
On y parle photos, ou balance des blancs
cadrage et diaphragme, voire nombre de pixels.
Pourtant, par-ci, par-là, se glisse un fait troublant :
La poésie prend des mots qu’elle mixe. Elle
en fait quelques sonnets, badins et drôles, doublant
la mise à l’occasion. Diablement prolixe, elle
décrit le quotidien, en changeant la cible, en
alternant les rimes (la longueur est fixe, elle).
Un esprit plein de lettres est là, les rassemblant
en quatrains ou tercets. Moi, j’utilise « x », « l ».
Mais, c’est trop épuisant, je vais laisser un blanc.
…
Hum !.. Mieux vaut clore ici ce poème accablant.
Je salue le forum : le plaisir XXL
qu’on y trouve chaque jour n’est pas un faux-semblant.
Cordialement