Un peu comme une série télé que l'on veut pas rater
Ce qui serait bien ,c'est de voir en photos nos baroudeurs ..non ???
Vagabondage maj Chinguetti / Sahara p35
Très Très Sympa
Merci pour la partage
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D700 gripped - Nikkor : 24-70/2.8 + 70-200/2.8 VRII + PC-Micro 85/2.8 + TC1.4 + TC2vIII + 300/2.8VRII
"Photographier c'est mettre sur la mĂŞme ligne de mire la tĂŞte, l'oeil et le coeur." H. Cartier-Bresson
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J.C 
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Merci pour tous ces commentaires les amis 
ça fait plaisir et donne envie de continuer.
Ce n'est pas indiscret, je comprends que cela pique un peu la curiosité...
Merci pour ta question elle me donne l'occasion d'expliquer notre démarche.
Ma femme et moi sommes passionés de voyage et de photographie, personellement j'ai redécouvert la photo grâce à elle lors de notre premier voyage commun, qui fût un peu comme notre "lune de miel": 6 mois à arpenter l'Australie dans tous les sens.
Un voyage extraordinaire, inoubliable.
DĂ©s lors il Ă©tait clair que ce que nous voulions par dessus tout Ă©tait voyager, librement avec le minimum de contraintes, et surtout, aussi longtemps que possible pour prendre un maximum d'images de ce monde qui change si vite.
On s'est alors mis à bosser et à économiser tout ce que l'on pouvait, les seules dépenses autorisés était pour le matériel photo, qui allait nous suivre pour immortaliser nos aventures, donc de la plus haute importance
et pour mettre Ă jour une fois de temps en temps (en fait une fois) le matos informatique. C'est tout.
En fait on aurait voulu partir avant mais j'ai eu un deuil qui à reporter ça et ensuite une promotion au boulot qui nous a fait rester un an de plus, histoire d'en mettre encore plus à gauche Bref on a eu plusieurs années pour constituer notre budget.
Notre projet est avant tout de voir du pays...le plus possible. Rencontrer des gens, des cultures et des paysages différents. On a choisi de commencer par l'amérique latine car c'est ce qui nous attirait le plus, ensuite vient l'afrique et, l'inoubliable Australie.
Nous aimons beaucoup l'Europe mais nous nous sentions un peu à l'étroit avec parfois l'impression d'être des extra-terrestres, lorsque nous évoquions notre projet de partir à long terme et qui sait, définitivement.
Nous avons toujours eu l'impression de ne pas "passer" avec le schéma classique du gentil travailleur qui paye ses impôts, ses crédits et s'assure une retraite tranquille.
L'aventure nous à toujours appelé
C'est ainsi que nous avons vendu le peu de possessions que nous avions, a part le matos photo. Ce qui a de la valeur sentimale est chez ma belle-mère, sinon nous n'avons plus rien que notre sac à dos.
Cette aventure peut durer très longtemps, ou bien s'arrêter rapidement car nous avons trouvé l'Endroit où nous voulons rester.
Ou alors on rentrera en Europe quand on aura plus de sous.
On est flexible et prêt à tout, on a laisser le stress et les soucis derrière nous, peu importe ce que l'avenir nous réserve, on le prendra (en photo ) comme il vient. 
C'Ă©tait quelques explications, si vous avez des questions, vous savez oĂą me trouvez.
Pensez juste que si la réponse tarde c'est qu'on à 8 heures de décalage horaire
Je vous prépare la prochaine série, on change de pays et on fait un grand bond au nord, direction le Guatemala, pays photogénique s'il en est, miam!
ça fait plaisir et donne envie de continuer.
iVince a Ă©crit :Ă€ ce sujet JC, maintenant qu'on est presque intimes, tu pourrais nous en dire plus sur ton projet de "tout plaquer" pour partir en voyage ?
Sans vouloir être indiscret bien sûr...
Ce n'est pas indiscret, je comprends que cela pique un peu la curiosité...
Merci pour ta question elle me donne l'occasion d'expliquer notre démarche.
Ma femme et moi sommes passionés de voyage et de photographie, personellement j'ai redécouvert la photo grâce à elle lors de notre premier voyage commun, qui fût un peu comme notre "lune de miel": 6 mois à arpenter l'Australie dans tous les sens.
Un voyage extraordinaire, inoubliable.
DĂ©s lors il Ă©tait clair que ce que nous voulions par dessus tout Ă©tait voyager, librement avec le minimum de contraintes, et surtout, aussi longtemps que possible pour prendre un maximum d'images de ce monde qui change si vite.
On s'est alors mis à bosser et à économiser tout ce que l'on pouvait, les seules dépenses autorisés était pour le matériel photo, qui allait nous suivre pour immortaliser nos aventures, donc de la plus haute importance
et pour mettre Ă jour une fois de temps en temps (en fait une fois) le matos informatique. C'est tout.
En fait on aurait voulu partir avant mais j'ai eu un deuil qui à reporter ça et ensuite une promotion au boulot qui nous a fait rester un an de plus, histoire d'en mettre encore plus à gauche
Bref on a eu plusieurs années pour constituer notre budget.
Notre projet est avant tout de voir du pays...le plus possible. Rencontrer des gens, des cultures et des paysages différents. On a choisi de commencer par l'amérique latine car c'est ce qui nous attirait le plus, ensuite vient l'afrique et, l'inoubliable Australie.
