JPEG fin ou très fin ??
Pour revenir à la question initiale, à savoir le choix de la qualité du jpg au déclenchement, au regard de celle de restitution du résultat, ne faudrait-il pas également lui associer la qualité optique de l'objectif utilisé ?
Autrement dit, celui qui n'a pas les moyens de se payer des optiques déformant peu et offrant un piqué d'enfer, observera-t-il une différence significative dans le rendu des détails, et ce à partir de quel agrandissement ?
Autrement dit, celui qui n'a pas les moyens de se payer des optiques déformant peu et offrant un piqué d'enfer, observera-t-il une différence significative dans le rendu des détails, et ce à partir de quel agrandissement ?
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Equinoxe a écrit :Pour l’effet de peigne, si on parle de la même chose, à savoir l’aspect en peigne d’un histogramme obtenu par une tentative d’élargissement abusif de la dynamique, ce qui inévitablement, va éliminer de l’image les pixels initialement aux bornes de l’histo, cela peut se produire aussi bien à partir d’un traitement de fichier raw ( si le logiciel de traitement le permet et dimage viewer ne le permet pas) que d’un jpeg et cela relève d’une erreur du manipulateur et pas d’une caractéristique de fichier.
Bien sur que non dans l'état actuel des choses in-fine (ecran/ impression) on se retrouve toujours en 8 bits
Quand que tu interviend sur les bornes de l'histo tu "compresses" (tu ne détruits pas de pixel bien heureusement) l'étendue dynamique de ton image.
Si ton traitement s'applique sur un fichiers sur 8 bits tu bel et bien une perte d'information. Par contre si tu travailles en 16 bits (en fait les raw sont sur 12 bits) tu va réduire la plage dynamique sur 12 mais quand ensuite tu va convertir en 8 bits il te restera bien suffisament d'information dans ton fichier pour "remplir pleinement" tes 8 bits
pour faire simple
12 bits correspondants Ă une gamme de tons sur 4095
8 bits correspondants Ă une gamme de tons sur 256
il faudra méchament tarfiquer ton image 12 bits pour qu'à la sortie elle ne remplisse pas les 256 tons
il faut mé
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Bien sûr que si !
Cela dépend des possibilités du logiciel utilisé et aussi de quels curseurs on se sert : ceux de sortie de valeurs de "luminance" peuvent très bien rogner les pixels qui correspondent aux valeurs éliminées ; peu importe évidemment qu'on soit en 8, 32 ... bits.
Et c'est alors que si l'on "tire" la dynamique au maxi avec la nouvelle image précédemmment sauvegardée on aperçoit un histo avec cette allure de peigne. Faites cela trois fois de suite et les effets vont devenir visibles sur l'image.
Et sur 12 ou 8 bits, ce n'est que la "finesse" d'encodage d'une valeur de luminance qui devient plus plus précise en 12 bits mais cela correspond à une même valeur analogique de lumière venue sur le photosite. Le nombre de pixels rognés sera le même pour telles ou telles valeurs de luminance supérieures ou inférieures à la borne choisie.
Enfin, tout cela serait mieux dans la rubrique traitements. Pour revenir au sujet, ce qui m'intéressait, c'est l'effet des méthodes de compression sur le contours et les variations d'impression de piqué qui en résultent. Parce que le jpeg, ce n'est peut être pas extraordinaire mais je viens d'avoir des fichiers jpeg venant d'un ami qui a le Nikon D3 et là , franchement, on n'a plus vraiment besoin de discuter.
Cela dépend des possibilités du logiciel utilisé et aussi de quels curseurs on se sert : ceux de sortie de valeurs de "luminance" peuvent très bien rogner les pixels qui correspondent aux valeurs éliminées ; peu importe évidemment qu'on soit en 8, 32 ... bits.
Et c'est alors que si l'on "tire" la dynamique au maxi avec la nouvelle image précédemmment sauvegardée on aperçoit un histo avec cette allure de peigne. Faites cela trois fois de suite et les effets vont devenir visibles sur l'image.
