Avant-hier soir, j'imprime un A3+ des 3 voiliers échoués que j'ai montrés récemment sur PhotoCool.

Horreur et stupéfaction, enfer et damnation

, trois bêtes d'orage sont venues se coller sur le papier à peine sec

. Un doute m'ha... m'assaille

. Si je ne sens pas courir ces bestioles sur ma peau, comment seraient-elles venues sur le tirage

Je pousse le curseur du halogène, approche le tirage du lampadaire, cherche la bonne distance pour ma presbytie et je dois me rendre à l'évidence. Les 3 bestioles ne sont pas sur la photo mais
dans la photo

. M... ! Je réouvre le tiff, scrute les endroits incriminés et elles sont bien là. Il y en a même une dont on devine les ailes battantes ou les papattes sur la visu à 100%. On les voit d'ailleurs aussi en cherchant bien sur la réduction pour le web. Voici un gros plan sur les intruses que j'ai rassemblées :
Et dire que ce n'est pris qu'avec un 18-200 IS, un objectif censé sacrifier le piqué à la souplesse. On leur compterait les nervures des ailes avec le 17-55/2.8 IS ? Je crois que le numérique rend fou depuis qu'on a la possibilité de scruter à 100% et de tirer grand.
BK : EOS 7D+BG-E7, 10-22, 15-85 IS, 70-200/4L IS, 100-400L IS, Sigma 30/1.4, 580 EX II, PowerShot G5X
KB : EOS D40D+BG-E2, 18-200 IS, 70-300 IS, RX10M3
MK : EOS 80D, 10-18 STM, 15-85 IS, 50/1.8
CK : EOS 700D, 24 pancake, S17-70, T70-300
Sites
Errances photographiques et
Vintage pin-ups