A 50 iso en numérique, cela signifie qu'on surexpose le capteur, on perd donc en dynamique si on en veut pas bruler les blancs (certes les réglages sous la sensibilité du capteur se font aussi en général en triturant un peu la courbe sensitométique, avec baisse du contraste dans certaines valeurs).
Adapté donc à des scènes dont l'amplitude lumineuse est limitée ou contrôlée (studio)... ce qui semble être le cas de cette photo quand on regarde son histogamme. Des nuages bien blancs dans le ciel bleu auraient sans doute modifié la donne.
D'une façon générale, ceux qui ont connu le mythique Kodachrome 25 ISO, notamment pour les paysages, regrettent les 200 iso de base des capteurs. Sauf que pour le Kodachrome c'était la vraie sensibilité de la pellicule, pas un bidouillage électronique du signal...
Mais je rapelle qu'on a créé le club de ceux qui réclament des capteurs 50 ou 25 ISO plutot que des hauts zizos
Outre l'intérêt déjà cité, cela peut aussi aider à utiliser en débouchage des flashs ne possédant pas la fonction HSS (qui permet d'outrepaser la vitesse de synchro): même au soleil, on peut rester à des vitesses pas trop élevées.
D'une façon générale, tous ceux qui pour une raison ou une autre veulent pouvoir en plein soleil (ou autre fort éclairage) avoir une vitesse plutôt lente sans trop fermer le diaph.