
pour ce travail effectivement titanesque, plus une présentation / mise en page qui a du te prendre du temps et qui nous permet par contre d'accéder aux résultats sans aucun effor!
Je viens de parcourir, mais partant en vacances, l'examen détaillé sera sans doute repoussé d'une semaine.
Une remarque et trois questions à ce stade:
a) Si je comprends biien , si on ne dépasse pas 400 ISO, voire 800 ISO, aucun logiciel ne creuse vraiment de différence (important pour moi, dinosaure indécrottable issu de l'argentique qui même avec l'alpha700 doit se faire violence pour déjà afficher 800 ISO

).
b) La molesse d'IDC, du au "buggage" (que Sony ne semble pas vouloir rectifier malgré les remontées ??!!

) de son moteur d'accentuation peut-elle se rattraper en accentuant ultérieurement avec un autre logiciel de post-traitement (Toshop notamment)? Ou bien, ce qui est perdu au départ n'est-il jamais rattrapable?
c) Plus globalement, ma culture de la chaine de travail en post-traitement (mais acquise sur le tas et
en Jpeg ditrect) était qu'il ne faut traiter le bruit et n'accentuer que comme étapes finales de post-traitement, une fois tout le reste effectué.
Je faisais du Jpeg, car mes raws s'accumulaient sans avoir jamais le temps de les développer! ear_78 m'ayant convaincu qu'on pouvait se contenter de développer ses raws à la volée, je pratique maintenant ce développement en lot avec les réglages par défaut, ou tout au plus réglages basiques BdB, luminosit... du logiciel de développement, que je sauvegarde en tiff 16 bits, pour prendre ensuite le temps de revenir ultérieurement peaufiner le post-traitement avec un vrai logiciel de post-traitement pour les images que je veux privilégier. Vaut-il mieux en développant
des raw, effectuer dès le développement un premier débruitage et/ou une première accentuation, (peut-être pas trop poussés?) pour compenser d'origine les caractéristiques du signal issues du capteur+dématriçage, avec une autre étape débruitage + accentuation en fin de post-traitement (notamment si travail sur les BL en post-traitement après logiciel de développement). Et comment alors doser les deux traitements successifs? Ou bien peut-on sans conséquence ignorer débruitage et accentuation au stade développement et les effectuer en fin de travail (avec pour le débruitage un logiciel spécialisé type noiseware ou noise ninja).
Questions subsidiaires:
1)dans quel ordre vaut-il mieux alors procéder? débruitage puis accentuation, ou l'inverse? (pour moi l'accentuation est l'étape finale)
2) Y a-t-il d'autres corrections que les basiques (BdB, luminosité, éventuellement accentuation/débruitage...) qu'il vaut mieux faire dès le stade développement?
Réponses éventuellement différentes selon bas ou hauts ISO?
SRT101, 9xi, D7, D9, Z3, NEX 5N (+viseur), D5D, Alpha 700, Alpha 900 et pas mal de cailloux qui se montent dessus.
Viseur optique... what else?
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet