Retouches locales ou calques ?
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Onikenji - Animateur
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Sauf que sur aucune des images l'accentuation est sur la chaise
C'est le débruitage de départ qui mange énormément de détail sur la 1.

C'est le débruitage de départ qui mange énormément de détail sur la 1.
"The B.I.F.L.E."*
*Belge Inadapté aux Focales Longues et Extrêmes
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Midship - Galeriste
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Késako, filtre "passe haut/bas"? 

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doumedoume84 - Messages : 7787
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Midship a écrit :Késako, filtre "passe haut/bas"?
Voici deus tutos qui vont t'éclairer un peu sur ces filtres...
Le but étant de renforcer certaines zones et d'en lisser d'autres... et de jouer sur les contrastes de netteté
https://www.youtube.com/watch?v=XVEmKlmmAwU
https://www.youtube.com/watch?v=R6JLjEMU1-g
Le terme filtre pass-bas est un abus de langage de ma part ...
En fait, on utilise un filtre pass-haut sur un négatif etc... donc l'effet inverse et puis l'on compense avec un flou gaussien.

@mic.
Dominique
PS : Pour ceux qui n'ont pas encore mal Ă la tĂŞte...

https://www.youtube.com/watch?v=etqHqyib9U8
Dernière édition par doumedoume84 le Lun 07 Déc 2015 12:36, édité 2 fois.
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J.C - Galeriste
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Donc, Oni.
Comme je le disais plus haut, si on souhaite garder Ă tout prix un flux de travail le moins destructeur et le plus flexible possible, il faut exporter depuis Lr (Lightroom) vers Ps (Photoshop) en objet dynamique.
Ainsi une fois dans Ps, un double clique sur la vignette du calque permet d'ouvrir l'image dans Camera Raw où l'on retrouve tous les réglages effectués dans Lr. On peut rajouter des calques de réglages par dessus cette image, cela n'altèrera pas nos réglages RAW, qui resteront accessible par un double clique sur la vignette de notre image.
Lorsque l'on ferme l'image dans Photoshop ce dernier va nous renvoyer vers Lr et sauvegarder l'image dans le catalogue en format Tiff ou Psd, selon le réglage des préférences.
Le document n'est plus en format RAW, car il contient maintenant des calques, mais le fichier RAW originel est encapsulé à ce document sous forme d'objet dynamique et peut-être ouvert à tout moment depuis Ps, en double cliquant sur la vignette du calque de l'objet dynamique.
Ca c'est donc la théorie, et ça marche.
Mais en pratique est-il vraiment indispensable de travailler de cette manière lorsque notre flux de travail intègre Lr et Ps?
Ma réponse est: Non.
Démystifions tout de suite le RAW: Il n'y a bien souvent aucun intérêt à vouloir garder un RAW à tout prix pour toute la retouche d'image. Le RAW sera très utile lors de l'éditing (ce qui n'est pas pareil que le post traitement/retouche, je reviendrais plus tard là -dessus), mais pour de la retouche utilisant les outils de Photoshop, les informations contenues dans un Tiff ou un Psd exporté depuis Lightroom sont largement suffisantes.
Sans parler du fait que suivant les modifications que l'on souhaite faire dans Photoshop, on va être obligé de travailler sur une image avec des pixels, et non pas sur un RAW, qui lui ne contient pas de pixels, uniquement des lignes de codes, je le rapelle.
Ce qui m'amène à ta deuxième interrogation, Oni:
Ca, c'est la vraie question!
Car elle est directement liée à notre flux de travail, c'est donc en fonction de celui-ci que l'on va décider des actions à compléter dans les deux logiciels et surtout de l'ordre de ces actions.
Prenons le cas de quelqu'un ne possédant que des connaissances limitées de Photoshop, on peut imaginer que le plus gros du travail va se faire dans Lr (ou Camera Raw, c'est pareil, je prends Lr en exemple car c'est moins loin à écrire mais tout ce qui est valable pour Lightroom l'est également pour Camera Raw) et qu'il ne passera dans Photoshop que pour débruiter ou accentuer ou bien retoucher les pixels (par ex. la suppression d'éléments gênants, grâce aux outils tampons et autres...) de l'image.
Dans un tel cas, la quantité de travail effectuée dans Ps est si minime qu'elle n'engendrera pas de modifications négatives du RAW, nous n'aurons donc pas à revenir dessus, il n'y donc pas d'intérêt à passer dans Ps par l'intermédiaire d'un objet dynamique.