Nous aimons beaucoup l'Europe mais nous nous sentions un peu à l'étroit avec parfois l'impression d'être des extra-terrestres, lorsque nous évoquions notre projet de partir à long terme et qui sait, définitivement.
Nous avons toujours eu l'impression de ne pas "passer" avec le schéma classique du gentil travailleur qui paye ses impôts, ses crédits et s'assure une retraite tranquille.
L'aventure nous à toujours appelé
C'est ainsi que nous avons vendu le peu de possessions que nous avions, a part le matos photo. Ce qui a de la valeur sentimale est chez ma belle-mère, sinon nous n'avons plus rien que notre sac à dos.
Cette aventure peut durer très longtemps, ou bien s'arrêter rapidement car nous avons trouvé l'Endroit où nous voulons rester.
Ou alors on rentrera en Europe quand on aura plus de sous.
On est flexible et prêt à tout, on a laisser le stress et les soucis derrière nous, peu importe ce que l'avenir nous réserve, on le prendra (en photo
) comme il vient.
C'Ă©tait quelques explications, si vous avez des questions, vous savez oĂą me trouvez.
Pensez juste que si la réponse tarde c'est qu'on à 8 heures de décalage horaire
Je vous prépare la prochaine série, on change de pays et on fait un grand bond au nord, direction le Guatemala, pays photogénique s'il en est, miam!
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Continuons donc notre petit bonhomme de chemin.
Avec la dernière série se terminait, momentanément car nous y retournerons, la visite du Costa Rica.
Nous avons fait un grand bon en avant traversant très rapidement le Nicaragua, le Honduras et le Salvador, trop rapidement pour que l'on puisse s'y attarder içi, nous passerons plus de temps dans ces pays lors de notre redescente vers le sud.
Nous avons rendez-vous avec un couple d'amis au Guatemala.
Et nous avons très bien fait , c'est le vrai coup de coeur pour ce pays.
Je ne peux que le conseiller à tout le monde malgré ce que l'on peut lire à droite et à gauche sur la sécurité.
Que les choses soient dites une fois pour toutes, une certaine presse populaire locale entretient un climat d'insécurité, et c'est repris en choeur par les ambassades et la presse internationale. Il n'en est en fait rien du tout, le danger existe dans les grandes villes, principalement à Guatemala Ciudad, la capitale, mais pas plus qu'a New-york ou n'importe quelle autre métropole. Pour le reste les précautions d'usage suffisent, comme dans TOUS les pays.
Nous y avons trouver des gens d'une amabilité et d'une gentillesse rare. Les guatémaltèques sont des gens courtois, serviables, prévenant, les adjectifs me manquent...
Pour la première fois de ma vie plusieurs personnes m'ont remercié
d'avoir choisi de visiter leur pays 
et je ne parle pas de quelqu'un travaillant pour un quelquonque organisme touristique essayant d'être gentil avec le "gringo plein de fric", mais par exemple d'un jeune, en pleine campagne, qui partagait avec nous le peu de place disponible à l'arrière d'un pick-up.
C'est dans ces moments là que l'on prend toute la mesure de ce peuple, descendant direct des mayas, 60% de la population est indigène, les femmes portent encore le Traje, robe et haut traditionel, qu'il ne leur viendrait pas à l'idée de troquer contre des vêtements occidentaux.
Et si à l'occasion une jeune fille à la chance d'aller à la ville faire ses études et qu'elle décide de changer ses habitudes vestimentaires, personne ne lui en tiendra rigueur. La tolérance même.
N'étant pas encore aussi dévelloper que le Costa Rica, par ex, le Guatemala ne jouit pas de la même publicité auprès des tours-opérators occidentaux et pourtant...Il n'a rien a envier aux autres.
Ce qui nous a manqué au Costa Rica, c'est l'histoitre et la culture. Il est flagrant qu'il n'y a aucune culture, on va là -bas pour les animaux et les paysages, point.
Ici, au Guatemala, la culture maya est présente partout, pas seulement dans les musées. Elle est bien vivante, et pas près de s'éteindre.
Il n'est pas rare en se promenant, de tomber sur des petits groupes en pleine cérémonie, guidé par un shaman gesticulant autour d'un feu. On en prend plein la vue. Et là encore, alors que l'on a presque l'impression de déranger, on est invité a s'asseoir et à regarder, on repondra à nos question par la suite allant même jusqu'à nous indiquer où nous pourrons visiter d'autres endroits sacrés et assister à d'autres cérémonies de ce genre, incroyable
Bref, L'introduction est un peu longue mais elle est, Ă peine, Ă la mesure du plaisir que nous avons Ă visiter ce pays.
Nous y avons passé 2 mois et demi avant d'aller au Mexique, cela fait 5 jours que nous y sommes à nouveau, que du bonheur
Pour commencer les couleurs typique du Guaté, ces tissus leurs servent tous les jours, comme nappe ou comme sac à dos, et oui, on fout tout en vrac dedans, un noeud, et hop sur sur le dos, ou sur la tête!
Les marchés sont toujours haut en couleurs!
Vu sur Antigua, c'est là que nous avons rendez-vous, en face le volcan Agua, si si, il s'appelle comme ça.
