Salut BirberJe n'ai jamais vu l'utilité du mode "slow".
Mon A77 est paramétré par défaut en mode "rear".
J'expliqueEn argentique ces modes n'existaient pas, le flash était déclenché a l'ouverture du premier rideau (mode par défaut sortie d'usine sur les boîtiers actuels), ce qui, en pose longue (vitesse inférieure a 1/30s jusqu’à la pose"B"), sur un sujet en déplacement provoquait des "traînées" devant le sujet (ni naturel, ni jojo).
Aujourd'hui, sur nos boîtiers, le mode "rear", dans les mêmes conditions, fait apparaître les "traînées" derrière le sujet en mouvement , soit a leur juste place!
Ceci est très compréhensible au vu du graphique ci dessous:

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- dont moi
Exifs
Par ailleurs, au flash, la vitesse d'obturation n'intervient aucunement dans l'exposition techniquement correcte du sujet par la lumière émise par le flash; j'en veux pour preuve la formule du Nombre Guide
NG =(" f/") x (d) - NG = nombre guide
- f/ = ouverture du diaphragme
- d = distance flash/sujet en mètres
Je ne vois, là, aucune intervention dans le calcul de la vitesse d'obturation.! Et pour cause
Au flash, la prise en compte de la lumière ambiante se dose par la vitesse d'obturation et le "poids" de l'éclair du flash se dose soit par le diaph soit par l'éloignement ou le rapprochement du flash par rapport au sujet principal, soit par une augmentation de la sensibilité ISO
- Si on travaille en 'tout manuel" et si le flash est monté sur la griffe de l'APN c'est l'ensemble "APN Flash" et donc le photographe qui doivent bouger ou bien le diaph doit être ajusté, ou encore la sensibilité qui doit être réglée (passer de 100 à 200ISO est équivalent, uniquement du point de vue de la quantité de photons reçue par le capteur, a ouvrir le diaph d'une valeur standard ou diminuer la vitesse d'une valeur standard)
- Si on travaille en "TTL" et si le flash est monté sur la griffe de l'APN, c'est l'informatique embarquée qui se charge de forcer le flash a adopter les réglages de puissance techniquement corrects, idem si le flash est déporté paramétré en "WL" et l'APN également paramétré en mode flash "Wireeless" (WL), pop-up sorti (indispensable sauf a avoir investi dans des "triggers" compatibles TTL Sony).
Dans tous les cas, en TTL, on peut corriger la puissance du flash avec le "correcteur d'exposition du flash" donc augmenter ou diminuer son "poids" dans l'exposition du sujet
Beaucoup de gens croient, à tort, que, lorsqu'on utilise un flash, cobra ou pop up, on doit impérativement régler la vitesse sur la vitesse dites de "synchro X" et pas ailleurs
En réalité, la vitesse de "synchro X" est la vitesse la plus rapide au delà de laquelle le capteur (ou la "pelloche") n'est que partiellement exposé par l'éclair du flash (apparition de bandes noires).
Un flash s'utilise de la "pose B" a la vitesse de "Synchro X", certains, dotés de la fonction "HSS" (Hight Speed Synchro) sont en mesure d'exposer intégralement un capteur a la vitesse maxi du boîtier (ils émettent alors une "rafale" d'éclairs stroboscopiques très peu puissants, ultra rapides "qcq 1/20000s par éclair), déclenchée juste avant l'ouverture du premier rideau et interrompue juste après la fermeture du second rideau, MAIS, au prix d'une perte de puissance très importante de chaque éclair, qui oblige a rapprocher le flash du sujet de façon importante: loi de déperdition de la lumière dite loi du carré inverse
Q = (x) / d²- "Q" est la quantité de lumière reçue par le sujet
- (x) étant un certain nombre de paramètres physiques (dont, entre autres, la puissance de la source)
- "d" est la distance source sujet
Voila pourquoi je n'ai jamais utilisé le mode slow, je règle tout, en général "hand made" lorsque j'ai un but bien précis (en général, dans ces cas particuliers, j'opère alors avec un "flash oldies" des années 70 (Vivitar 285 HV a peine moins puissant que mon HVL F60M) ou en "rear permanent" lorsque j'opère en TTL avec le 60M
Le poids de la lumière "préexistante" je le règle a la vitesse d'obturation dans les situations qui ne nécessitent pas de monter au dessus de 1/250s
En manuel, avec un bon flash, doté d'un calculateur, on peut aller jusqu'a transformer le jour en nuit, et, bien évidement transformer la nuit en jour.
Le problème de la Balance des Blancs n'en est pas un a deux conditions
1- shooter systématiquement en RAW
2- utiliser un "dématriceur" performant. Perso c'est Lightroom, mais cela peut être aussi n'importe quel dématriceur, y compris celui livré en série avec les DSLR et SLT Sony (ou téléchargeable gratuitement sur le site de Sony France
Voili, voilou
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