A55 + Carl Zeiss 16-80 vs G12 : quelle déception
-
KaptainIgloo - Messages : 3729
- Photos : 722
- Inscription : 05 Jan 2008
- Localisation : Vichy (03)
- reçus
- Contact :
vroum a écrit :Déçu lionel, pas dessus...
des fois on peut-être dessus et déçu...

A 700 & A77 | Samyang 8 | CZ 16-80 3.5/4.5 | Sony 16-50 2.8 | Sony 50 1.4 | Sigma 105 2.8 macro |Sigma 70-200 2.8 | Sony 70-400 G SSM |Sigma 300 2.8 | TC Kenko pro DG X 1.4 | HVL F42 & 58 | Bagues allonge Kenko
Benro A198 + Travel Angel C068 | mono Benro MC-68 | tĂŞtes B-00, B-0, GH-1
mon site http://passiongrandnord.com/ et les tirages de l'igloo ici http://tirageschalopin.com
Benro A198 + Travel Angel C068 | mono Benro MC-68 | tĂŞtes B-00, B-0, GH-1
mon site http://passiongrandnord.com/ et les tirages de l'igloo ici http://tirageschalopin.com
RODET a écrit :sur flickr par exemple,
???
Flickr n'accepte pas les fichiers RAW...
-
vince - Messages : 5207
- Photos : 166
- Inscription : 24 Nov 2005
- Localisation : complétement à l'ouest
- Contact :
tudgur, en voyant tes photos j'ai l'impression que tu traines du coté de Brest
Il y aurait des tas de bonnes âmes sur le forum prêtes à te briefer sur quelques points-clés de ton boitier autour d'une bière.
Tu n'es pas le premier à débarquer sur le forum en croyant que ton vieux compact est mieux que ton reflex, en général tes prédécesseurs ont tous fini par comprendre que leur jugement était basé sur de fausses impressions.
Il y aurait des tas de bonnes âmes sur le forum prêtes à te briefer sur quelques points-clés de ton boitier autour d'une bière.
Tu n'es pas le premier à débarquer sur le forum en croyant que ton vieux compact est mieux que ton reflex, en général tes prédécesseurs ont tous fini par comprendre que leur jugement était basé sur de fausses impressions.
α700
Zeiss 16-35/2.8 | 16-80 | Sony 50/1.4 | HVL-F42 | Minolta 200/2.8 HS | Sigma 20-40 F2.8 Ex | Tamron 10-24
Je ne prendrai jamais en photo des animaux en captivité sauf des lions de mer (Li I,1)
Zeiss 16-35/2.8 | 16-80 | Sony 50/1.4 | HVL-F42 | Minolta 200/2.8 HS | Sigma 20-40 F2.8 Ex | Tamron 10-24
Je ne prendrai jamais en photo des animaux en captivité sauf des lions de mer (Li I,1)
-
rascal - Modérateur
- Messages : 44290
- Photos : 671
- Inscription : 09 Sep 2005
- Localisation : Nantes ou presque...
- donnés / reçus
vince a écrit : en général tes prédécesseurs ont tous fini par comprendre que leur jugement était basé sur de fausses impressions.
en 10x15 ?
The magnificients 7s ! D7, D700, D7000
Sony HX5V, Nikon 18-55VR, AFS 24-70/2.8, AI 135/3.5, AFS 200/2 VR, Sigmund 500/4,5 HSM, tokina 100 macro. Bague allonges kenko, rotule benro GH2, Benro BH1 Manfrotto 141RC, 128RC, 804RC2, tripod 190 nat, monopode 679...
Sony HX5V, Nikon 18-55VR, AFS 24-70/2.8, AI 135/3.5, AFS 200/2 VR, Sigmund 500/4,5 HSM, tokina 100 macro. Bague allonges kenko, rotule benro GH2, Benro BH1 Manfrotto 141RC, 128RC, 804RC2, tripod 190 nat, monopode 679...
-
EGr - Messages : 31215
- Photos : 592
- Inscription : 01 Mars 2005
- Localisation : Orléans
- reçus
- Contact :
Surtout en 10x15... des jpeg natifs plus contrastés et plus accentués claqueront toujours mieux en 10x15 (ou usage web), surtout s'ils sont imprimés à partir de leur résolution native, que des fichiers aux réglages initiaux plus "mous"... qui eux, offriront a contrario un tout autre potentiel en 30x45.rascal a écrit :en 10x15 ?vince a écrit : en général tes prédécesseurs ont tous fini par comprendre que leur jugement était basé sur de fausses impressions.