On ne verra aucune différence de qualité, et quand bien même ce serait le cas, il faudra de toutes façons "applatir" l'objet dynamique, au moment de la retouche au niveau du pixel. Peut-être même déjà lors de l'étape du débruitage, suivant la technique utilisée.
Dans ce scénario, on peut donc tranquilement exporté un tiff ou un psd depuis Lr vers Ps.
Un autre cas de figure est celui oĂą l'on fait le plus gros de la retouche dans Ps:
L'utilisateur aguerri de Ps va préférer passer 80-90% de son flux de travail sur ce programme.
Lr ne servira qu'à l'editing de l'image, c'est à dire la correction des défauts inhérents au boitier/objectif (distortion), aux technologies mises en oeuvre pour la capture de l'image (bruit du capteur, flou dû au filtre passe-bas), et aux erreurs de l'opérateur (cadrage, exposition), ainsi qu'à un développement de base avant l'ouverture dans Ps. Suivant le degré de retouches prévu dans Ps, ce développement préalable s'avérera plus ou moins complexe.
Dans un tel cas il peut-être intéressant d'ouvrir son image en tant qu'objet dynamique (et donc de bénéficier du RAW encapsulé) dans Ps. On pourra ainsi, par exemple, revenir quand bon nous semble sur la BdB (balance des blancs) qui peut-être amenée à une certaine dérive suivant les techniques et la quantité de retouches utilisées dans Ps.
Il faut cependant toujours gardé à l'esprit que si l'on est amené à créer un calque contenant des pixels, on va perdre le bénéfice du RAW encapsulé en objet dynamique dans le calque d'arrière plan. On pourra toujours y accéder et modifier ces réglages mais ces derniers ne seront visible que si l'on désactive le calque contanant des pixels se trouvant au dessus de notre calque d'arrière plan. Régle de bas des calques dans Ps.
Très bonne question encore une fois!
Le débruitage et la pré-accentuation DOIVENT avoir lieu au début du process, TOUJOURS!
En effet ces deux opérations conditionnent l'état des pixels que nous aurons à notre disposition dans Ps pour faire la retouche.
Il est donc primordial de fixer ces valeurs le plus tôt possible, à l'état RAW de l'image, dans le dématriceur, ici Lr en l'occurence.
Sinon on court le risque de:
On veillera donc lors du développement du RAW à :
C'est pourquoi je conseillerais à tout ceux qui passent dans Ps pour débruiter, de bien réfléchir et éventuellement de repenser leur flux de travail.
La seule exception à cette règle, concerne le débruitage d'images extrêmemennt bruitée.
Là , il est fort probable que l'outil de débruitage de Lr ne suffise pas et que l'on doive faire appel à un plug-in externe ou à Photoshop.
Dans ce cas je conseille de faire un développement minimum dans Lr, ensuite exporter en tiff vers le débruiteur externe, et ensuite finir de travailler ce tiff dans Lr.
Miantenant je vais prendre mon flux de travail (qui ressemble fort à celui de Doumé) en exemple, que l'on peut résumer ainsi:
Editing (Lr):
Post-traitement (Ps) en trois grandes étapes:
Contrairement Ă ce que laisse croire cette liste, je passe beaucoup plus de temps dans Ps que dans Lr.
Les réglages apportés au RAW dans Lr ne concernent que l'editing: Je corrige les problèmes engendrées par la prise de vue.
Toutes les modifications de types créatives, sont faites dans Ps. Je n'exporte pas en objet dynamique depuis Lr vers Ps.
Je sais que ma retouche dans Ps va énormément modifier les contrastes de l'images, il est donc primordial que je ne développe pas trop mon RAW dans Lr, sinon je vais vite me retrouver avec des artéfacts, une fois que je travaillerais dans Ps.
Pareil pour la couleur, les techniques que j'emploie dans Ps finiront par révéler les dérives colorimétriques présentent à l'exportation de Lr vers Ps, je dois donc préparer mon RAW de manière à ce qu'il n'y ait pas de dérives disgracieuses avant que je commence la retouche.
D'où également la première étape de mon flux dans Ps qui me permet de valider la BdB décidé dans Lr et de m'assurer que tout est correct niveau couleur.
Voilà , j'espère que ça te donnera quelques clés afin d'adapter ton flux de travail et de pouvoir décider si, pour toi, il est intéressant ou pas d'exporter en tant qu'objet dynamique.
Mais franchement, mon avis est que ce n'est pas vraiment utile dans 99% des cas.

