La aussi raison technique en numérique: en argentique, le boitier mesurait en temps réel la lumière arrivant sur la surface de la pellicule et coupait le flash quand il y a en avait assez. Toutes les pellicules ont à peu près le même coefficient de réflexion
Les capteurs sont bien plus réfléchissants (et je crois avec une forte variation d'un modèle de capteur à l'autre) ne permettent plus cette mesure en temps réel. Le flash doit maintenant émettre un pré-éclair juste avant l'obturation, le boitier analyse en une fracion de seconde, et calcule la durée de l'éclair requise.
Maintenant, en numérique, avec la visualisation immédiate de la photo prise sur l'écran arrière et surtout de l'histogramme (répartition des niveaux de luminosité de la photo), on peut facilement ajuster le réglage en manuel après un ou deux essais...
Mais c'est vrai que pour les automatismes, il faut un flash récent. Les Minolta 3600 ou 5600 d'occasion sont des bons plans.