Si en plus s'ajoute une sous-ex à la prise de vue, le compte est vite réglé.
+1 pour la suggestion d'une rencontre physique locale.

α850 | 505siSuper | hvl20 | hvl43 | 3600hsd | 1200AF-N | Si12-24 | So28-75/2.8SAM | So70/300G |
Mi500/8 | Mi200/2.8HS | Mi100/2 | Mi100/2.8RS | Mi50/1.7RS | Mi35/2old | Mi20/2.8old | 35/70-50inversé | 3bagues allonge |
Mi500/8 | Mi200/2.8HS | Mi100/2 | Mi100/2.8RS | Mi50/1.7RS | Mi35/2old | Mi20/2.8old | 35/70-50inversé | 3bagues allonge |
-
TOONS56 - Messages : 13059
- Photos : 235
- Inscription : 10 Sep 2008
- Localisation : A Vannes physiquement et en Savoie mentalement
- reçus
- Contact :
Pour avoir le G11 qui est peu ou prou la mĂŞme chose que le G12, c'est vraiment en dessous de n'importe quel reflex!
Après concernant l'expo, un reflex est bien plus compliqué à gérer d'autant plus quand il y a de forts écarts de luminosité sur la scène et que tu utilises un grand angle!
Après concernant l'expo, un reflex est bien plus compliqué à gérer d'autant plus quand il y a de forts écarts de luminosité sur la scène et que tu utilises un grand angle!
vince a écrit :tudgur, en voyant tes photos j'ai l'impression que tu traines du coté de Brest
Il y aurait des tas de bonnes âmes sur le forum prêtes à te briefer sur quelques points-clés de ton boitier autour d'une bière.
Tu n'es pas le premier à débarquer sur le forum en croyant que ton vieux compact est mieux que ton reflex, en général tes prédécesseurs ont tous fini par comprendre que leur jugement était basé sur de fausses impressions.
J'habite en effet près de Brest, plus exactement à Plouguerneau.
La proposition est très sympa mais je pars demain (un peu plus de deux semaines) pour la montagne.
D'autre part, je ne me suis pas vraiment présenté sur ce forum...
Je pratique la photo depuis fort longtemps, environ une cinquantaine d'années !!! J'en ai 61...
Après avoir débuté avec un Kodak, à 14 ans je me suis offert mon premier 24X36, un Vitoret Voitglander, entièrement manuel et mécanique.
Pas de cellule, d'autofocus, etc... mais une échelle de PdC ! j'ai toujours la bête :

Puis je suis passé au reflex avec le Canon Ftb-Ql et ensuite l'Olympus OM-40.
J'ai fait beaucoup de macro de plante alpines (au-dessus de 3000m) mais j'en ai eu marre de transporter le pied réversible, le chariot de distance, les bagues allonge, le soufflet, le réflecteur, etc, beaucoup de paysages aussi...
C'était de la diapo en 50 asa puis la kodachrome 64
Et du N&B : j'avais mon propre labo et je vendais quelques uns de mes agrandissements pour m'acheter du matos.
Puis j'ai tout abandonné pendant quelques années et repris avec le Canon Powershot A95, puis le Pana TZ5, il y a quelques semaines, le G12 et maintenant donc le 55.
Ma pratique actuelle concerne essentiellement les paysages nature, monuments et urbains : je voyage pas mal Ă travers le monde.
Donc je ne suis pas tout à fait néophyte, sauf en "reflex" numérique et post-traitement où je n'y connais pas grand chose
Cependant, je suis preneur de toutes infos pratiques, de trucs, réglages etc...
Le titre de mon message "quelle déception" était beaucoup trop brutal et pas mûri.
Il faut dire que la toute première photo que j'ai faite , c'est de la fenêtre( ouverte) de ma chambre, par un temps très gris et sombre : et j'ai obtenu des couleurs très spéciales, rien à voir avec la réalité.
Par la suite, je me suis aperçu qu'elle avait été faite sous le mode landscape avec la saturation à +3 et la netteté à +3 !!! Etait-ce par défaut, avais-je tripatouillé les réglages ?