De là nous sommes montés sur le volcan Pacaya. Quelle expérience! L'ascension de ce volcan serait, dans n'importe quel autre pays, interdit. J'en suis persuadé. Mais nous sommes au guatémala et içi on a encore cette liberté qui vous laisse libre d'entreprendre ce que vous voulez, a vos riques et périls
Je plante le décor: le Pacaya est un volcan actif, expulsant continuellement des flots de lave, et les secousses ne sont pas rares. Nous ignorons complètement notre destination finale, on sait juste que l'on va voir de la lave.
L'ascencion, magnifique commence en sous bois, ca monte sec, ca devient vite très frais.
Des paquets de brume vont et viennent, nous enveloppent, nous privant de la vue mais pour l'ambiance, c'est terrible! Au fur et à mesure de la montée les arbres se font de plus en plus rare, nous marchons maintenant sur un tapis de mousse et d'herbes, il bruine, on sort les ponchos. La vue commence à se dégager, et l'on apercoit un champ de lave durcie devant nous, il s' agit de la grosse coulée de janvier dernier. Et là commence l'aventure, notre guide s'aventurant sur la coulée et nous invitant à en faire autant, on se regarde circonspect, on ne s'attendait pas à marcher carrément sur un champ de lave!!!!
Le pied!
Le paysage devient lunaire, la lave sous nos pied est encore chaude comme en témoigne le bruit que font les goutelettes tombant dessus en s'évaporant instantanément.
Pschhh Pschhh (attention, bruitages!!) Petite explication du guide: on doit marcher là où il met les pieds car la croûte peut rompre à tout moment et en dessous, de la lave encore fluide circule, ce que nous pourrons constater à plusieurs reprises: sueurs froides garanties!!!
Il vaut mieux ne pas tomber, les arêtes sont vives et doivent laisser de sales blessures. On est content d'avoir de bonnes chaussures de marche. En l'espace de 5 minutes nous sommes complètement secs, on commence a avoir très chaud. On quitte donc nos vestes et je sors l'appareil...
Premières constatations: les prise de vue vont pas être commode, la cellule est souvent à côté de la plaque avec de tels écarts et si je ne cadre que sur de lave noire, n'en parlons pas.
La ballade continu, sous nos pied le terrain a les formes les plus variés, suivant le type de roche ayant fusionné:
Après quelques minutes nous sommes entourés par de la lave à perte de vue, un paysage incroyable! Et, enfin, nous pouvons observés les premières coulées, à 2, 3 mètres de notre position:
La chaleur est terrible mais le spectacle grandiose. De temps en temps un bruit d'éboulement nous fait lever la tête et nous aperçevons des éboulements de roche incandescentes de ce que nous devinons être, le cratère principal. nous ne pourrons pas y aller, trop dangereux. Tu m'étonnes!!!
Notre guide veut jouer les rigolos et nous montre comment une branche, qu'il avait ramassé sur le chemin en montant, s'embrase au bout de 5 secondes au contact de la roche!
Le voici en train de planter son bâton de marche dans une petite coulée, nous nous livrons également à ce petit jeu et je peux vous dire que la chaleur à cette distance n'est supportable que quelques secondes!!!
En montant un peu plus haut on tombe sur une plus grosse coulée quis sort d'un amas de lave séchée, grandiose. Je m'approche au plus près, le fût du 28-70 commence à chauffer sérieux dans ma main mais il faut que je fasse cette photo!
Le compact qu'on a également avec nous à déjà rendu l'âme, plus moyens d'en tirer quoi que ce soit, il refonctionnera plus tard lorsque l'on sera redescendu à des températures plus clémentes. Le 7D lui ne bronche pas, il est bouillant, comme nous, mais toujours vaillant, là où nous on commence à accuser un peu le coup de la chaleur
J'Ă©ssaye encore de me rapprocher au max et je monte Ă 70mm:
Ensuite, la redescente dans le noir, des images et des sons pleins la tĂŞte.
Changement de décor, on se rend sur les bords du lac Attitlan, d'après l'écrivain anglais Aldous Huxley, le plus beau lac du monde.
Je ne les ai pas tous pas vu et lui non plus, je pense, mais si ce n'est pas le plus beau, il doit s'en approcher très près:
Un panorama montrant le lac et les volcans (décidément ils ne nous lâchent plus) l'entourant.
D'autres vues toujours avec les volcans en arrière plan:
Ici on attend le bateau qui nous emmenra de l'autre coté du lac.
C'est sous cette paillasse que j'ai pu pendant trois semaines, rafraichir mon espagnol, c'Ă©tait ma salle de classe quoi avec une vue imprenable!
Beaucoup d'indigènes vivent dans les villages autour du lac.
A plus!
Avec la dernière série se terminait, momentanément car nous y retournerons, la visite du Costa Rica.
Nous avons fait un grand bon en avant traversant très rapidement le Nicaragua, le Honduras et le Salvador, trop rapidement pour que l'on puisse s'y attarder içi, nous passerons plus de temps dans ces pays lors de notre redescente vers le sud.
Nous avons rendez-vous avec un couple d'amis au Guatemala.
Et nous avons très bien fait , c'est le vrai coup de coeur pour ce pays.
Je ne peux que le conseiller à tout le monde malgré ce que l'on peut lire à droite et à gauche sur la sécurité.
