Les poireaux font de la moto : la mobylette
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Corinne 'tite route - Messages : 10880
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- Inscription : 04 DĂ©c 2007
- Localisation : Entre le saint-nectaire et la fourme d'Ambert
- reçus
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Bonjour,
Depuis quelques années maintenant, je fais des reportages textes+photos sur pas mal de courses de moto. Jusqu'à présent, quand j'ai partagé des photos ici, c'était plutôt déconnecté du texte, avec une sélection des photos qui me semblaient les meilleures. Sauf que, du coup, ça perd un peu de sens par rapport à la manière dont je fais les photos, ça les isolait alors qu'elles font partie d'un tout et que les photos sans le texte me paraissent fades tout autant que le texte me semble avoir du mal à se passer des photos. Mon but est avant tout de raconter une histoire et d'utiliser pour ça les deux moyens que j'aime le plus : l'écriture et la photo. Donc je tente de mettre mon dernier reportage directement complet ici. C'est un peu long, mais comme dit une phrase avant, le but du jeu est de raconter une histoire complète
Direction Carcassonne
Ca ne vous manquait pas, vous, le bruit des moteurs, la concentration des pilotes, les commissaires au bord de la piste, les stands où les mécanos s'affairent ? Moi, si, un peu.
En ce mois de juin, j'aurais aimé aller sur l'Ile de Man pour voir le TT, mais mon emploi du temps ne me le permettait pas. Alors pour quand même assouvir mon besoin de voir des pilotes transpirer, de la bécane préparée, des vitesses de fou et des angles de malade, je suis allée à Carcassonne pour voir une course d'endurance de... mobylettes.
Samedi midi, après un trajet (presque) sous le lever de soleil à travers le Cantal, l'Aveyron et la Montagne Noire, j'arrive aux abords du circuit de kart Win'kart, pour retrouver les membres du Gold Coast Racing. Le nom sonne bien. En tout cas mieux qu' un "Equipe de la Côte d'Or" ou "Ils sont forts et fins", vu qu'ils sont originaires de Dijon.
1- Gold Coast Racing
2- L'Ă©quipe
Leur destrier ? Une mobylette préparée avec amour (et peu de moyens) pendant toutes les soirées du mercredi depuis le début de l'année, abandonnant femmes et enfants pendant ces longues heures pour optimiser leur bolide (et boire des bières). Pour au final se voir recaler parce que le réglement stipule que le moteur doit être d'origine. Arglllll ! Confiants dans leur moteur qui leur permet de participer sans problème à d'autres courses, ils ne se sont pas assez penchés sur le règlement. L'ambiance étant plutôt détendue et bon enfant, les organisateurs ne les mettent pas hors du bitume mais les autorisent à prendre le départ. Le GCR sera chronométré pendant la course et simplement déclassé à la fin.
A 13 h, départ de la course façon Bol d'Or : les pilotes d'une côté de la piste, les mob tenues par un mécano de l'autre, les pilotes courent monter sur leur bécane, les mécanos poussent pour démarrer les moteurs. Et c'est parti pour 24 h dans un nuage de fumée bleue et un concert strident de moteurs de petite cylindrée (bouchons d'oreille obligatoires).
3- Avant le départ
4- Façon Bol d'Or
Ce qui est bien avec une course de petites cylindrées, c'est qu'elle est accessible à beaucoup de monde. Tournent notamment les élèves d'un lycée dans le cadre d'un projet pédagogique, avec 4 scooters engagés. Ou cette vénérable jaune n°33 du Team Papy Mob's qui prendra sa retraite à la fin de la course. Elle aura fait les 24 h, mais à son rythme (1'15 au meilleur tour quand d'autres tournaient en moins de 55 secondes). La différence de niveau se retrouve dans la vitesse mais aussi dans la manière d'appréhender les virages.
5 - Déhancher ou ne pas déhancher, that's the question
6 - Rien ne sert de courir...
Autre différence avec les courses d'endurance avec des grosses cylindrées, c'est l'accès à la piste pour la photographe que je suis. D'habitude, il faut une accréditation demandée à l'avance, il y a parfois des restrictions horaires. Là , il a suffi d'une discussion avec les organisateurs (grand merci à eux), d'un gilet jaune, d'une explication sur certains points (rester près des commissaires, ne pas se mettre à l'extérieur des virages) et surtout de faire attention au moment de traverser la piste. C'est donc la première fois que je suis autorisée à traverser un circuit pendant une course : bien regarder à droite et se dépêcher.
