisse se fige aux basses températures, il faut bien reconsidérer des problèmes de régularité des mouvements des rideaux.
Ils sont maintenant tous métalliques, à plusieurs lamelles commandées par des bras dont les pivots sont lubrifiés (Les premiers Nikon D 300 étaient réputés pour laisser quelques taches grasses sur le filtre du capteur!)
Pour ma part, cet hiver j'ai utilisé un bon vieux D7D entre moins 22°C et moins 17°, à des vitesses comprises entre 1/2000 et 1/4000 ème de s, sans noter d'anomalie d'exposition.
Et puis quand même, sur cette photo, la variation d'exposition est énorme.
De plus, la "frontière" d'assombrissement n'est pas une droite...
Les obturateurs Minolta étaient des Seiko, tout à fait réputés . Sony les a-t-il conservés ?
Voilà donc une "panne" de plus sans véritable explication ...
A suivre !
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