Là c'est l'avion qui limite (enfin correspondance je suppose. Ou AR avec juste réunion à l'aéroport?)
Pour l'anecdote, je m'étonnais toujours du temps minimum d'escale d'un 747... j'ai compris une nuit lors d'une escale aux Comores (la grande époque des vols à escales multiples: Réunion, Comores vers minuit, Nairobi vers 2 h du mat., Marseille aux aurores avant d'arriver à Paris: tu ne dormais pas beaucoup

).
On nous a annoncé rapidement qu'on allait rester aux Comores une bonne heure de plus au minimum, car la "machine à refroidir les freins" du 747 était en panne, fallait attendre un refroidissement naturel. De fait, par le hublot j'ai ensuite vu du personnel de piste essayer d'accélérer le processus en arrosant avec de simple tuyaux de jardinier le train d'atterrissage! En discutant avec le commandant de bord, il nous a expliqué qu'effectivement sur un tel avion, atterrissant de surcroît plus ou moins à pleine charge admissible lors d'une première escale, les freins chauffent tellement qu'il fallait attendre leur refroidissement au cas où un freinage d'urgence s'imposerait au décollage, et que sur ces gros porteurs, c'était en général le facteur contraignant pour le temps d'escale.
Heureusement, les formules 1 n'ont pas ce problème