Pour le reste, et bien ça ressemble fort à une course d'endurance. Les tours se succèdent, les mob penchent, les virages s'enchaînent.
7 - Différentiel de vitesse
8 - A l'attaque visière ouverte
9 - Filé
10 -Course poursuite
Surviennent également les inévitables pannes : un moteur qui ratatouille, une chaîne qui saute, un virage mal négocié qui se termine en tonneau et oblige à rentrer remettre la mob en état correct. Pour nos Dijonnais, c'est la chaîne qui fait des siennes, elle saute plusieurs fois mais aura le bon goût de tenir jusqu'au bout.
11 - Panne
12 - Pousse, mécano, pousse
13 - Chaîne en fin de vie
Comme dans toute endurance, les pauses ravitaillement et changement de pilote sont indispensables, précédés par le panneautage pour indiquer au pilote qu'il va devoir bientôt sortir. Par contre, pas besoin de changer les pneus, ils tiendront toute l'endurance. C'est économique, une course en mob !
14 - Stop
15 - Le plein
16 - Et ça repart
Les heures passent et arrive ce que je préfère : la nuit. Las, la pluie a décidé de l'accompagner et vient pendant deux bonnes heures ajouter un peu de glissant à la piste. Elle oblige les pilotes à revêtir la combi pluie sous le gilet jaune obligatoire pour les repérer sur la piste.
17 - Riding under the rain
18 - Les stands se vident
19 - Enfilage de combi pluie
Pendant que les pilotes tournent, l'assistance roupille dans les stands. Sauf les malheureux qui doivent se pencher sur la mécanique.
20 - Comme sur un nuage
21 - Un petit somme
22 - Séance réparation
L'aube finit par arriver.
23
Et les tours continuent de s'enchaîner sous le soleil qui est réapparu.
24
Autour de la piste, les traits sont un peu tirés. Non pas par l'effort physique, conduire une petite cylindrée n'a rien à voir avec un gros cube. Mais cela reste une endurance et le manque de sommeil se fait un peu ressentir. En plus des cernes sous les yeux, les mécanos ont les mains noires des interventions effectuée sur les mobs.
25 - Mains de mécano
La matinée passe, midi, puis 13 h : les 24 h de course se sont écoulées, le drapeau à damiers est baissé. S'il n'avait pas été déclassé, le GRC aurait pointé en 7ème position pour laquelle les pilotes se sont bagarrés toute la nuit, faisant comme si, l'important étant de participer. Venant de loin, ils ont eu droit à une coupe. C'est dire le bon esprit avec lequel la course a été organisée.
26 - Drapeau Ă damiers
27 - Remise de coupe
Au final, une bonne endurance, une ambiance très sympa et pas prise de tête, des angles de têtus pour certains, une course accessible à tous les niveaux : c'était bien !
Depuis quelques années maintenant, je fais des reportages textes+photos sur pas mal de courses de moto. Jusqu'à présent, quand j'ai partagé des photos ici, c'était plutôt déconnecté du texte, avec une sélection des photos qui me semblaient les meilleures. Sauf que, du coup, ça perd un peu de sens par rapport à la manière dont je fais les photos, ça les isolait alors qu'elles font partie d'un tout et que les photos sans le texte me paraissent fades tout autant que le texte me semble avoir du mal à se passer des photos. Mon but est avant tout de raconter une histoire et d'utiliser pour ça les deux moyens que j'aime le plus : l'écriture et la photo. Donc je tente de mettre mon dernier reportage directement complet ici. C'est un peu long, mais comme dit une phrase avant, le but du jeu est de raconter une histoire complète
Direction Carcassonne
Ca ne vous manquait pas, vous, le bruit des moteurs, la concentration des pilotes, les commissaires au bord de la piste, les stands où les mécanos s'affairent ? Moi, si, un peu.
En ce mois de juin, j'aurais aimé aller sur l'Ile de Man pour voir le TT, mais mon emploi du temps ne me le permettait pas. Alors pour quand même assouvir mon besoin de voir des pilotes transpirer, de la bécane préparée, des vitesses de fou et des angles de malade, je suis allée à Carcassonne pour voir une course d'endurance de... mobylettes.