Et sur 12 ou 8 bits, ce n'est que la "finesse" d'encodage d'une valeur de luminance qui devient plus plus précise en 12 bits mais cela correspond à une même valeur analogique de lumière venue sur le photosite. Le nombre de pixels rognés sera le même pour telles ou telles valeurs de luminance supérieures ou inférieures à la borne choisie.
Enfin, tout cela serait mieux dans la rubrique traitements. Pour revenir au sujet, ce qui m'intéressait, c'est l'effet des méthodes de compression sur le contours et les variations d'impression de piqué qui en résultent. Parce que le jpeg, ce n'est peut être pas extraordinaire mais je viens d'avoir des fichiers jpeg venant d'un ami qui a le Nikon D3 et là , franchement, on n'a plus vraiment besoin de discuter.
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C'est une fois de plus assez stupéfiant de lire ça : si l'on "tire" la dynamique au maxi avec la nouvelle image précédemmment sauvegardée (...) Faites cela trois fois de suite et les effets vont devenir visibles sur l'image.
Mais enfin... on parle de la dynamique d'un raw 12 bits ici. C'est quoi cette histoire de faire les choses 3 fois de suite. Ca n'existe pas en raw, la notion de séquentialité des traitements, et c'est un énorme avantage. En raw, tous les traitements sont faits en une passe au moment de l'export FINAL en jpeg ou en tif, aucun traitement n'est fait plusieurs fois. Le jpeg issu d'un raw est toujours DEFINITIF, et s'il ne convient pas on reprend le raw et son fichier side-car contenant la mémoire en métadonnées des modifications déjà faites, on fait les corrections complémentaires et on l'exporte de nouveau. On ne corrige donc JAMAIS un jpeg issu d'un raw, c'est quand même pas compliqué...
Mais enfin... on parle de la dynamique d'un raw 12 bits ici. C'est quoi cette histoire de faire les choses 3 fois de suite. Ca n'existe pas en raw, la notion de séquentialité des traitements, et c'est un énorme avantage. En raw, tous les traitements sont faits en une passe au moment de l'export FINAL en jpeg ou en tif, aucun traitement n'est fait plusieurs fois. Le jpeg issu d'un raw est toujours DEFINITIF, et s'il ne convient pas on reprend le raw et son fichier side-car contenant la mémoire en métadonnées des modifications déjà faites, on fait les corrections complémentaires et on l'exporte de nouveau. On ne corrige donc JAMAIS un jpeg issu d'un raw, c'est quand même pas compliqué...
Je crois que Equinoxe n'évoquait cette manip que pour situer à quel moment les dégradations devenaient visibles. Pas comme une procédure courante.
Tout comme moi, tu démarres au quart de tour...
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Equinoxe a écrit :...bien rogner les pixels qui correspondent aux valeurs éliminées ; peu importe évidemment qu'on soit en 8, 32 ... bits.
...... Le nombre de pixels rognés sera le même pour telles ou telles valeurs de luminance supérieures ou inférieures à la borne choisie....
Désolé mais je ne comprends pas ce que tu appelle des Pixels rognés (ou plus haut détruits) tu veux dire que si je travaille sur une image de 8 milloins de pixels a la sortie je ne vais me retrouver qu'avec 6 millions (j'avoue que pour moi c'est un scoop)
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Equinoxe a écrit :Et c'est alors que si l'on "tire" la dynamique au maxi avec la nouvelle image précédemmment sauvegardée on aperçoit un histo avec cette allure de peigne. Faites cela trois fois de suite et les effets vont devenir visibles sur l'image.
.
Si tu "tires" ta dynamique de ton histogramme au maxi, une fois qu'elle est au maxi je vois pas comment tu peux la "retirer" encore plus une seconde ou une troisieme fois ???? Si tu tire plus tu va surtout écreter les hautes et les bases lumières.
Ca veux dire quoi exactement "la nouvelle image précédemmment sauvegardée " ? Si tu sauvegarde entre chaque tirage je ne vois pas du tout a quoi ca sert.
