
Pour moi, c'est vraiment le mauvais exemple que les 8 tonalités de réglage fin des couleurs en TSL : j'ai sauvé plein de photos de théâtre à sources d'éclairage inhomogènes grâce à lui, et il n'est redondant avec rien. C'est curieux que tu parles de ça car Capture One, que j'utilise de temps en temps et que j'apprécie également beaucoup, a une fonctionnalité de balance/editeur de couleur au moins aussi complexe.
Pour continuer sur Capture One, il faut cliquer n fois pour faire apparaître une à une les palettes d'outils, au lieu d'un simple scroll avec LR, et je trouve ça anti-regonomique. Comme quoi, chacun trouve usine à gaz le soft des autres mais pas son préféré...

Sinon dans un développement, on n'est pas obligé de tirer tous les curseurs. Il y a des curseurs simples dont on peut se contenter, que l'on retrouve partout, et des curseurs plus complexes à manier dont on comprend les effets après un certain temps d'expérience. C'est pareil pour maîtriser les calques de Bibble (ou pour piger l'organisation du flux de données dans DxO...