Comme je le disais plus haut, si on souhaite garder Ă tout prix un flux de travail le moins destructeur et le plus flexible possible, il faut exporter depuis Lr (Lightroom) vers Ps (Photoshop) en objet dynamique.
Ainsi une fois dans Ps, un double clique sur la vignette du calque permet d'ouvrir l'image dans Camera Raw où l'on retrouve tous les réglages effectués dans Lr. On peut rajouter des calques de réglages par dessus cette image, cela n'altèrera pas nos réglages RAW, qui resteront accessible par un double clique sur la vignette de notre image.
Lorsque l'on ferme l'image dans Photoshop ce dernier va nous renvoyer vers Lr et sauvegarder l'image dans le catalogue en format Tiff ou Psd, selon le réglage des préférences.
Le document n'est plus en format RAW, car il contient maintenant des calques, mais le fichier RAW originel est encapsulé à ce document sous forme d'objet dynamique et peut-être ouvert à tout moment depuis Ps, en double cliquant sur la vignette du calque de l'objet dynamique.
Ca c'est donc la théorie, et ça marche.
Mais en pratique est-il vraiment indispensable de travailler de cette manière lorsque notre flux de travail intègre Lr et Ps?
Ma réponse est: Non.
Démystifions tout de suite le RAW: Il n'y a bien souvent aucun intérêt à vouloir garder un RAW à tout prix pour toute la retouche d'image. Le RAW sera très utile lors de l'éditing (ce qui n'est pas pareil que le post traitement/retouche, je reviendrais plus tard là -dessus), mais pour de la retouche utilisant les outils de Photoshop, les informations contenues dans un Tiff ou un Psd exporté depuis Lightroom sont largement suffisantes.
Sans parler du fait que suivant les modifications que l'on souhaite faire dans Photoshop, on va être obligé de travailler sur une image avec des pixels, et non pas sur un RAW, qui lui ne contient pas de pixels, uniquement des lignes de codes, je le rapelle.
Ce qui m'amène à ta deuxième interrogation, Oni:
Onikenji a écrit :...Du coup quelles seront les corrections a faire dans CR et quelles corrections à faire dans PS ?
Ca, c'est la vraie question!
Car elle est directement liée à notre flux de travail, c'est donc en fonction de celui-ci que l'on va décider des actions à compléter dans les deux logiciels et surtout de l'ordre de ces actions.
Prenons le cas de quelqu'un ne possédant que des connaissances limitées de Photoshop, on peut imaginer que le plus gros du travail va se faire dans Lr (ou Camera Raw, c'est pareil, je prends Lr en exemple car c'est moins loin à écrire mais tout ce qui est valable pour Lightroom l'est également pour Camera Raw) et qu'il ne passera dans Photoshop que pour débruiter ou accentuer ou bien retoucher les pixels (par ex. la suppression d'éléments gênants, grâce aux outils tampons et autres...) de l'image.
Dans un tel cas, la quantité de travail effectuée dans Ps est si minime qu'elle n'engendrera pas de modifications négatives du RAW, nous n'aurons donc pas à revenir dessus, il n'y donc pas d'intérêt à passer dans Ps par l'intermédiaire d'un objet dynamique.
On ne verra aucune différence de qualité, et quand bien même ce serait le cas, il faudra de toutes façons "applatir" l'objet dynamique, au moment de la retouche au niveau du pixel. Peut-être même déjà lors de l'étape du débruitage, suivant la technique utilisée.
Dans ce scénario, on peut donc tranquilement exporté un tiff ou un psd depuis Lr vers Ps.
Un autre cas de figure est celui oĂą l'on fait le plus gros de la retouche dans Ps:
L'utilisateur aguerri de Ps va préférer passer 80-90% de son flux de travail sur ce programme.
Lr ne servira qu'à l'editing de l'image, c'est à dire la correction des défauts inhérents au boitier/objectif (distortion), aux technologies mises en oeuvre pour la capture de l'image (bruit du capteur, flou dû au filtre passe-bas), et aux erreurs de l'opérateur (cadrage, exposition), ainsi qu'à un développement de base avant l'ouverture dans Ps. Suivant le degré de retouches prévu dans Ps, ce développement préalable s'avérera plus ou moins complexe.
Dans un tel cas il peut-être intéressant d'ouvrir son image en tant qu'objet dynamique (et donc de bénéficier du RAW encapsulé) dans Ps. On pourra ainsi, par exemple, revenir quand bon nous semble sur la BdB (balance des blancs) qui peut-être amenée à une certaine dérive suivant les techniques et la quantité de retouches utilisées dans Ps.