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Jean-Michel a écrit :Ca veux dire quoi exactement "la nouvelle image précédemmment sauvegardée " ? Si tu sauvegarde entre chaque tirage je ne vois pas du tout a quoi ca sert.
Ça n'a surtout aucun sens quand on parle de raw, 12 bits ou pas 12 bits...
Cloclo a écrit :Je crois que Equinoxe n'évoquait cette manip que pour situer à quel moment les dégradations devenaient visibles. Pas comme une procédure courante.
Bon, au moins, on s'est compris !
Evidemment que pour "étirer" une seconde fois la dynamique, on ne repart pas du raw mais de la sauvegarde obtenue. C'est juste une manip pour montrer comment imperceptiblement on dégrade une image. Cela dit, pour montrer le dérisoire de pareille discussion , avez vous déja mis à l'écran la même image sous deux "versions" ? Une en 16 millions de couleurs et la même réduite à 256 couleurs : il suffit de la convertir en gif. Pas fameuses nos capacités visuelles n'est ce pas - c'est pourquoi je conclus : il vaut mieux un bon jpeg qu'un raw mal traité. Mais bien sûr que c'est mieux de travailler en raw : qui peut le plus peut le moins ... enfin j'ai un ami qui a le Nikon D3 ... je peux vous dire qu'il n'a plus beaucoup l'intention de faire du raw ... même si c'est ... valorisant !
Il est clair que celui qui ne fait que regarder ses photos sur écran, et celui dont les clichés sont destinés à illustrer des affiches géantes n'ont ni les mêmes besoins, ni le même abord de la photo.
Pour parler de l'encombrement des photos, il n'y a encore pas si longtemps, les journalistes sportifs n'avaient que des APN de 6 Mpix pour sortir au max des demi A4 pour leur magazine.
Comme je sauvegarde tout ce que je fais, il m'est moi-même quelque fois arrivé, pour ne pas m'encombrer, de shooter directement en 6 Mpix avec mon A700 sachant que les clichés étaient uniquement destinés au blog de ma femme sur le Web. Et ça remplit quand même plein pot mon écran.
Pour parler de l'encombrement des photos, il n'y a encore pas si longtemps, les journalistes sportifs n'avaient que des APN de 6 Mpix pour sortir au max des demi A4 pour leur magazine.
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Dernière édition par Cloclo le Mar 05 Fév 2008 10:02, édité 1 fois.
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Je vais avouer un crime caché : la dernière fois que j'ai fait une mise en vente eBay, j'ai fait les photo DIRECTEMENT en jpeg ! Si si
J'étais à la bourre et je me suis retrouvé dans la situation d'un pro qui doit faire du temps réel. Ben j'ai pas aimé l'idée de la roulette russe, même si je savais que l'enjeu était faible. J'aimerais pas me retrouver en permanence dans leur situation 
Quant aux "photographes" dont tu parles, vroum, ils ne doivent pas souvent tirer en 30x45
Sinon Equinoxe, tu dis ironiquement que faire du raw est "valorisant", sous-entendu "on se la pète". C'est ton droit de le penser, mais je voudrais dire à tout ceux qui s'imaginent que le développement raw est long et rébarbatif que ça peut également être un grand plaisir (et c'est le cas pour moi). Quand on a un peu de temps à y consacrer et le goût des choses maîtrisées et bien faites, ça devient un régal


Quant aux "photographes" dont tu parles, vroum, ils ne doivent pas souvent tirer en 30x45

Sinon Equinoxe, tu dis ironiquement que faire du raw est "valorisant", sous-entendu "on se la pète". C'est ton droit de le penser, mais je voudrais dire à tout ceux qui s'imaginent que le développement raw est long et rébarbatif que ça peut également être un grand plaisir (et c'est le cas pour moi). Quand on a un peu de temps à y consacrer et le goût des choses maîtrisées et bien faites, ça devient un régal

oh lala, je crois que tu diabolises un peu trop le jpeg alpha
yen a plus que ce que tu crois qui shootent de cette manière avec des boitiers pro ou expert.
