Forum AlphaDxD

Bonjour à tous,

J’aimerais connaître la fréquence de nettoyage d’un capteur? C’est une chose que je n’ai jamais fait mais cela semble assez courant en vous lisant.
En parallèle qu’utilisez vous pour le nettoyage de vos objectifs ?

Merci d’avance de vos réponses

liquide eclipse et sensor swab

fréquence de nettoyage : dès qu'il y a besoin, très variable selon l'utilisation (changement d'objo en extérieur)

Moi j'avoue que depuis 3 ou 4 ans que j'ai mon A7 ... je n'ai jamais nettoyé le capteur

Vincent

... 1 ou 2 fois par an selon le BESOIN .

Idem, très rare, et bien souvent un coup de poire soufflante suffit.

Quand il y a besoin, ce qui se produit 2 à 3 fois par an environ.

Perso, en 2 ans, Zéro nettoyage, juste des coups de poire et de tps en tps et un bon coups d'aspirateur (dyson) !!!!!

J'ai besoin de changer mes objos en extérieur durant les 24 heures, donc souvent un nettoyage s'impose une fois par an pour moi

Jamais nettoyé les capteurs de l'A7 et de l'A6300, juste un coup de poire soufflante en cas de poussières.

Petit aparté :
Grosse déconvenue lors de vouloir faire une reprise en boutique pour l'A7, refus motivé par capteur rayé, étonnement de ma part, il y aurait eu une tache sur le capteur qui serait partie après nettoyage mais après capteur rayé. Bon on ne peut rien dire, et avec ma vue basse
Bon passons, reste un boitier que j'aurais honnêtement du mal à vendre et que je vais garder comme "mulet"
Là j'ai fait un passage par un produit ad'hoc ( Green Clean ) avant de tester et un ami du forum disposant d'un microscope a bien constaté des micro-rayures. Ils les a pris en photo, c'est chouette d'avoir des amis ayant ce type d'outillage. Celles-ci ne gênent pas même aux diaphragmes les plus fermés.

Pour revenir au capteur des mirrorless, pour moi il est plus sensible aux poussières ( et encore !! ) mais nettement moins aux taches grasses, l'expérience vécue avec deux reflex à miroirs me l'a fait connaitre.

Merci à tous de vos retours, je n’utilise même pas de poire (investissement à prévoir).
Le nettoyage capteur vous le faites vous même ?

Oui, il y a moult sujets sur le forum qui indiquent comment faire.

Malgré des changements fréquents d'objectifs, je n'ai que rarement besoin de nettoyer. Cela doit faire 3 ou 4 ans que je ne l'ai pas fait. Bien sur il suffit d'une fois (changement en milieu poussiéreux, avec vent...) pour que ce soit nécessaire.
On ressent aussi plus le besoin si on photographie à diaph. très fermé (macro, photos de paysages par grand beau temps), les poussières se voient plus, que si on fait du portrait à pleine ouverture.

J'avais aussi eu le sentiment que plus on nettoie, plus on a besoin de nettoyer. Je ne nettoie donc que si vraiment il y a gêne visible sur des photos courantes (en testant à f/32, on voit presque toujours des poussières, mas tant qu'elles ne ressortent pas sur une photo lambda...).

Tout à fait .
Si à f13 on ne voit rien , je ne fais rien. Car comme la diffraction diminue les performances dés f13 / f16 environ , je ne dépasse quasiment jamais f11 .

L'aspirateur, ça souffle aussi, et c'est poussiéreux. A moins d'un truc spécial ou à la rigueur un petit pour électronique, je m'abstiendrais.

Je nettoie de temps en temps, en général un coup de soufflette suffit. De temps en temps, une poussière à décoller au sensor klear. C'est possible de rayer le filtre devant le capteur, mais c'est quand même rare, sauf à frotter de la poussière abrasive (sable par exemple).

C'est dans l'intérêt des fabricants, des SAV et des boutiques photos de faire penser que le nettoyage de capteur est difficile. C'est délicat (ne pas faire ça n'importe comment, quand et avec n'importe quoi), mais c'est pas difficile du tout

La poire, une poire auriculaire effilée (pour l'oreille) coûte quelques petits euros dans n'importe quelle pharmacie. Elle m'a toujours largement suffit.

L'aspirateur, mieux vaut se méfier.
Comme au début du numérique, toutes les solutions possibles étaient détaillés, j'avais fini par tester (avec précaution) cette solution. Plus pâr curiosité que par besoin réel. Dans le tube large (sur lequel s'adaptent les différents embouts pour le ménage), j'avais fixé une paille à boire, avec un coude. Cela diminue fortement la dépression d'aspiration au niveau du bout de la paille, et en coudant vers 90°, on évite l'aspiration du tube principal tout en ayant une bonne souplesse pour placer et déplacer l'embout de la paille où il faut. Avec l'autre main, on obture plus ou moins le tube principal pour moduler la dépression à la sortie de la paille (plus on l'obture, plus l'aspiration au niveau du bout de la paille est grande).

Bon, cela marche si on est précautionneux, mais c'est un peu l'usine à gaz à installer et manier.
Il faut notamment se méfier du souffle sortant à l'arrière de l'aspirateur, qui contient et soulève des poussière (si on veut minimiser les risques, mettre un sac neuf, placer le corps de l'aspirateur derrière une porte en ne passant par la porte entr'ouverte que le tube flexible...
Après l'expérimentation, ne n'ai pas récidivé, la poire effilée m'a toujours suffit.

Attention, si on utilise la pleine puissance d'un aspirateur de ménage dans la chambre réflex, le risque est grand d'aspirer de la mécanique, par ex. des lamelles de l'obturateur!


Faut dire que les inventeurs faisaient florès au début du numérique. Je me souviens de schémas sur les forums pour transformer un allume gaz piezo-électrique du commerce (quelques euros aussi au rayon ménager) en dé-ionisateur, pour supprimer l'électricité statique sur le capteur, qui attire la poussière. Ce genre de manip servait antérieurement sur les disques vinyl pour limiter les craquements dus aux poussières électriquement chargée qui se collaient à la surface du disque (l'électricité statique provenant du frottement contre l'enveloppe plastique quand on en sortait le disque pour mettre sur la platine).