Petit tour habituelle de ma zone, quelques rencontres, familière ou non. Entre la tortue de floride qui est de nouveau là, le martin pêcheur qui est super actif avec l'aigrette garzette qui fait escale, il y a aussi les milans noirs qui sont de retour. Je vois un ce poser et ce mettre en position "préparation d'accouplement" et...
L'autre arrive, mais pas au bon endroits et repars rapidement
J'espère qu'il revienne et fasse quelque chose de concret, mais il n'a pas le temps, un geai des chênes vient semer la panique^^
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Je continue le "chemin" et évidement les 10 derniers mètres sont inondé d'eau ( 30 cm) mais bon. J'arrive à l’observatoire je cherche désespèrent à photographier des rousserolles pour savoir ci c'est des verderolles ou des effarvatte en vain^^ quand un grande ombre arrive, je lève les yeux et la le milan est tout proche, j'avais mis le TC1.4, je vous assure que c'est quasi mission impossible a faire la map^^ Bref, il pique deux fois, je sais pas trop ce qu'il chasse dans les roseaux et après un moment, il repart suivit que quelques corneilles.
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Et j'ai vu en post-traitent la photo, qu'il avait des roseaux dans les serres ce qui veut dire qu'ils fabriques leur nid (donc que le semblent d’essais d'accouplement soit vrais) ou peut être qu'il y a déjà les petit et qu'il prend des roseaux pour "améliorer" le nid ( donc le semblent d'accouplement est en faites rien )
C'est ça que j'aime dans la photographie. On regarde les espèces, leur évolutions et avec la photo sa nous permet d'identifier, de comprendre voir dès fois de sortir un joli clicher. Voila pourquoi je ne ressent pas un grand intérêt à photographier des moineaux domestiques, pigeon ramier, grèbe huppé, canard colvert dans des lieux hyper fréquenté ou ils viennent te manger dans la main, c'est pas les mêmes sensation.
Bref, à vos critiques
pour l'ortho, mais on s'y habitue... avec parfois des difficultés de "traduction" 
pour l'ensemble récit-photos avec un 
pour la 5
