bricos a écrit :c'est pas toujours évident, mon expérience me prouve que les 50 lumineux 'loupent' parfois la mise au point, alors qu'un zoom genre T17-50 (2,8) ou m 24-105 (3,5 à 4,5), dans les meme conditions (tres peu lumineuse), réussisse le point.
Exmachina a écrit :J'ai déjà eu cette impression, en tous cas avec l'alpha 200 que la map à grande ouverture (>2) était imprécise, voire foireuse.
Lié au boitier et au photographe dans mon cas

avec le même 50/1.7, et à la louche
- "loupés" de MAP 10% du temps avec A100
- "loupés" de MAP 5% du temps avec A200
- "loupés" de MAP 2% du temps avec A700
Avec le recul je pense que le gros 10% sur A100 était surtout lié au photographe, tout comme le 2% incompressible sur A700 me semble lié lui aussi au photographe ne s'appliquant pas assez

MacManus a écrit :Du coup dans beaucoup de situations (celles où on voudrait une grande PDC), la grande ouverture "ne sert à rien" ? (à part pour l'AF)
J'ai bon ??
A part les histoires de MAP déjà précisées par les copains, effectivement c'est ça.
Avec un raisonnement similaire, au fil du temps je me suis aperçu que je shootais 50% du temps dans la tranche f/2-f/2.8 et 45% du temps dans la tranche f/4-f/5. Du coup j'ai gardé un unique 50 macro qui pique davantage à f/2.8, et n'est que légèrement plus lent que le 50/1.7 sur A700 pour faire le point.
Certes ce choix m'empêche de jouer sur les très grand ouvertures avec une PdC de champs rikiki (mes 5% restant), mais alors pour retrouver une très faible PdC je préfère sortir du 85 ou du 135 ouvert à f/2.8 via le 70-200

Et tant pi pour les rares cas où la lumière est tellement pourrie que j'aurais besoin d'un rapport f/1.7 ou f/1.4: ça n'est pas vrai pour toutes les pratiques, mais moi je m'assois dessus et je pousse d'un cran en ISO en priant pour que le dématriçage permette des miracles