Que les choses soient dites une fois pour toutes, une certaine presse populaire locale entretient un climat d'insécurité, et c'est repris en choeur par les ambassades et la presse internationale. Il n'en est en fait rien du tout, le danger existe dans les grandes villes, principalement à Guatemala Ciudad, la capitale, mais pas plus qu'a New-york ou n'importe quelle autre métropole. Pour le reste les précautions d'usage suffisent, comme dans TOUS les pays.
Nous y avons trouver des gens d'une amabilité et d'une gentillesse rare. Les guatémaltèques sont des gens courtois, serviables, prévenant, les adjectifs me manquent...
Pour la première fois de ma vie plusieurs personnes m'ont remercié
d'avoir choisi de visiter leur pays et je ne parle pas de quelqu'un travaillant pour un quelquonque organisme touristique essayant d'être gentil avec le "gringo plein de fric", mais par exemple d'un jeune, en pleine campagne, qui partagait avec nous le peu de place disponible à l'arrière d'un pick-up.C'est dans ces moments là que l'on prend toute la mesure de ce peuple, descendant direct des mayas, 60% de la population est indigène, les femmes portent encore le Traje, robe et haut traditionel, qu'il ne leur viendrait pas à l'idée de troquer contre des vêtements occidentaux.
Et si à l'occasion une jeune fille à la chance d'aller à la ville faire ses études et qu'elle décide de changer ses habitudes vestimentaires, personne ne lui en tiendra rigueur. La tolérance même.
N'étant pas encore aussi dévelloper que le Costa Rica, par ex, le Guatemala ne jouit pas de la même publicité auprès des tours-opérators occidentaux et pourtant...Il n'a rien a envier aux autres.
Ce qui nous a manqué au Costa Rica, c'est l'histoitre et la culture. Il est flagrant qu'il n'y a aucune culture, on va là -bas pour les animaux et les paysages, point.
Ici, au Guatemala, la culture maya est présente partout, pas seulement dans les musées. Elle est bien vivante, et pas près de s'éteindre.
Il n'est pas rare en se promenant, de tomber sur des petits groupes en pleine cérémonie, guidé par un shaman gesticulant autour d'un feu. On en prend plein la vue. Et là encore, alors que l'on a presque l'impression de déranger, on est invité a s'asseoir et à regarder, on repondra à nos question par la suite allant même jusqu'à nous indiquer où nous pourrons visiter d'autres endroits sacrés et assister à d'autres cérémonies de ce genre, incroyable
Bref, L'introduction est un peu longue mais elle est, Ă peine, Ă la mesure du plaisir que nous avons Ă visiter ce pays.
Nous y avons passé 2 mois et demi avant d'aller au Mexique, cela fait 5 jours que nous y sommes à nouveau, que du bonheur
Pour commencer les couleurs typique du Guaté, ces tissus leurs servent tous les jours, comme nappe ou comme sac à dos, et oui, on fout tout en vrac dedans, un noeud, et hop sur sur le dos, ou sur la tête!
- #287070: Consulté 2641 fois
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Les marchés sont toujours haut en couleurs!
- #287071: Consulté 2641 fois
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Vu sur Antigua, c'est là que nous avons rendez-vous, en face le volcan Agua, si si, il s'appelle comme ça.
- #287072: Consulté 2641 fois
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De là nous sommes montés sur le volcan Pacaya. Quelle expérience! L'ascension de ce volcan serait, dans n'importe quel autre pays, interdit. J'en suis persuadé. Mais nous sommes au guatémala et içi on a encore cette liberté qui vous laisse libre d'entreprendre ce que vous voulez, a vos riques et périls
Je plante le décor: le Pacaya est un volcan actif, expulsant continuellement des flots de lave, et les secousses ne sont pas rares. Nous ignorons complètement notre destination finale, on sait juste que l'on va voir de la lave.
L'ascencion, magnifique commence en sous bois, ca monte sec, ca devient vite très frais.
Des paquets de brume vont et viennent, nous enveloppent, nous privant de la vue mais pour l'ambiance, c'est terrible! Au fur et à mesure de la montée les arbres se font de plus en plus rare, nous marchons maintenant sur un tapis de mousse et d'herbes, il bruine, on sort les ponchos. La vue commence à se dégager, et l'on apercoit un champ de lave durcie devant nous, il s' agit de la grosse coulée de janvier dernier. Et là commence l'aventure, notre guide s'aventurant sur la coulée et nous invitant à en faire autant, on se regarde circonspect, on ne s'attendait pas à marcher carrément sur un champ de lave!!!!
Le pied!
Le paysage devient lunaire, la lave sous nos pied est encore chaude comme en témoigne le bruit que font les goutelettes tombant dessus en s'évaporant instantanément.
Pschhh Pschhh (attention, bruitages!!) Petite explication du guide: on doit marcher là où il met les pieds car la croûte peut rompre à tout moment et en dessous, de la lave encore fluide circule, ce que nous pourrons constater à plusieurs reprises: sueurs froides garanties!!!
Il vaut mieux ne pas tomber, les arêtes sont vives et doivent laisser de sales blessures. On est content d'avoir de bonnes chaussures de marche. En l'espace de 5 minutes nous sommes complètement secs, on commence a avoir très chaud. On quitte donc nos vestes et je sors l'appareil...