Utilisez-vous un réglage particulier par défaut pour ces paramètre ?
Puis, j'ai donc voulu le comparer au G12, avec lequel on obtient de bonnes images sans trop se casser la tĂŞte, chose Ă ne sans doute pas faire...
Je pense simplement qu'il faut que je retrouve mes anciennes habitudes du Reflex.
Je n'ai aucune prétention artistique, je fais le la "photo souvenir" sans tata Ginette quand même.
Je passe un peu de temps pour trouver le bon cadrage, le bon angle, le bon éclairage et s'il le faut je reviens sur site !
Depuis la diapo, Ă partir desquelles je faisais du 30X45 et parfois du 50X75, je n'ai plus fait de tirages.
Mais cela pourrait revenir...
Mes meilleurs images tournent en fond d'écran sur mon PC 23" 1920X1080. Parfois un petit diaporama sur une TV HD 52" 1920X1080.
VoilĂ , vous en savez un peu plus.
En tout cas merci Ă tous pour vos interventions !
-
jr56 - Messages : 24349
- Photos : 369
- Inscription : 21 Mars 2005
- Localisation : A l'orée de la forêt des carnutes
Merci de ces précisions
Oui, si tu viens "directement" (en réflex) du réflex argentique, je comprends mieux la centrale pondérée...
Le réflex numérique est à apprivoiser même (surtout!) après une longue expérience de l'argentique (je parle en connaissance de cause, premier réflex en 1970). En plus tu commences haut en résolution (largement le double de celle de la pellicule argentique), c'était moins crucial avec les 6 Mpixels du D7D sorti fin 2004
Car à ce niveau, les problèmes d'accentuation notamment, de la méthode de visionnement (écran, surtout à 100%, tirage 10x15 ou plus grand, etc...) sont importants! on n'a pas une seule photo, mais il faut adapter les réglages à chaque mode de visionnement.
Le mieux est de mettre en général tous les paramètres du boitier à zéro (luminosité, contraste, saturation, netteté/accentuation), sauf cas particulier (je ne connais pas l'A55), et tu agis en post-traitement en conservant ton fichier original "neutre" pour faire ensuite des photos avec les traitements adaptés à chaque usage/visualisation: écran, web, tirage 10x15 exigent beaucoup plus d'accentuation que pour un A4, et à partir d'un tirage A3, en pratique on n'accentue plus (mais pour le tirage A3; le fichier étant nettement moins flatteur quand tu le regardes sur ton écran; c'est l'impression de mollesse dont on parle plus haut).
De même l'expo s'apprécie surtout en apprennant à interpréter l'histogramme, qui devient la référence. Dans certaines situations, on peut volontairement surexposer un peu ("caler l'histogramme à droiite"), pour ensuite rebaisser la luminosité en post-traitement (on n'est plus dans la chimie photographique de l'argentique, mais dans la théorie du traitement du signal électronique numérique). Bref, on ne raisonne plus forcément comme en argentique, et parfois même à l'inverse.
Je sais, c'est pas évident et encore moins intuitif au départ; j'ai du mettre plus d'un an avant de commencer à maîtriser. Je suis resté plus de six mois dans l'illusion héritée de la diapo de tout faire au déclenchement et ne jamais post-traiter. Mais à l'inverse, il faut bien comprendre juste quels paramètres techniques en faible nombre à adapter, on n'a pas besoin de passer des heures à post-traiter ses photos (sauf si on devient un adepte de la retouche, des effets spéciaux, des virages colorés... de même qu'au labo argentique)
Etc... (je ne vais pas te parler du raw à ce stade si tu n'as pas encore exploré). Le forum porra t'aider à débrouissailler tout cela, mais une fois de retour de la montagne, le mieux c'est encore quelques rencontres autour d'un boitier avec des participants qui pourront beaucoup plus rapidement et efficacement te faire comprendcre les particularités du réflex numérique.
A l'inverse, c'est vrai que si on veut ne faire que des tirages 10x15 et du visionnement sur écran en taille "adaptée à l'écran", un compact ou un bridge numérique sont quelques part plus simples et plus aisés d'utilisation, pour un résultat parfois plus flatteur...

Oui, si tu viens "directement" (en réflex) du réflex argentique, je comprends mieux la centrale pondérée...