Samedi midi, après un trajet (presque) sous le lever de soleil à travers le Cantal, l'Aveyron et la Montagne Noire, j'arrive aux abords du circuit de kart Win'kart, pour retrouver les membres du Gold Coast Racing. Le nom sonne bien. En tout cas mieux qu' un "Equipe de la Côte d'Or" ou "Ils sont forts et fins", vu qu'ils sont originaires de Dijon.
1- Gold Coast Racing
2- L'Ă©quipe
Leur destrier ? Une mobylette préparée avec amour (et peu de moyens) pendant toutes les soirées du mercredi depuis le début de l'année, abandonnant femmes et enfants pendant ces longues heures pour optimiser leur bolide (et boire des bières). Pour au final se voir recaler parce que le réglement stipule que le moteur doit être d'origine. Arglllll ! Confiants dans leur moteur qui leur permet de participer sans problème à d'autres courses, ils ne se sont pas assez penchés sur le règlement. L'ambiance étant plutôt détendue et bon enfant, les organisateurs ne les mettent pas hors du bitume mais les autorisent à prendre le départ. Le GCR sera chronométré pendant la course et simplement déclassé à la fin.
A 13 h, départ de la course façon Bol d'Or : les pilotes d'une côté de la piste, les mob tenues par un mécano de l'autre, les pilotes courent monter sur leur bécane, les mécanos poussent pour démarrer les moteurs. Et c'est parti pour 24 h dans un nuage de fumée bleue et un concert strident de moteurs de petite cylindrée (bouchons d'oreille obligatoires).
3- Avant le départ
4- Façon Bol d'Or
Ce qui est bien avec une course de petites cylindrées, c'est qu'elle est accessible à beaucoup de monde. Tournent notamment les élèves d'un lycée dans le cadre d'un projet pédagogique, avec 4 scooters engagés. Ou cette vénérable jaune n°33 du Team Papy Mob's qui prendra sa retraite à la fin de la course. Elle aura fait les 24 h, mais à son rythme (1'15 au meilleur tour quand d'autres tournaient en moins de 55 secondes). La différence de niveau se retrouve dans la vitesse mais aussi dans la manière d'appréhender les virages.
5 - Déhancher ou ne pas déhancher, that's the question
6 - Rien ne sert de courir...
Autre différence avec les courses d'endurance avec des grosses cylindrées, c'est l'accès à la piste pour la photographe que je suis. D'habitude, il faut une accréditation demandée à l'avance, il y a parfois des restrictions horaires. Là , il a suffi d'une discussion avec les organisateurs (grand merci à eux), d'un gilet jaune, d'une explication sur certains points (rester près des commissaires, ne pas se mettre à l'extérieur des virages) et surtout de faire attention au moment de traverser la piste. C'est donc la première fois que je suis autorisée à traverser un circuit pendant une course : bien regarder à droite et se dépêcher.
Pour le reste, et bien ça ressemble fort à une course d'endurance. Les tours se succèdent, les mob penchent, les virages s'enchaînent.
7 - Différentiel de vitesse
8 - A l'attaque visière ouverte
9 - Filé
10 -Course poursuite
Surviennent également les inévitables pannes : un moteur qui ratatouille, une chaîne qui saute, un virage mal négocié qui se termine en tonneau et oblige à rentrer remettre la mob en état correct. Pour nos Dijonnais, c'est la chaîne qui fait des siennes, elle saute plusieurs fois mais aura le bon goût de tenir jusqu'au bout.
11 - Panne
12 - Pousse, mécano, pousse
13 - Chaîne en fin de vie
Comme dans toute endurance, les pauses ravitaillement et changement de pilote sont indispensables, précédés par le panneautage pour indiquer au pilote qu'il va devoir bientôt sortir. Par contre, pas besoin de changer les pneus, ils tiendront toute l'endurance. C'est économique, une course en mob !
14 - Stop
15 - Le plein
16 - Et ça repart
Les heures passent et arrive ce que je préfère : la nuit. Las, la pluie a décidé de l'accompagner et vient pendant deux bonnes heures ajouter un peu de glissant à la piste. Elle oblige les pilotes à revêtir la combi pluie sous le gilet jaune obligatoire pour les repérer sur la piste.
17 - Riding under the rain
18 - Les stands se vident
19 - Enfilage de combi pluie
Pendant que les pilotes tournent, l'assistance roupille dans les stands. Sauf les malheureux qui doivent se pencher sur la mécanique.
20 - Comme sur un nuage
21 - Un petit somme
22 - Séance réparation
L'aube finit par arriver.