Il faut cependant toujours gardé à l'esprit que si l'on est amené à créer un calque contenant des pixels, on va perdre le bénéfice du RAW encapsulé en objet dynamique dans le calque d'arrière plan. On pourra toujours y accéder et modifier ces réglages mais ces derniers ne seront visible que si l'on désactive le calque contanant des pixels se trouvant au dessus de notre calque d'arrière plan. Régle de bas des calques dans Ps.
Onikenji a écrit :...Mais du coup, quid de ces deux opérations sensées intervenir au début du process ? (du moins pour la préaccentuation)
Très bonne question encore une fois!
Le débruitage et la pré-accentuation DOIVENT avoir lieu au début du process, TOUJOURS!
En effet ces deux opérations conditionnent l'état des pixels que nous aurons à notre disposition dans Ps pour faire la retouche.
Il est donc primordial de fixer ces valeurs le plus tôt possible, à l'état RAW de l'image, dans le dématriceur, ici Lr en l'occurence.
Sinon on court le risque de:
- - Générer encore plus de bruit au fur et à mesure que nous avançons dans la retouche.
- Augmentez les dérives colorimétriques dans les parties bruitées de l'image.
- Ne pas pouvoir être suffisament efficace dans les réglages de contraste et (surtout) de micro-contraste, car les pixels n'offrent pas assez de "prise".
On veillera donc lors du développement du RAW à :
- - Pratiquer une pré-accentuation, douce, mais suffisante pour enlever le voile flou généré par le filtre passe-bas se trouvant devant la plupart des capteurs, et ainsi offrir assez de prise aux outils que nous utiliserons dans Ps.
- Traiter le bruit de la manière la plus efficace possible afin de se débarasser des artefacts de couleur et de luminosité qui sinon vont être amplifiés lors de notre travail dans Ps.
C'est pourquoi je conseillerais à tout ceux qui passent dans Ps pour débruiter, de bien réfléchir et éventuellement de repenser leur flux de travail.
La seule exception à cette règle, concerne le débruitage d'images extrêmemennt bruitée.
Là , il est fort probable que l'outil de débruitage de Lr ne suffise pas et que l'on doive faire appel à un plug-in externe ou à Photoshop.
Dans ce cas je conseille de faire un développement minimum dans Lr, ensuite exporter en tiff vers le débruiteur externe, et ensuite finir de travailler ce tiff dans Lr.
Miantenant je vais prendre mon flux de travail (qui ressemble fort à celui de Doumé) en exemple, que l'on peut résumer ainsi:
Editing (Lr):
- - Etalonnage du boitier (Profil perso)
- Activation de la correction de l'objectif
- Suppression des aberrations chromatiques
- Balance des blancs
- Nettoyage des poussières
- Recadrage si nécessaire
- Pré-accentuation
- Débruitage (luminance et couleur)
- Développement de base permettant d'avoir un histogramme correct, mais sans plus.
Post-traitement (Ps) en trois grandes étapes:
- - Couleur: où je peaufine le rendu colorimétrique globale.
- Contraste: où je travaille les macro et micro contrastes de l'image, ceci inclut l'accentuation créative
- Couleur: où je travaille la séparation des tons et éventuellement la saturation/désaturation
Contrairement Ă ce que laisse croire cette liste, je passe beaucoup plus de temps dans Ps que dans Lr.
Les réglages apportés au RAW dans Lr ne concernent que l'editing: Je corrige les problèmes engendrées par la prise de vue.
Toutes les modifications de types créatives, sont faites dans Ps. Je n'exporte pas en objet dynamique depuis Lr vers Ps.
Je sais que ma retouche dans Ps va énormément modifier les contrastes de l'images, il est donc primordial que je ne développe pas trop mon RAW dans Lr, sinon je vais vite me retrouver avec des artéfacts, une fois que je travaillerais dans Ps.
Pareil pour la couleur, les techniques que j'emploie dans Ps finiront par révéler les dérives colorimétriques présentent à l'exportation de Lr vers Ps, je dois donc préparer mon RAW de manière à ce qu'il n'y ait pas de dérives disgracieuses avant que je commence la retouche.
D'où également la première étape de mon flux dans Ps qui me permet de valider la BdB décidé dans Lr et de m'assurer que tout est correct niveau couleur.
Voilà , j'espère que ça te donnera quelques clés afin d'adapter ton flux de travail et de pouvoir décider si, pour toi, il est intéressant ou pas d'exporter en tant qu'objet dynamique.
Mais franchement, mon avis est que ce n'est pas vraiment utile dans 99% des cas.

