Nouveau venu, mais ancien minoltiste
Publié : Sam 24 Jan 2009 22:25
Bonsoir à tous,
après avoir possédé un Indo 126 (offert pour ma communion) je suis tombé dans la marmite Minolta en 1990 pour deux raisons :
1 - un collègue de boulot possédait un Minolta 7000 avec un équipement conséquent et cela m'avait fait saliver ;
2 - c'était, à ma connaissance, la seule marque qui vendait un reflex AF avec flash intégré (et motorisé 35-80, s'il vous plaît).
J'ai donc acheté un Dynax 5000i accompagné d'un zoom 35-80 f4-5,6, mes moyens de l'époque ne me permettaient pas d'envisager mieux (pas de meilleure optique, pas de flash cobra).
Cet appareil simple mais robuste (il a survécu à deux chutes dont je n'aurais jamais cru qu'elles ne soient pas à chaque fois la dernière) s'est ensuite vu adjoindre un Sigma 70-300 f4-5,6 Apo Macro, puis un flash cobra (Starblitz ou Sunpak ou ... j'ai oublié).
L'objectif 35-80 est parti au deuxième déclic de la FNAC de Nancy en échange d'un Sigma 24-70.
Le 5000i est parti de la même manière après des années de bons et loyaux services en échange d'un 700si avec poignée VC700.
Puis ce fut au tour du cobra d'être échangé contre un 5400HS et le Sigma 24-70 est devenu un Minolta 24-85 avant que ce dernier devienne à son tour un 24-105D.
J'étais un peu dubitatif au début du numérique (sans même parler du budget nécessaire) et lors du mariage avec Konica (l'APS avait fait mal à ma marque qui avait investi dans un système complet). Bref, mon 700si me rendait tout à fait heureux quand patatras..., KM annonce la fin de la partie.
Petit vent de panique et attente de jours meilleurs quand, aux cours de mes vacances 2006, je tombe sur un D7D bradé dans une vitrine d'un Carrefour près de Perpignan. Je l'achète sans trop réfléchir et je fonce à la FNAC du coin pour savoir s'il y aurait encore des accessoires pour l'accompagner. Là, un vendeur photo un peu perplexe (l'alpha 100 tout frais sorti trône dans sa vitrine de présentation) m'explique que "Mon bon monsieur, il n'y a plus de référence Minolta, bla bla bla". J'insiste (un peu lourdement) et le vendeur, pour me montrer qu'il sait de quoi il parle, tape Minolta sur son clavier. Là, quelle surprise !!!, il y a deux poignées VC7D dans les FNAC françaises, dont l'une est... à Perpignan, dans le tiroir derrière mon vendeur. Comme quoi, il faut savoir s'acharner.
Depuis, ce D7D m'a procuré bien du plaisir (son ergonomie est un vrai régal pour moi), jusqu'au jour de septembre dernier où mon petit garçon (3 ans 1/2) a décidé de lui faire traverser le salon (je n'aurais pas dû le poser sur la table basse) en passant le pied dans la courroie de cou. Je connais donc le fameux problème du piézo de l'AS qui lâche.
Un tour chez Photo Saint-Charles à Paris plus tard, j'avais appris 1 : que c'était mal barré, 2 : l'existence du site DxD, et surtout 3 : qu'il y avait un D7D d'occasion dans la vitrine : je suis reparti avec.
Depuis, achat d'un KM 17-35 d'occasion dans la même boutique, puis d'un M 100 Macro d'occasion (superbe état) à la Boutique Nikon.
Prochaine étape : me séparer (à regret) du Sigma 70-300 (que j'aime bien, mais l'AF est un peu lent et avec le M 100 Macro, le rapport proxiphoto 1/2 qui avait pesé dans le choix il y a des années perd de son intérêt) pour investir dans un Sony 70-300G SSM. Ensuite, penser à acheter le 900, la poignée qui va avec, le flash dernier cri + tous les objectifs G et Zeiss (je vous quitte, j'ai une grille de loto à valider).
Trêve de discussion technique, tout ce matériel est bien joli, mais n'oublions pas la photo qui doit en sortir, et ne cherchons pas ce qui doit être le plus important entre le sujet, l'oeil du photographe, l'optique, le capteur, la lumière ou l'ordinateur et son système. Tout est une affaire de compromis.
Restons simple, le plus important, c'est de se faire plaisir.