23
Et les tours continuent de s'enchaîner sous le soleil qui est réapparu.
24
Autour de la piste, les traits sont un peu tirés. Non pas par l'effort physique, conduire une petite cylindrée n'a rien à voir avec un gros cube. Mais cela reste une endurance et le manque de sommeil se fait un peu ressentir. En plus des cernes sous les yeux, les mécanos ont les mains noires des interventions effectuée sur les mobs.
25 - Mains de mécano
La matinée passe, midi, puis 13 h : les 24 h de course se sont écoulées, le drapeau à damiers est baissé. S'il n'avait pas été déclassé, le GRC aurait pointé en 7ème position pour laquelle les pilotes se sont bagarrés toute la nuit, faisant comme si, l'important étant de participer. Venant de loin, ils ont eu droit à une coupe. C'est dire le bon esprit avec lequel la course a été organisée.
26 - Drapeau Ă damiers
27 - Remise de coupe
Au final, une bonne endurance, une ambiance très sympa et pas prise de tête, des angles de têtus pour certains, une course accessible à tous les niveaux : c'était bien !
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Mes photos au fil des mois
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J'adore ! tes filés sont magnifiques. Le "différentiel de vitesse" m'a rappelé certains épisodes de Joe Bar team (je lui fais l'intérieur)
A99 ii+VG-C77, A700, 16 fisheye, 50/1.4, 50/2.8 D, 85 CZ, 100/2, 100/2.8 D, 135 STF, 500/8, 16-35 CZ, 24-70 CZ, 70-200 SSM II, 3x-1x f/1.7-2.8, Sony x1.4, HVL-F20 M, HVL-F60 M, 5600 HS-D
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gregdakt - Animateur
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- donnés / reçus
Dami1 a écrit :Excellent reportage, les photos et le texte sont excellents et vont tres bien ensemble (pref a la 7 pour le filé)
Merci
oui, ça c'est du reportage ! tout y est bravo !
A7rII - FE 50/1,8 - FE 90/2,8 Macro - FE 20/1,8 - FE 200-600
et aussi OM 50 Shembra - OM 24 f2,8 - OM 100-200 - Samyang 500 f6,3 (+doubleur) - Samyang 8 f2,8 fisheye - Canon MPE 65
RX100 m6
Un fil pour avancer
et aussi OM 50 Shembra - OM 24 f2,8 - OM 100-200 - Samyang 500 f6,3 (+doubleur) - Samyang 8 f2,8 fisheye - Canon MPE 65
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Zedthedragon - Messages : 9059
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Idem à Fangio, ambiance et réalisation, tip top, bravo Corinne
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ben21 - Galeriste
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- reçus
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Une joli reportage comme on les aime, bravo Corinne et merci de le partager
Un sentiment d'abus de clarté/contraste dans le traitement des premières images de jour et en couleur. Bon mon écran n'est pas terrible je peux me tromper.
Un sentiment d'abus de clarté/contraste dans le traitement des premières images de jour et en couleur. Bon mon écran n'est pas terrible je peux me tromper.
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jeanma - Messages : 3371
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Tu as bien fait de mettre le texte. L'immersion est bien plus sympa et chaque photo a sa place. Merci pour le partage
Sony A99 RX100,24-70/2.8, 70-200/2.8, 20mm/2.8
Minolta 1.4/85mm
Manfrotto Tripode, monopode, tĂŞte pano 303 MH057A5
Filtres Lee...
Mon chti fil et quelques clichés persos sur FLICKR
Minolta 1.4/85mm
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Corinne 'tite route - Messages : 10880
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Merci à vous, ça fait plaisir de voir que le principe vous plaît
Il y a un côté Joe Bar Team dans le pilote avec la combi verte, dans sa façon de se tenir sur la mob
J'applique le même traitement global pour toutes les photos, donc normalement, si ça le fait sur les premières, ça devrait le faire sur les suivantes. Après, l'ensoleillement n'était pas le même, ça doit jouer sur le rendu.
Ca fait notamment suite Ă la discussion qu'on avait eue sur un autre reportage, suite Ă laquelle je m'Ă©tais justement dit que j'allais tenter la publication de l'ensemble d'un reportage et non pas de morceaux choisis
Il y a un côté Joe Bar Team dans le pilote avec la combi verte, dans sa façon de se tenir sur la mob
ben21 a écrit :Un sentiment d'abus de clarté/contraste dans le traitement des premières images de jour et en couleur. Bon mon écran n'est pas terrible je peux me tromper.