Premières constatations: les prise de vue vont pas être commode, la cellule est souvent à côté de la plaque avec de tels écarts et si je ne cadre que sur de lave noire, n'en parlons pas.
La ballade continu, sous nos pied le terrain a les formes les plus variés, suivant le type de roche ayant fusionné:
- #287073: Consulté 2641 fois
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Après quelques minutes nous sommes entourés par de la lave à perte de vue, un paysage incroyable! Et, enfin, nous pouvons observés les premières coulées, à 2, 3 mètres de notre position:
- #287074: Consulté 2641 fois
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La chaleur est terrible mais le spectacle grandiose. De temps en temps un bruit d'éboulement nous fait lever la tête et nous aperçevons des éboulements de roche incandescentes de ce que nous devinons être, le cratère principal. nous ne pourrons pas y aller, trop dangereux. Tu m'étonnes!!!
Notre guide veut jouer les rigolos et nous montre comment une branche, qu'il avait ramassé sur le chemin en montant, s'embrase au bout de 5 secondes au contact de la roche!
Le voici en train de planter son bâton de marche dans une petite coulée, nous nous livrons également à ce petit jeu et je peux vous dire que la chaleur à cette distance n'est supportable que quelques secondes!!!
- #287076: Consulté 2641 fois
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En montant un peu plus haut on tombe sur une plus grosse coulée quis sort d'un amas de lave séchée, grandiose. Je m'approche au plus près, le fût du 28-70 commence à chauffer sérieux dans ma main mais il faut que je fasse cette photo!
- #287077: Consulté 2641 fois
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Le compact qu'on a également avec nous à déjà rendu l'âme, plus moyens d'en tirer quoi que ce soit, il refonctionnera plus tard lorsque l'on sera redescendu à des températures plus clémentes. Le 7D lui ne bronche pas, il est bouillant, comme nous, mais toujours vaillant, là où nous on commence à accuser un peu le coup de la chaleur
J'Ă©ssaye encore de me rapprocher au max et je monte Ă 70mm:
- #287078: Consulté 2641 fois
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Ensuite, la redescente dans le noir, des images et des sons pleins la tĂŞte.
Changement de décor, on se rend sur les bords du lac Attitlan, d'après l'écrivain anglais Aldous Huxley, le plus beau lac du monde.
Je ne les ai pas tous pas vu et lui non plus, je pense, mais si ce n'est pas le plus beau, il doit s'en approcher très près:
Un panorama montrant le lac et les volcans (décidément ils ne nous lâchent plus) l'entourant.
- #287079: Consulté 2641 fois
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D'autres vues toujours avec les volcans en arrière plan:
- #287080: Consulté 2641 fois
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Ici on attend le bateau qui nous emmenra de l'autre coté du lac.
- #287081: Consulté 2641 fois
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C'est sous cette paillasse que j'ai pu pendant trois semaines, rafraichir mon espagnol, c'Ă©tait ma salle de classe quoi avec une vue imprenable!
- #287082: Consulté 2641 fois
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Beaucoup d'indigènes vivent dans les villages autour du lac.
- #287083: Consulté 2641 fois
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A plus!
Dernière édition par J.C le Mer 08 Mars 2017 22:35, édité 1 fois.
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Félicitation pour la réalisation de ce projet, bonne route et tout et tout....
je cite :
"avec parfois l'impression d'être des extra-terrestres, lorsque nous évoquions notre projet de partir à long terme et qui sait, définitivement. "
Pour moi c'est c'est qui n'ont jamais eu l'envie de faire ça qui sont bizarres!
Bonne continuation
je cite :
"avec parfois l'impression d'être des extra-terrestres, lorsque nous évoquions notre projet de partir à long terme et qui sait, définitivement. "
Pour moi c'est c'est qui n'ont jamais eu l'envie de faire ça qui sont bizarres!
Bonne continuation
Arf ça donne envie
va falloir que j'Ă©conomise ...
va falloir que j'Ă©conomise ...
D700 gripped - Nikkor : 24-70/2.8 + 70-200/2.8 VRII + PC-Micro 85/2.8 + TC1.4 + TC2vIII + 300/2.8VRII
"Photographier c'est mettre sur la mĂŞme ligne de mire la tĂŞte, l'oeil et le coeur." H. Cartier-Bresson
"Photographier c'est mettre sur la mĂŞme ligne de mire la tĂŞte, l'oeil et le coeur." H. Cartier-Bresson
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datri 
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Quel reportage !
Merci ,merci et encore merci ,et que dire de + que :
"alllez ! encore des photos "
Je vous tire quand même mon chapeau ,car il faut " en avoir " pour tout quitter comme ça . je ne dirais pas que je vous envie ,mais les paysages ,pays , personnages que vous rencontrez , me font envie d'en voir + alors ..
Bonne continuation ,et faites nous encore réver avec vos photos .....
Merci ,merci et encore merci ,et que dire de + que :
"alllez ! encore des photos "
Je vous tire quand même mon chapeau ,car il faut " en avoir " pour tout quitter comme ça . je ne dirais pas que je vous envie ,mais les paysages ,pays , personnages que vous rencontrez , me font envie d'en voir + alors ..
Bonne continuation ,et faites nous encore réver avec vos photos .....