Le réflex numérique est à apprivoiser même (surtout!) après une longue expérience de l'argentique (je parle en connaissance de cause, premier réflex en 1970). En plus tu commences haut en résolution (largement le double de celle de la pellicule argentique), c'était moins crucial avec les 6 Mpixels du D7D sorti fin 2004

Car à ce niveau, les problèmes d'accentuation notamment, de la méthode de visionnement (écran, surtout à 100%, tirage 10x15 ou plus grand, etc...) sont importants! on n'a pas une seule photo, mais il faut adapter les réglages à chaque mode de visionnement.
Le mieux est de mettre en général tous les paramètres du boitier à zéro (luminosité, contraste, saturation, netteté/accentuation), sauf cas particulier (je ne connais pas l'A55), et tu agis en post-traitement en conservant ton fichier original "neutre" pour faire ensuite des photos avec les traitements adaptés à chaque usage/visualisation: écran, web, tirage 10x15 exigent beaucoup plus d'accentuation que pour un A4, et à partir d'un tirage A3, en pratique on n'accentue plus (mais pour le tirage A3; le fichier étant nettement moins flatteur quand tu le regardes sur ton écran; c'est l'impression de mollesse dont on parle plus haut).
De même l'expo s'apprécie surtout en apprennant à interpréter l'histogramme, qui devient la référence. Dans certaines situations, on peut volontairement surexposer un peu ("caler l'histogramme à droiite"), pour ensuite rebaisser la luminosité en post-traitement (on n'est plus dans la chimie photographique de l'argentique, mais dans la théorie du traitement du signal électronique numérique). Bref, on ne raisonne plus forcément comme en argentique, et parfois même à l'inverse.
Je sais, c'est pas évident et encore moins intuitif au départ; j'ai du mettre plus d'un an avant de commencer à maîtriser. Je suis resté plus de six mois dans l'illusion héritée de la diapo de tout faire au déclenchement et ne jamais post-traiter. Mais à l'inverse, il faut bien comprendre juste quels paramètres techniques en faible nombre à adapter, on n'a pas besoin de passer des heures à post-traiter ses photos (sauf si on devient un adepte de la retouche, des effets spéciaux, des virages colorés... de même qu'au labo argentique)
Etc... (je ne vais pas te parler du raw à ce stade si tu n'as pas encore exploré). Le forum porra t'aider à débrouissailler tout cela, mais une fois de retour de la montagne, le mieux c'est encore quelques rencontres autour d'un boitier avec des participants qui pourront beaucoup plus rapidement et efficacement te faire comprendcre les particularités du réflex numérique.
A l'inverse, c'est vrai que si on veut ne faire que des tirages 10x15 et du visionnement sur écran en taille "adaptée à l'écran", un compact ou un bridge numérique sont quelques part plus simples et plus aisés d'utilisation, pour un résultat parfois plus flatteur...
SRT101, 9xi, D7, D9, Z3, NEX 5N (+viseur), D5D, Alpha 700, Alpha 900 et pas mal de cailloux qui se montent dessus.
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
jr56 a écrit :Le mieux est de mettre en général tous les paramètres du boitier à zéro (luminosité, contraste, saturation, netteté/accentuation), sauf cas particulier (je ne connais pas l'A55), et tu agis en post-traitement en conservant ton fichier original "neutre" pour faire ensuite des photos avec les traitements adaptés à chaque usage/visualisation: écran, web, tirage 10x15 exigent beaucoup plus d'accentuation que pour un A4, et à partir d'un tirage A3, en pratique on n'accentue plus (mais pour le tirage A3; le fichier étant nettement moins flatteur quand tu le regardes sur ton écran; c'est l'impression de mollesse dont on parle plus haut).
Oui, c'est ce que je fait depuis le numérique.
Par contre, l'accentuation, c'est un truc qu'il faut que je potasse ! Je n'y connais rien. J'ai simplement lu un petit article dans un mensuel photo cet après midi.
jr56 a écrit :De même l'expo s'apprécie surtout en apprennant à interpréter l'histogramme, qui devient la référence. Dans certaines situations, on peut volontairement surexposer un peu ("caler l'histogramme à droiite"), pour ensuite rebaisser la luminosité en post-traitement (on n'est plus dans la chimie photographique de l'argentique, mais dans la théorie du traitement du signal électronique numérique). Bref, on ne raisonne plus forcément comme en argentique, et parfois même à l'inverse.
j'ai lu qu'il valait mieux sous-exposer légèrement et en tout cas ne pas cramer les blancs : des blancs cramés sont irrécupérables tandis que dans les parties sombres on pourra toujours récupérer des détails...
jr56 a écrit :...effets spéciaux, des virages colorés...