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Onikenji - Animateur
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Grand grand merci pour cette réponse plus que complète !

J'en retiens que je pose de bonnes questions, c'est déjà ça

Me reste plus qu'à assimilés tout cela avec de la pratique

Encore merci JC, t'es éclaircissements sont toujours d'une grande aide

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doumedoume84 - Messages : 7787
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Bravo pour toute cette "tartine" très explicite J.C.
J'avoue que j'utilise peu l'objet dynamique qui permet pourtant de conserver/corriger le fichier initial.. ceci sans reprendre toute la chaine de traitement dans PS;
Mébon! c'est mon côté "Anar"...
@mic.
Dominique

J'avoue que j'utilise peu l'objet dynamique qui permet pourtant de conserver/corriger le fichier initial.. ceci sans reprendre toute la chaine de traitement dans PS;
Mébon! c'est mon côté "Anar"...

@mic.
Dominique
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J.C - Galeriste
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Je n'utilise les objets dynamiques que dans deux cas précis:
- pour encapsuler dans l'original (qui est en RGB) une copie de l'image que j'ai basculé en Lab lors de mon travail sur les teintes et/ou l'accentuation créative.
- lorsque mon fichier de travail finit par dépasser les 4GB. Je sauvegarde alors une copie en psb, que j'encapsule dans l'original grâce à un objet dynamique.
- pour encapsuler dans l'original (qui est en RGB) une copie de l'image que j'ai basculé en Lab lors de mon travail sur les teintes et/ou l'accentuation créative.
- lorsque mon fichier de travail finit par dépasser les 4GB. Je sauvegarde alors une copie en psb, que j'encapsule dans l'original grâce à un objet dynamique.
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