ca me parle bien aussi. Intrigante cette lumière. Je me demande même si le sujet premier n'est pas la lumière sur celle-ci. Qu'en penses-tu? Je l'aurais bien vu en carré avec la même base, mais avec davantage de ciel. Ca laisserait peut-être planer encore un peu plus la menace d'un éclair, qui sait?
Merci Cwati C'était un orage de fou cet après midi... Je l'ai en carré aussi mais à la finale, les piquets blancs à gauche me semblent importants dans la compo...et participent à distribuer la lumière qui est bien le sujet je crois. Sans, ne crois tu pas que le bosquet à côté de l'arbre ferait perdre de l’intérêt à la compo somme toute plutôt très basique?
"Plus tard, il sera trop tard. Notre vie, c'est maintenant." Jacques Prévert
En l'état ca ne marche pas vraiment, pour moi du moins, s'il n'y avait pas le titre je n'aurais même pas pensé à une situation orageuse en fait. J'ai juste la sensation d'une lumière artificielle latérale (un gros spot halogène, des phares de voiture....), guère plus désolé
Tout à fait d'accord avec cwati sur le cadrage : ça manque de ciel. L'arbre manque aussi peut-être de luminosité par rapport à l'herbe et au bosquet central ? Les piquets me semblent aussi indispensables. Belle ambiance en tout cas.
Pas de souci Sommep Merci de ton passage et avis !!
Merci Scribe Je n'ai malheureusement pas de cadrage plus large... mon format portrait n'inclut pas les piquets.. ça perd beaucoup du coup... Pour la lumière sur l'arbre je n'ai pas réussi à récupérer plus mais ça l'aurait effectivement mérité un peu.
"Plus tard, il sera trop tard. Notre vie, c'est maintenant." Jacques Prévert
Je dirais que c'est plus immédiatement "joli", mais moins mystérieux, moins suggestif… Au final, je préfère la 1 (sous réserve de vivifier un peu l'arbre )
Qu'est ce qui te gêne CaribOu sur l'herbe de la première? La teinte ou l'effet ? C'est clairement ma préférée en tous cas mais j'ai beau la reprendre, je ne réussis pas à aller au delà sans détériorer le ciel
"Plus tard, il sera trop tard. Notre vie, c'est maintenant." Jacques Prévert