Idem avec l'A700, je te rassure. A chaque fois que j'ai fait du raw, je l'ai regretté! pas plus tard qu'avant hier encore

yen a plus que ce que tu crois qui shootent de cette manière avec des boitiers pro ou expert.
Equinoxe a écrit :..c'est pourquoi je conclus : il vaut mieux un bon jpeg qu'un raw mal traité. Mais bien sûr que c'est mieux de travailler en raw : qui peut le plus peut le moins ... enfin j'ai un ami qui a le Nikon D3 ... je peux vous dire qu'il n'a plus beaucoup l'intention de faire du raw ... même si c'est ... valorisant !
Idem avec l'A700, je te rassure. A chaque fois que j'ai fait du raw, je l'ai regretté! pas plus tard qu'avant hier encore

Création vidéo - HXR-NX5 l Manfrotto 504HD,535K
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Et tu en conclus quoi au juste ?firebird a écrit :oh lala, je crois que tu diabolises un peu trop le jpeg alpha![]()
yen a plus que ce que tu crois qui shootent de cette manière avec des boitiers pro ou expert.

Je connais des gens qui font cuire leurs steaks au micro-ondes parce que ça va plus vite...
Et pour quelle raison ?firebird a écrit :A chaque fois que j'ai fait du raw, je l'ai regretté! pas plus tard qu'avant hier encore
Le raw a fait coulé beaucoup "d'encre" sur DXD.
Les données sont brutes et le dématriçage est fait directement par le photographe, on ne peut guère faire mieux en terme de traitement d'image et de qualité.
Seulement je ne suis pas abonné à cette pratique et toutes mes vaines tentatives se sont avérées infructueuses (prise de tête, diaporama de prétraitement impossible, lenteur de traitement, résultats médiocres etc..)
Que dois je en conclure: j'aurais besoin d'un stage ou d'une prise en main chez un spécialiste du genre si c'est vraiment la solution miracle.
Ce que je sais, c'est qu'en jpg je fais exactement ce que je veux en post traitement, ce que je n'arrive pas à faire en qualité et en rapidité en traitement raw.
Le jpg n'est pas de la daube c'est tout ce que je veux dire car si tel était le cas, il me faudrait repenser totalement ma pratique photo et je suis pas le seul dans ce cas.
Je suis d'ailleurs estomaqué que tu puisses traiter 600 shoot raw de théatre en un soir. Pour moi c'est un mysthère
Les données sont brutes et le dématriçage est fait directement par le photographe, on ne peut guère faire mieux en terme de traitement d'image et de qualité.
Seulement je ne suis pas abonné à cette pratique et toutes mes vaines tentatives se sont avérées infructueuses (prise de tête, diaporama de prétraitement impossible, lenteur de traitement, résultats médiocres etc..)
Que dois je en conclure: j'aurais besoin d'un stage ou d'une prise en main chez un spécialiste du genre si c'est vraiment la solution miracle.
Ce que je sais, c'est qu'en jpg je fais exactement ce que je veux en post traitement, ce que je n'arrive pas à faire en qualité et en rapidité en traitement raw.
Le jpg n'est pas de la daube c'est tout ce que je veux dire car si tel était le cas, il me faudrait repenser totalement ma pratique photo et je suis pas le seul dans ce cas.
Je suis d'ailleurs estomaqué que tu puisses traiter 600 shoot raw de théatre en un soir. Pour moi c'est un mysthère

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Personne n'a dit que le jpeg était de la daube, Firebird. Si le boîtier est parfaitement réglé au moment de la prise de vue, que la dynamique de la scène shootée ne dépasse pas celle du capteur et que la mesure d'expo est bonne, le résultat sera effectivement le même en jpeg et en raw, à très peu de choses près. Mais ça fait quand même beaucoup de "si"...