PS : le premier D7D est toujours en service, il dort à la cave (5 à 10° max), ensuite il est très à l'aise si l'ambiance ne chauffe pas trop (par exemple le matin à la fraîche, en forêt).
après avoir possédé un Indo 126 (offert pour ma communion) je suis tombé dans la marmite Minolta en 1990 pour deux raisons :
1 - un collègue de boulot possédait un Minolta 7000 avec un équipement conséquent et cela m'avait fait saliver ;
2 - c'était, à ma connaissance, la seule marque qui vendait un reflex AF avec flash intégré (et motorisé 35-80, s'il vous plaît).
J'ai donc acheté un Dynax 5000i accompagné d'un zoom 35-80 f4-5,6, mes moyens de l'époque ne me permettaient pas d'envisager mieux (pas de meilleure optique, pas de flash cobra).
Cet appareil simple mais robuste (il a survécu à deux chutes dont je n'aurais jamais cru qu'elles ne soient pas à chaque fois la dernière) s'est ensuite vu adjoindre un Sigma 70-300 f4-5,6 Apo Macro, puis un flash cobra (Starblitz ou Sunpak ou ... j'ai oublié).
L'objectif 35-80 est parti au deuxième déclic de la FNAC de Nancy en échange d'un Sigma 24-70.
Le 5000i est parti de la même manière après des années de bons et loyaux services en échange d'un 700si avec poignée VC700.
Puis ce fut au tour du cobra d'être échangé contre un 5400HS et le Sigma 24-70 est devenu un Minolta 24-85 avant que ce dernier devienne à son tour un 24-105D.
J'étais un peu dubitatif au début du numérique (sans même parler du budget nécessaire) et lors du mariage avec Konica (l'APS avait fait mal à ma marque qui avait investi dans un système complet). Bref, mon 700si me rendait tout à fait heureux quand patatras..., KM annonce la fin de la partie.
Petit vent de panique et attente de jours meilleurs quand, aux cours de mes vacances 2006, je tombe sur un D7D bradé dans une vitrine d'un Carrefour près de Perpignan. Je l'achète sans trop réfléchir et je fonce à la FNAC du coin pour savoir s'il y aurait encore des accessoires pour l'accompagner. Là, un vendeur photo un peu perplexe (l'alpha 100 tout frais sorti trône dans sa vitrine de présentation) m'explique que "Mon bon monsieur, il n'y a plus de référence Minolta, bla bla bla". J'insiste (un peu lourdement) et le vendeur, pour me montrer qu'il sait de quoi il parle, tape Minolta sur son clavier. Là, quelle surprise !!!, il y a deux poignées VC7D dans les FNAC françaises, dont l'une est... à Perpignan, dans le tiroir derrière mon vendeur. Comme quoi, il faut savoir s'acharner.
Depuis, ce D7D m'a procuré bien du plaisir (son ergonomie est un vrai régal pour moi), jusqu'au jour de septembre dernier où mon petit garçon (3 ans 1/2) a décidé de lui faire traverser le salon (je n'aurais pas dû le poser sur la table basse) en passant le pied dans la courroie de cou. Je connais donc le fameux problème du piézo de l'AS qui lâche.
Un tour chez Photo Saint-Charles à Paris plus tard, j'avais appris 1 : que c'était mal barré, 2 : l'existence du site DxD, et surtout 3 : qu'il y avait un D7D d'occasion dans la vitrine : je suis reparti avec.
Depuis, achat d'un KM 17-35 d'occasion dans la même boutique, puis d'un M 100 Macro d'occasion (superbe état) à la Boutique Nikon.
Prochaine étape : me séparer (à regret) du Sigma 70-300 (que j'aime bien, mais l'AF est un peu lent et avec le M 100 Macro, le rapport proxiphoto 1/2 qui avait pesé dans le choix il y a des années perd de son intérêt) pour investir dans un Sony 70-300G SSM. Ensuite, penser à acheter le 900, la poignée qui va avec, le flash dernier cri + tous les objectifs G et Zeiss (je vous quitte, j'ai une grille de loto à valider).
Trêve de discussion technique, tout ce matériel est bien joli, mais n'oublions pas la photo qui doit en sortir, et ne cherchons pas ce qui doit être le plus important entre le sujet, l'oeil du photographe, l'optique, le capteur, la lumière ou l'ordinateur et son système. Tout est une affaire de compromis.
Restons simple, le plus important, c'est de se faire plaisir.
PS : le premier D7D est toujours en service, il dort à la cave (5 à 10° max), ensuite il est très à l'aise si l'ambiance ne chauffe pas trop (par exemple le matin à la fraîche, en forêt).
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