En fait ces optiques à très grande ouverture qui couteront de toute façon cher sont aussi systématiquement du haut de gamme, notamment corrections des aberrations optiques, qui sont d'autant plus difficle à maîtriser que les rayons s'écartent l'axe optique (ce qui est inévitable sur de très grandes ouvertures).
Ne pas oublier que l'optique classique apprise en classe ne marche que près de l'axe optique, et là les lentilles ne sont pas minces en plus. Et elles sont (enfin, certaines) en verres faible dispersion (limiter les AC), qui coute lui-même cher.
C'est vrai que le diaph. de plus coute cher (sauf relativement pour le 50/1,4; mais à cette focale on sait faire du /1,7 pas cher, et regardez les pris des anciens /1,2 voire /0,95 qui à ma connaissance ne sont plus fabriqués -en tout cas, pas repris en AF par Minolta-).
Il faut donc en avoir l'usage, et vérifier l'apport de la grande ouverture à sa pratique (par ex. le 35/1,4 ne m'a jamais convaincu par rapport au 35/2; par contre j'ai le 85/1,4).
Ne pas oublier aussi que la grande ouverture permet une forte limitation de la profondeur de champ: Quand on fait du portrait, usage principal du 85/1,4, c'est au moins aussi important que l'IL gagné en luminosité (et cela, les hauts ISO ne savent pas faire
