J'ajouterai juste qu'il n'agit que ..... s'il y a de la lumière polarisée.
C'est le cas des reflets sur des surfaces non métalliques: la réflexion sur la surface polarise la lumière: disparition des reflets dans une vitrine, sur l'eau, des feuillages brillants (lauriers, cocotiers...)
C'est aussi le cas de la lumière solaire diffusé par l'atmosphère. Mais l'effet est maximal dans un plan perpendiculaire au soleil, quasi nul en direction du soleil (bon, on photographie rarement pile en direction du soleil

) et à l'opposé. Continuement variable entre les deux. Donc attention notamment en grand angle, qui va englober une scène dans des directions très variables avec le soleil: on peut avoir un bleu très saturé dans un coin de la photo (effet maximal du polarisant) et pastel délavé de l'autre (pas d'effet). Cela fait plutot moche en générl.
Sous ciel couvert, nuage blancs ou gris difusant la lumière du soleil: pas d'effet du polarisant pour le ciel/l'atmosphère (mais reste l'effet sur les reflets).
Bref, effectivement un polarisant s'emploie dans certains cas seulement, avec discernement. Il faut bien doser son effet en tournant sa bague avant, pas forcément en se postionnant sur l'effet max. ou min, les réglages intermédiaires peuvent être plus heureux (encore plus quand on a par ex. et la mer et un ciel bleu simultanément dans le cadre: le réglage d'effet max. sur le ciel est rarement celui qui donne l'effet max sur le reflet sur l'eau).
Attention aussi aux objectifs dont la lentille avant tourne quand la map se fait: il faut régler le polarisant après chaque MaP.
Ne pas oublier qu'en luminosité, il fait perdre 1 à 2 IL.
A l'inverse, en numérique, c'est l'un des rares filtres dont l'effet ne peut être réalisé en post-traitement...