Cela ne sera pas mon truc...
jr56 a écrit :...je ne vais pas te parler du raw à ce stade si tu n'as pas encore exploré...
J'utilise déjà le RAW, enfin je commence ! Modification de l'ouverture, j'ai un peu joué avec l'histo et la courbe tonale, la BdB...
Mais effectivement, j'ai de quoi apprendre.
jr56 a écrit :A l'inverse, c'est vrai que si on veut ne faire que ... du visionnement sur écran en taille "adaptée à l'écran", un compact ou un bridge numérique sont quelques part plus simples et plus aisés d'utilisation, pour un résultat parfois plus flatteur...
Voilà , c'est ce qui explique ma déception du début. Même si on m'avait prévenu, j'espérais votre une différence plus significative.
Reste aussi à apprécier le 55 dans les conditions difficiles et notamment sa dynamique.
-
jr56 - Messages : 24349
- Photos : 369
- Inscription : 21 Mars 2005
- Localisation : A l'orée de la forêt des carnutes
2 ou 3 compléments vu tes remarques:
Oui, pour l'expo, il ne faut pas bruler les blancs, car en numérique cela ne pardonne pas: plage blanche uniforme, tandis qu'en argentique il reste de la "matière" dans la zone, une texture due au couchage sur la pellicule.
Mais à l'inverse, pour exploiter au mieux la dynamique disponible de ton capteur (écart max. de luminosités) et limiter le bruit (dans les zones sombres en premier), on a intérêt à se mettre le plus près possible de la limite de la surex. des blancs, ce qu'on appelle "positionner l'histogramme à droite", mais sans avoir de pic tout à droite, qui montrerait un brulage de certains blancs.
Bon, c'est utile en haut ISO (bruit) ou devant une scène à très forte dynamique (paysage en plein soleil avec des ombres). Pas indispensable avec un éclairage doux dont la dynamique est inférieure à celle du capteur et avec des ISO modérés.
Comme le photographe lambda qui veut utiliser son boitier en tout auto ne maîtirise pas forcément, les boitiers numériques sont en général calés pour laisser une petite marge, donc on peut souvent surexposer un peu (de même les clignotements des zones blanches ou noires censés montrer les zones toutes noires ou brulées sont en général pessimistes, on a un peu plus de marge). En raw, on gagne encore quelques fractions d'IL, car au développement du raw, le logiciel peut aller rechercher de l'info utile dans l'une ou l'autre couche couleur, les trois étant rarement brulées en même temps.
L'accentuation est de fait le plus complexe à découvrir quand on en vient au numérique... Quelques lectures sont en effet le meilleur moyen de comprendre. Je ne sais plus s'il y a quelques sujets pédagogiques sur le forum.
En plus, il y a plusieurs écoles pour accentuer, et chacun a ses recettes et réglages... Le mieux est d'étudier et de tester soi même dans les différentes approches l'effet des paramètres habituels (gain, rayon seuil). Au début, il faut surtout apprendre à repérer dans quelles zones apparaissent en premier les effets gênants d'une accentuation trop forte (par ex. soulignement clair d'un contour bien contasté par rapport à l'arrière plan), notamment en poussant les curseurs un par un beaucoup trop loin et en revenant en arrière.. Sachant aussi que visionnement sur écran oblige, je trouve qu'on a toujours tendance à accentuer un peu trop: je rebaisse toujours d'un poil les curseurs au final. Il peut aussi être utile de revenir sur la photo le lendemain (ou quelques heures après) avec un oeil neuf (il faut avoir gardé la version d'origine pour reprendre, car l'accentuation est destructive...).
Dernier point, l'accentuation devrait se juger sur le support final: donc pour un tirage, il faudrait faire un tirage test... (si grand tirage, on peut imprimer juste une portion de l'image bien choisie pour économiser encre et papier). Si comme moi, on n'a pas d'imprimante à domicile et on fait tirer sur le web, il y a une phase d'apprentissage. Car sur écran, surtout à 100% de visualisation, on voit des défauts qui peuvent être invisbles sur le tirage... et inversement, sur écran une plus forte accentuation peut être flatteuse, mais trop forte sur un grand tirage.