Les choses se compliquent quand on ne se trouve pas dans des conditions optimales : photos d'intérieur en éclairage tungstène, scènes à forte dynamique, réglage du boîtier difficile en raisons de conditions rapidement changeantes etc. Dans ces cas, le raw est préférable, voire nécessaire pour tirer le meilleur de son cliché.
Mais développer correctement ses raws requiert un investissement minimum et se peaufine avec le temps. Au moment où j'écris, je suis en train d'exporter un shooting théâtre d'il y a 18 mois, que j'ai dû refaire car je maîtrise beaucoup mieux LR aujourd'hui, et ses possibilités sont bien supérieures que la version de DxO que j'avais utilisée à l'époque. Je dis ça parce que shooter en raw, c'est également un pari sur l'avenir et sur la puissance et la précision des softs de dérawtisation. Mes raws d'aujourd'hui, j'en tirerai peut-être de bien meilleures choses demain. Le jpeg est une chose figée sans espoir d'en tirer quelque chose de mieux un jour.
Mais bon, tu as raison, il faut y consacrer du temps. Je n'ai hélas jamais pu développer 600 raws dans la soirée comme tu le dis. J'ai par exemple terminé seulement hier de développer, trier et mettre en ligne le monstrueux shooting de 750 photos d'un Shakespeare de 4h il y a deux semaines, et je préfère ne pas savoir combien de temps j'y ai passé
C'est pour ça aussi que je conseille à tout les shooteur en jpeg de faire leurs prises de vue en raw+jpeg. Le jpeg pour consommation immédiate, et le raw pour l'avenir, ou pour le développement d'une sous-série problématique ou destinée à être imprimée en grand format. Personnellement, je suis le plus souvent en condition de lumière très difficile, donc je fais du raw pur car les jpeg direct iraient en grande partie au trash. C'est aussi pour ça que je suis particulièrement sensible à cette question, et que je ne lâcherai jamais l'affaire face à tous ceux qui prétendent qu'on fait aussi bien en jpeg qu'en raw...
Les choses se compliquent quand on ne se trouve pas dans des conditions optimales : photos d'intérieur en éclairage tungstène, scènes à forte dynamique, réglage du boîtier difficile en raisons de conditions rapidement changeantes etc. Dans ces cas, le raw est préférable, voire nécessaire pour tirer le meilleur de son cliché.
Mais développer correctement ses raws requiert un investissement minimum et se peaufine avec le temps. Au moment où j'écris, je suis en train d'exporter un shooting théâtre d'il y a 18 mois, que j'ai dû refaire car je maîtrise beaucoup mieux LR aujourd'hui, et ses possibilités sont bien supérieures que la version de DxO que j'avais utilisée à l'époque. Je dis ça parce que shooter en raw, c'est également un pari sur l'avenir et sur la puissance et la précision des softs de dérawtisation. Mes raws d'aujourd'hui, j'en tirerai peut-être de bien meilleures choses demain. Le jpeg est une chose figée sans espoir d'en tirer quelque chose de mieux un jour.
Mais bon, tu as raison, il faut y consacrer du temps. Je n'ai hélas jamais pu développer 600 raws dans la soirée comme tu le dis. J'ai par exemple terminé seulement hier de développer, trier et mettre en ligne le monstrueux shooting de 750 photos d'un Shakespeare de 4h il y a deux semaines, et je préfère ne pas savoir combien de temps j'y ai passé

C'est pour ça aussi que je conseille à tout les shooteur en jpeg de faire leurs prises de vue en raw+jpeg. Le jpeg pour consommation immédiate, et le raw pour l'avenir, ou pour le développement d'une sous-série problématique ou destinée à être imprimée en grand format. Personnellement, je suis le plus souvent en condition de lumière très difficile, donc je fais du raw pur car les jpeg direct iraient en grande partie au trash. C'est aussi pour ça que je suis particulièrement sensible à cette question, et que je ne lâcherai jamais l'affaire face à tous ceux qui prétendent qu'on fait aussi bien en jpeg qu'en raw...
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