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Salut a tous!
Cela fait longtemps que je n'ai pas pu vous donner de nouvelles, la raison est simple, nous nous trouvions au Honduras et les infrastructures sont plus que misérables, pas moyens de trouver une connexion satisfaisante.
Nous en avons donc terminer avec le Guatemala, nous n'avions pas prévu d'y passer 4 mois 8) mais ça valait vraiment le coup
Ce sera donc un post qui cloturera la série consacrée à ce magnifique pays.
Suite à plusieurs demande je nous présente:
Votre serviteur, toujours accompagné de ma meilleure moitié: Manuela.
Pour en finir avec SanPedro, où nous avons passé 3 semaines dans une famille, pour ceux qui ont du mal à suivre , nous avons eu la chance d'assister à un défilé de reines.
Chaque région du Guatemala à sa reine Maya, élue pour un an et représentant le peuple et la culture de sa région. Elles se retrouvent chaque année à San Pedro la Laguna sur les rives du lac Atitlan pour un défilé et des danses en costume traditionel. A la fin de la cérémonie la nouvelle reine de San Pedro sera présenté et toutes lui rendront hommage.
Mais avant cela il faut nettoyer l'endroit des mauvais esprits:
Et la musique ne doit pas manquer:
Le spectacle peut commencer:
Quelques images du marché de Cichicastenango, certainement l'un des plus bondé du Guatemala, l'église et ses marches sont le lieu de cérémonies de toutes sortes, beaucoup d'encens est brûlé, ce qui donne une certaine ambiance.
Seymuc Champey, un lieu incroyable, unique que l'on devrait s'empresser de mettre sur la liste de l'uneco comme patrimoine mondiale de l'humanité, rien que ça.
Il s'agit d'une rivière s'écoulant avec force au fond d'une vallée, cette rivière est recouverte par un "pont" naturel constitué de sédiment datant de plusieurs millions d'années, l'eau filtrant par les deux montagnes qui flanquent le pont vient se déposé sur celui-ci et au fil du temps 6 grands bassin se sont formés, l'eau les remplissant est transparente jusqu'au fond, plusieurs mètres à certains endroits. c'est comme si on avait 6 piscines à débordement consécutives par dessus une rivière
Le site entier vu d'en haut:
Les bassins:
Un autre site assez incroyable, une cascade d'eau chaude se jetant dans une rivière, l'eau de la cascade, prend sa source à une cinquantaine de mètres plus haut que la rivière. L'eau à la source est brûlante, elle se rafraichie doucement pour atteindre une température supportable permettant de se tenir sous la cascade pour prendre une bonne douche bien chaude, et bien sulfurée
Plus haut dans le département du Peten se trouve la petite ville de Flores.
Posé sur un lac et relié à la terre par une bande goudronée, c'est un endroit bien tranquille et très coloré où il fait bon vivre, c'est également de là que s'organise au mieux un trek de plusieurs jour dans la jungle. Ce que nous n'avons pas manqué de faire
Les couchers de soleil sont assez spectaculaires Ă Flores:
Nous avons donc passé 3 jours dans la jungle du Peten, nous nous sommes rendu sur le site archéologique "El Peru", il fait parti de ces sites perdus où les archéologues sont encore en train de faire des excavations.
La jungle du Peten est la deuxième plus grande après la forêt amazonienne, autant dire que l'on se sent tout petit dans cette immensité verte et que l'on a pas envie de se perdre
C'est également dans cette jungle que l'on trouve le site de Tikal, le plus connu du Guatemala, à juste titre, ce site est assez unique avec ses temples surnommés les "grattes-ciels Maya" qui montent a une hauteur impressionante jusqu'à dépassé la canopée.
Ici un petit montage panoramique:
Cela à été l'occasion de pouvoir enfin réussir des photos pas trop mal de singes-araignées. Ils sont assez difficile à photographier car toujours en mouvement, contrairement aux autres espèces. Il est rare d'avoir le temps de viser, de faire la MAP avant qu'ils ne changent de branche, souvent ils ne font que passer...
Ils sont également très agrssifs et n'hésite pas à jeter des branches ou des graines aux personnes/animaux se trouvant en dessous, ils vont même jusqu'à pisser ou déféquer sur l'intrus
Un magnifique serpent nous a également fait l'honneur de sa présence.
Incroyable, nous avons même débusqué un Toucan (4 en fait ) Le toucan est très timide et plutôt rare à observé, on a vraiment été verni sur cette sortie
A 300mm, dans la forĂŞt, dur de pas ĂŞtre flou sans monter a ISO je-sais-pas-combien
Paso Caballo, village perdu d'oĂą un de nos guides Ă©tait originaire.
Ce sont des graines de je ne sais plus quoi en train de sécher.
Nous changons de région pour monter plus dans les montagnes, brrrr, au village de Todos Santos, village remarquable pour ses habitants portant tous, sans exception, la tenue traditionelle, alors que dans le reste du Guatemala les hommes délaisse un peu l'habit typique, surtout les jeunes, à Todos Santos ils le portent tous,
du plus jeune...
...aux plus vieux
La tenue des femmes est une des plus finement travaillé du pays.
