Forum AlphaDxD

salut a tous
voila je voulais savoir ce qu il vallait mieux utiliser lors de reportage photo entre un 50mm 1.8 et un 18 200. Ma preference irait au 50 mais parfois je me dis quil vaudrait mieux utiliser les 2 ...
Merci de vos avis ..

oui les deux
car 50 en apsc c est bien trop long

Avec ton 18-200 regarde quelle focale tu utilises le plus lors d'une sortie et prends une focale fixe correspondante, pour ma part c'est 35mm (valeur FF).

Une valeur sûre: le 35 1.8 DT

"reportage photo", voilà une notion bien trop vague pour apporter une véritable réponse ciblée.
Quel genre de reportages ?
Peut-être qu'aucun de ces deux objectifs ne convient...
Déjà, le 18-200 est assez moyen en piqué et déforme pas mal en courtes focales. Mais surtout, son AF manque de réactivité.
D'où le complément d'info demandé.

c'est vrai que c'est bien vague.
Mais je pense que le 18-55 sera le plus polyvalent dans ses optiques.

Si c'est pour du reportage d'action - sujet versatile et pas trop le temps de changer d'objectif - le 18-200 serait un bon compromis s'il n'avait pas les défaut précités.
Quant à alterner entre le 50 (excellent piqué et pas de déformation) et le 18-200, la diff de qualité des clichés imbriqués sautera aux yeux, même sur écran d'ordi. J'avais déjà constaté ça il y a de nombreuses années (avec boîtier A100 !) après avoir pris sensiblement les mêmes clichés le même jour (même ensoleillement) avec le 18-200 et le Zeiss 16-80.

bon, je vais détonner, mais pour moi c'est super intéressant d'aller faire un reportage avec un seul objo, n'importe lequel, du moment qu'on n'a pas d'obligation de résultat (commande client, mariage d'un pote, etc). C'est marrant et une très bonne école de cadrage/composition.
J'ai eu fait des reportages au fisheye seul, au 16mm, au 50, au 90, et c'est très très positif... Faut juste accepter qu'on ne fera pas "tout". Mais on fera "différent", et on bossera énormément les fondamentaux

Sans doute, mais il est des cas où - comme tu le sous-entends - ça ne le fera pas :
as-tu déjà essayé de prendre les protos en piste aux 24 h du Mans au fisheye ? Déjà qu'aux 55 mm du 18-55, ça fait juste un petit point dans l'image...

Je caricature bien sûr, mais c'est pour espérer provoquer enfin une réponse à la question : quel(s) genre(s) de reportages ?

On est d'accord
Reste que, par exemple, s'imposer 2h à l'UGA sur un circuit par exemple, ça peut donner des choses très intéressantes : ça oblige à chercher autre chose à photographier, et au final ça agrémente mieux un reportage que 50 filés supplémentaires

Les gonzesses par exemples ?
On remarque que les blondes pulpeuses sévissent sur les circuits plus qu'ailleurs...

Cloclo a écrit :On remarque que les blondes pulpeuses sévicent sur les circuits plus qu'ailleurs...

Oups ! Corrigé...

Fallait pas, c'était magnifique

C'est vrai que c'était tentant. Que veux-tu, quelques vieux fatasmes.

Note que par le passé, sur le départ d'un rallye, j'ai vu le cas de la femme d'un pilote qui l'accompagnait pour vérifier qu'il prenait bien le départ, afin de pouvoir assouvir, sans complexe, quelques exercices physiques avec un autre mec... (ce ne pouvait être avec moi, puisque je prenais le départ).

Ouais, les mannequins devant les bolides sur la piste 1h avant le départ, si j'avais eu un fish eye à l'époque où je fréquentais le Mans

Plus sérieusement, il y aurait eu aussi de quoi faire dans les stands. (Faut dire que les stands aux 24h du Mans m'ont toujours beaucoup plus fasciné que de suivre les voitures sur la piste!).

Pour en revenir à la question initiale, il est clair qu'il y a reportage et reportage. Sur le fond, je rejoins assez juju, et en tenter un avec une seule focale fixe est toujours formateur et oblige à sortir des "pieds de plomb" (tourner la bague des focales sans bouger les pieds), et partant, à trouver des perspectives, des angles qu'on n'aurait peut-être pas tenté. Ceci expliquant que j'utilise rarement un zoom dans ces circonstances.

Pour moi, spontanément, reportage c'est avant tout des scènes de rues. Je faisais au 28mm en argentique (et maintenant24x36 numérique) et au 20mm en APS-C.
Cela oblige à méditer la célèbre maxime de Robert Cappa: "Si ta photographie n'est pas bonne, c'est que tu n'étais pas assez près".
Une courte focale fixe a alors un autre avantage: on se met à l'hyperfocale un fois pour toute et on ne s'occupe plus de la mise au point.

Pour les nanas, je faisais allusion à celles des stands. Et les 24 h n'étaient qu'un exemple. D'autant qu'il faut avoir les autorisations pour s'incruster dans les stands des concurrents.

Exemple (mais ce n'est pas une nana), à Magny Cours en juin dernier, une équipe mettait en oeuvre des moyens lourds pour photographier un proto, dont il était interdit de s'approcher. Dès la fin des prises de vue, il était vite fait enfermé dans son stand. Il m'a donc bien fallu utiliser un zoom pour voir de quoi il s'agissait (à moins d'avoir un fixe en 400 mm, mais donc encore sans approche pédestre) :