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Bonsoir a tous

Deux questions dans un même post .
Quelle précaution doit-on prendre en argentique si on shoot par 0 °C où est-ce carrément déconseillée .
Je pense notamment au choc thermique sur la pellicule .
De la neige est prévu par chez moi, en numérique je prenais ma charte Scuadra pour la BDB mais en argentique .

Voir le fil sur le sujet du froid.

Merci pour ta réponse
Je viens de lire le fil complet, donc pas plus de précaution avec un argentique qu'un numérique si j'ai bien compris .

Bonne fin de soirée

Certains anciens boitiers argentiques mécaniques pouvaient peiner à fonctionner, un très grand froid figeant les lubrifiants des parties mécaniques . Mais je pense que c'est un lointain passé. Par contre, à la même époque, pas de pile ou accus nécessaire au fonctionnement, donc meilleure insensibilité au froid.

La pellicule, jamais eu de problème, même par -20/-25°C (montagne >3000m en hiver). Maintenant en Sibérie, par -40 ou -50, jamais eu l'occasion de tester.

jr56 a écrit :Par contre, à la même époque, pas de pile ou accus nécessaire au fonctionnement, donc meilleure insensibilité au froid.

Oula, c'était quand ca? J'étais surement pas né.

Petit c...

Sans doute

Attention, il y avait dès 1966 (mon premier, SRT101) une pile pour la cellule récemment incorporée dans le boitier, mais tout le reste, et notamment l'avancement de la pellicule et le déclenchement se faisaient de façon purement mécanique.

Mon premier boitier sans levier d'avancement a du être le 9xi (début des années 90).: je me souviens en amenant mon 9000 (acheté en 1985 ou 86) au comptoir 2ième déclic de la FNAC, le vendeur (enfin, l'acheteur ) appuye sur le déclencheur, rien ne se passe, il me regarde et dit: il ne fonctionne pas votre boitier! En souriant, je lui indique le levier d'armement, et il bredouille: ah oui, j'ai perdu l'habitude de ces trucs là!

N'empêche, à l'époque, on partait deux mois dans un coin perdu de la planète sans se poser de questions de piles ou d'accus et encore moins de chargeur, risque de pannes bien inférieurs, pas de faux contact ou de molette folle, (notamment assez insensibles à l'humidité tropicale ou équatoriale), on photographiait les étoiles avec plusieurs heures de poses sans craindre de vider l'accu ou de devoir trainer une rallonge de 20m pour brancher le boitier sur alim. secteur, et comme dit plus haut, par grand froid, pas de pb. non plus!

1966! C'est l'age de pierre ca.

Mon 1er boîtier, c'était ca. Et y avait déjà une pile.

ear_78 a écrit :Petit c...

Grand.

Pas de pépins par grand froid en argentique? Certains oublient les casses de pellicules par température très basse...
J'ai souvenir d'une photographe québécoise qui se plaignait en reportage de ski des perfos de la pellicule qui se déchiraient au réarmement ou de la pelloche qui cassait.

Casse de pellicule, formation de givre sur la pellicule quand l'appareil passait du chaud au froid, piles inopérantes à partir de -10 ou -20, galva qui restait coincé, etc.

Tout le charme de l'argentique !
Maintenant, si tu n'as pas la poignée BG tartemuche avec 2 accus, le boitier bloque après 3 photos par -15...
D'ailleurs, les problèmes de condensation sont toujours présents, et je vous dis pas la gueule du capteur après ! ;o)