VoilĂ pour le Guatemala
Nous avons fait une incursion au Mexique, comme nous connaissions déjà le sud, nous voulions allés au nord, voir la frontière avec les USA et la Baja California... cela ne nous pas du tout plu et nous avons fait demi-tour après Guadalajara, c'était trop américanisé à notre goût et on en a eu marre du racisme des mexicains qui prennent tous les blancs pour des sales gringos mais qui paradoxalement s'empressent d'aller regarder les matchs de baseball à la télé
La seule ville au nord de Mexico city, qui a nos yeux vaut le coup, c'est Guanajuato. Cité coloniale classée patrimoine mondiale de l'humanité, capitale Cervantine (Cervantès, le papa de Don-Quichotte) de l'amérique latine.
Voilà , après ça nous sommes allés au Honduras, une erreur, on aurait mieux fait de passer par le Salvador....
Le Honduras est un paradis pour les plongeurs ou pour ceux qui veulent aprendre.
En effet leurs îles dans les caraîbes proposent les tarifs les plus bas, nul part ailleurs sur la planète on ne trouvera meilleur marché.
Les plages étant infesté de puces, il est hors de question d'y aller uniquement pour se dorer la pilule
Nous avons donc voulu visiter le centre et l'intérieur des terres et là , déception, rien de vraiment extra et des gens totalement indifférent a tout, voir mème agressifs. Je n'ai quasiment aucune photo du Honduras, ça m'a pas du tout inspiré...
Donc après m'être fait traité de F*** de p*** (si si ), sans aucune raison, par un type qui n'était même pas saoul , on a décidé d'aller voir au Nicaragua si notre présence sera mieux apprécié.
Et je dois dire qu'on a bien fait, le Nica s'annonce très bien, de la musique partout, des gens super gentils, c'est le jour et la nuit, ca fait plaisir.
Je vous dis donc a bientôt, avec plein, j'en suis sûr, de belles photos du Nicaragua
a plus
Cela fait longtemps que je n'ai pas pu vous donner de nouvelles, la raison est simple, nous nous trouvions au Honduras et les infrastructures sont plus que misérables, pas moyens de trouver une connexion satisfaisante.
Nous en avons donc terminer avec le Guatemala, nous n'avions pas prévu d'y passer 4 mois 8) mais ça valait vraiment le coup
Ce sera donc un post qui cloturera la série consacrée à ce magnifique pays.
Suite à plusieurs demande je nous présente:
Votre serviteur, toujours accompagné de ma meilleure moitié: Manuela.
Pour en finir avec SanPedro, où nous avons passé 3 semaines dans une famille, pour ceux qui ont du mal à suivre
, nous avons eu la chance d'assister à un défilé de reines.Chaque région du Guatemala à sa reine Maya, élue pour un an et représentant le peuple et la culture de sa région. Elles se retrouvent chaque année à San Pedro la Laguna sur les rives du lac Atitlan pour un défilé et des danses en costume traditionel. A la fin de la cérémonie la nouvelle reine de San Pedro sera présenté et toutes lui rendront hommage.
Mais avant cela il faut nettoyer l'endroit des mauvais esprits:
Et la musique ne doit pas manquer:
Le spectacle peut commencer:
Quelques images du marché de Cichicastenango, certainement l'un des plus bondé du Guatemala, l'église et ses marches sont le lieu de cérémonies de toutes sortes, beaucoup d'encens est brûlé, ce qui donne une certaine ambiance.
Seymuc Champey, un lieu incroyable, unique que l'on devrait s'empresser de mettre sur la liste de l'uneco comme patrimoine mondiale de l'humanité, rien que ça.
Il s'agit d'une rivière s'écoulant avec force au fond d'une vallée, cette rivière est recouverte par un "pont" naturel constitué de sédiment datant de plusieurs millions d'années, l'eau filtrant par les deux montagnes qui flanquent le pont vient se déposé sur celui-ci et au fil du temps 6 grands bassin se sont formés, l'eau les remplissant est transparente jusqu'au fond, plusieurs mètres à certains endroits. c'est comme si on avait 6 piscines à débordement consécutives par dessus une rivière
Le site entier vu d'en haut:
Les bassins:
Un autre site assez incroyable, une cascade d'eau chaude se jetant dans une rivière, l'eau de la cascade, prend sa source à une cinquantaine de mètres plus haut que la rivière. L'eau à la source est brûlante, elle se rafraichie doucement pour atteindre une température supportable permettant de se tenir sous la cascade pour prendre une bonne douche bien chaude, et bien sulfurée
Plus haut dans le département du Peten se trouve la petite ville de Flores.
Posé sur un lac et relié à la terre par une bande goudronée, c'est un endroit bien tranquille et très coloré où il fait bon vivre, c'est également de là que s'organise au mieux un trek de plusieurs jour dans la jungle. Ce que nous n'avons pas manqué de faire
Les couchers de soleil sont assez spectaculaires Ă Flores:
Nous avons donc passé 3 jours dans la jungle du Peten, nous nous sommes rendu sur le site archéologique "El Peru", il fait parti de ces sites perdus où les archéologues sont encore en train de faire des excavations.
La jungle du Peten est la deuxième plus grande après la forêt amazonienne, autant dire que l'on se sent tout petit dans cette immensité verte et que l'on a pas envie de se perdre
C'est également dans cette jungle que l'on trouve le site de Tikal, le plus connu du Guatemala, à juste titre, ce site est assez unique avec ses temples surnommés les "grattes-ciels Maya" qui montent a une hauteur impressionante jusqu'à dépassé la canopée.