Oui, pour l'expo, il ne faut pas bruler les blancs, car en numérique cela ne pardonne pas: plage blanche uniforme, tandis qu'en argentique il reste de la "matière" dans la zone, une texture due au couchage sur la pellicule.
Mais à l'inverse, pour exploiter au mieux la dynamique disponible de ton capteur (écart max. de luminosités) et limiter le bruit (dans les zones sombres en premier), on a intérêt à se mettre le plus près possible de la limite de la surex. des blancs, ce qu'on appelle "positionner l'histogramme à droite", mais sans avoir de pic tout à droite, qui montrerait un brulage de certains blancs.
Bon, c'est utile en haut ISO (bruit) ou devant une scène à très forte dynamique (paysage en plein soleil avec des ombres). Pas indispensable avec un éclairage doux dont la dynamique est inférieure à celle du capteur et avec des ISO modérés.
Comme le photographe lambda qui veut utiliser son boitier en tout auto ne maîtirise pas forcément, les boitiers numériques sont en général calés pour laisser une petite marge, donc on peut souvent surexposer un peu (de même les clignotements des zones blanches ou noires censés montrer les zones toutes noires ou brulées sont en général pessimistes, on a un peu plus de marge). En raw, on gagne encore quelques fractions d'IL, car au développement du raw, le logiciel peut aller rechercher de l'info utile dans l'une ou l'autre couche couleur, les trois étant rarement brulées en même temps.
L'accentuation est de fait le plus complexe à découvrir quand on en vient au numérique... Quelques lectures sont en effet le meilleur moyen de comprendre. Je ne sais plus s'il y a quelques sujets pédagogiques sur le forum.
En plus, il y a plusieurs écoles pour accentuer, et chacun a ses recettes et réglages... Le mieux est d'étudier et de tester soi même dans les différentes approches l'effet des paramètres habituels (gain, rayon seuil). Au début, il faut surtout apprendre à repérer dans quelles zones apparaissent en premier les effets gênants d'une accentuation trop forte (par ex. soulignement clair d'un contour bien contasté par rapport à l'arrière plan), notamment en poussant les curseurs un par un beaucoup trop loin et en revenant en arrière.. Sachant aussi que visionnement sur écran oblige, je trouve qu'on a toujours tendance à accentuer un peu trop: je rebaisse toujours d'un poil les curseurs au final. Il peut aussi être utile de revenir sur la photo le lendemain (ou quelques heures après) avec un oeil neuf (il faut avoir gardé la version d'origine pour reprendre, car l'accentuation est destructive...).
Dernier point, l'accentuation devrait se juger sur le support final: donc pour un tirage, il faudrait faire un tirage test... (si grand tirage, on peut imprimer juste une portion de l'image bien choisie pour économiser encre et papier). Si comme moi, on n'a pas d'imprimante à domicile et on fait tirer sur le web, il y a une phase d'apprentissage. Car sur écran, surtout à 100% de visualisation, on voit des défauts qui peuvent être invisbles sur le tirage... et inversement, sur écran une plus forte accentuation peut être flatteuse, mais trop forte sur un grand tirage.
SRT101, 9xi, D7, D9, Z3, NEX 5N (+viseur), D5D, Alpha 700, Alpha 900 et pas mal de cailloux qui se montent dessus.
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
jr56 a écrit :2 ou 3 compléments vu tes remarques...
Merci beaucoup jr56 pur ces infos.
J'ai fait d'autres tests cet après-midi : je n'ai pas eu beaucoup de temps pour bien analyser, mais ça m'a l'air très bon !

Départ demain matin et sans doute pas de connexion avant le 27 décembre...

Merci encore et @+
-
jr56 - Messages : 24349
- Photos : 369
- Inscription : 21 Mars 2005
- Localisation : A l'orée de la forêt des carnutes
Bon voyage, et bonnes photos si tu emmenes ton boitier.
Fais nous signe au retour
Fais nous signe au retour

SRT101, 9xi, D7, D9, Z3, NEX 5N (+viseur), D5D, Alpha 700, Alpha 900 et pas mal de cailloux qui se montent dessus.
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 3 invités