Ici un petit montage panoramique:
Cela à été l'occasion de pouvoir enfin réussir des photos pas trop mal de singes-araignées. Ils sont assez difficile à photographier car toujours en mouvement, contrairement aux autres espèces. Il est rare d'avoir le temps de viser, de faire la MAP avant qu'ils ne changent de branche, souvent ils ne font que passer...
Ils sont également très agrssifs et n'hésite pas à jeter des branches ou des graines aux personnes/animaux se trouvant en dessous, ils vont même jusqu'à pisser ou déféquer sur l'intrus
Un magnifique serpent nous a également fait l'honneur de sa présence.
Incroyable, nous avons même débusqué un Toucan (4 en fait
) Le toucan est très timide et plutôt rare à observé, on a vraiment été verni sur cette sortie A 300mm, dans la forêt, dur de pas être flou sans monter a ISO je-sais-pas-combien
Paso Caballo, village perdu d'oĂą un de nos guides Ă©tait originaire.
Ce sont des graines de je ne sais plus quoi
en train de sécher.Nous changons de région pour monter plus dans les montagnes, brrrr, au village de Todos Santos, village remarquable pour ses habitants portant tous, sans exception, la tenue traditionelle, alors que dans le reste du Guatemala les hommes délaisse un peu l'habit typique, surtout les jeunes, à Todos Santos ils le portent tous,
du plus jeune...
...aux plus vieux
La tenue des femmes est une des plus finement travaillé du pays.
VoilĂ pour le Guatemala
Nous avons fait une incursion au Mexique, comme nous connaissions déjà le sud, nous voulions allés au nord, voir la frontière avec les USA et la Baja California... cela ne nous pas du tout plu et nous avons fait demi-tour après Guadalajara, c'était trop américanisé à notre goût et on en a eu marre du racisme des mexicains qui prennent tous les blancs pour des sales gringos mais qui paradoxalement s'empressent d'aller regarder les matchs de baseball à la télé
La seule ville au nord de Mexico city, qui a nos yeux vaut le coup, c'est Guanajuato. Cité coloniale classée patrimoine mondiale de l'humanité, capitale Cervantine (Cervantès, le papa de Don-Quichotte) de l'amérique latine.
Voilà , après ça nous sommes allés au Honduras, une erreur, on aurait mieux fait de passer par le Salvador....
Le Honduras est un paradis pour les plongeurs ou pour ceux qui veulent aprendre.
En effet leurs îles dans les caraîbes proposent les tarifs les plus bas, nul part ailleurs sur la planète on ne trouvera meilleur marché.
Les plages étant infesté de puces, il est hors de question d'y aller uniquement pour se dorer la pilule
Nous avons donc voulu visiter le centre et l'intérieur des terres et là , déception, rien de vraiment extra et des gens totalement indifférent a tout, voir mème agressifs. Je n'ai quasiment aucune photo du Honduras, ça m'a pas du tout inspiré...
Donc après m'être fait traité de F*** de p*** (si si
), sans aucune raison, par un type qui n'était même pas saoul , on a décidé d'aller voir au Nicaragua si notre présence sera mieux apprécié.Et je dois dire qu'on a bien fait, le Nica s'annonce très bien, de la musique partout, des gens super gentils, c'est le jour et la nuit, ca fait plaisir.
Je vous dis donc a bientôt, avec plein, j'en suis sûr, de belles photos du Nicaragua
a plus
Dernière édition par J.C le Ven 24 Août 2012 15:30, édité 2 fois.
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FrenchFreeSurfer 
- Messages : 156
- Inscription : 06 Oct 2007
- Localisation : Bordeaux
- Contact :
Je suis sur le cul. Vraiment génial ce reportage. La suite, vite .......
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Le Rescator 
- Messages : 277
- Photos : 2
- Inscription : 11 Mai 2007
- Localisation : Belgique
Euh, ben moi je dirais qu'après Seymuc Champey, c'est vous deux qui mériteriez d'étoffer la liste de l'Unesco ...
Très jaloux mais trés impatient aussi de découvrir la suite
vous nous êtes précieux alors continuez de nous faire rêver
Encore merci et vite Ă bientĂ´t.
Frédéric.
Très jaloux mais trés impatient aussi de découvrir la suite
vous nous êtes précieux alors continuez de nous faire rêver
Encore merci et vite Ă bientĂ´t.
Frédéric.
Salut,
continuez de nous faire réver, vous êtes nos yeux dans ce périple et l'impatience de voir de nouvelles photos et de lire les comptes-rendus de vos randonnées nous font oublier le mauvais temps automnal.
Prenez bien garde Ă vous
continuez de nous faire réver, vous êtes nos yeux dans ce périple et l'impatience de voir de nouvelles photos et de lire les comptes-rendus de vos randonnées nous font oublier le mauvais temps automnal.
Prenez bien garde Ă vous
bravo, vraiment, je viens d'arpenter le reportage, ca donne envie...de protéger les joyaux de la planète!
Ce reportage est merveilleux, tres bien réalisé. Merci ! en attendant la suite
Ce reportage est merveilleux, tres bien réalisé. Merci ! en attendant la suite
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