J'applique le même traitement global pour toutes les photos, donc normalement, si ça le fait sur les premières, ça devrait le faire sur les suivantes. Après, l'ensoleillement n'était pas le même, ça doit jouer sur le rendu.
jeanma a Ă©crit :Tu as bien fait de mettre le texte. L'immersion est bien plus sympa et chaque photo a sa place. Merci pour le partage
Ca fait notamment suite Ă la discussion qu'on avait eue sur un autre reportage, suite Ă laquelle je m'Ă©tais justement dit que j'allais tenter la publication de l'ensemble d'un reportage et non pas de morceaux choisis
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Mes photos au fil des mois
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Zedthedragon - Messages : 9059
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Je suis revenu voir la 23 plusieurs fois
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Bug Killer - Messages : 13225
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- Localisation : Loir-et-Cher
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J'aime ce reportage. La 20 est super et ce n'est pas la seule. Ils montent Ă combien avec leurs mobs ?
BK : EOS 7D+BG-E7, 10-22, 15-85 IS, 70-200/4L IS, 100-400L IS, Sigma 30/1.4, 580 EX II, PowerShot G5X
KB : EOS D40D+BG-E2, 18-200 IS, 70-300 IS, RX10M3
MK : EOS 80D, 10-18 STM, 15-85 IS, 50/1.8
CK : EOS 700D, 24 pancake, S17-70, T70-300
Sites Errances photographiques et Vintage pin-ups
KB : EOS D40D+BG-E2, 18-200 IS, 70-300 IS, RX10M3
MK : EOS 80D, 10-18 STM, 15-85 IS, 50/1.8
CK : EOS 700D, 24 pancake, S17-70, T70-300
Sites Errances photographiques et Vintage pin-ups
Salut Corinne, chouette reportage;
ça m'a ramené loin, loin en arrière ... l'odeur de ricin, les serrages de pistons, les perlages de bougies .... 80/90 km/h en pointe !!!
la 6, la 10, la 23
ça m'a ramené loin, loin en arrière ... l'odeur de ricin, les serrages de pistons, les perlages de bougies .... 80/90 km/h en pointe !!!
la 6, la 10, la 23
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Papirisson - Messages : 1111
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- Inscription : 16 Juin 2014
- Localisation : 33500 Libourne
Je ne vais pas commenter telle ou telle photo, c'est l'ensemble que j'applaudis
A58; 18/55 II; 2,8/85 Sony; HSD 5600.
PSP X7, OptikVerve VirtualStudio, XnviewMP.
PSP X7, OptikVerve VirtualStudio, XnviewMP.
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Corinne 'tite route - Messages : 10880
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- reçus
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Merci
C'est un peu la perle du week-end Je vais sans doute faire un grand tirage pour le copain qui est dessus (et qui m'a incitée à aller voir la course).
Comme les moteurs doivent être en partie d'origine (je suis comme le GCR, je ne me suis pas trop penchée sur le réglement), ce ne sont pas des monstres de puissance. Les moyennes au tour sont entre 55 et 65 km/h. Pour la vitesse de pointe, aucune idée, mais sans doute les 80/90 dont parle ZZOOMM grand maximum.
Zedthedragon a Ă©crit :Je suis revenu voir la 23 plusieurs fois
C'est un peu la perle du week-end Je vais sans doute faire un grand tirage pour le copain qui est dessus (et qui m'a incitée à aller voir la course).
Bug Killer a Ă©crit :J'aime ce reportage. La 20 est super et ce n'est pas la seule. Ils montent Ă combien avec leurs mobs ?
Comme les moteurs doivent être en partie d'origine (je suis comme le GCR, je ne me suis pas trop penchée sur le réglement), ce ne sont pas des monstres de puissance. Les moyennes au tour sont entre 55 et 65 km/h. Pour la vitesse de pointe, aucune idée, mais sans doute les 80/90 dont parle ZZOOMM grand maximum.
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Bug Killer - Messages : 13225
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80-90, c'est le double d'une mob normale. Il doit falloir très bien préparer le moteur pour qu'il tienne 24h d'affilée. Merci pour ce reportage sympa.
BK : EOS 7D+BG-E7, 10-22, 15-85 IS, 70-200/4L IS, 100-400L IS, Sigma 30/1.4, 580 EX II, PowerShot G5X
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MK : EOS 80D, 10-18 STM, 15-85 IS, 50/1.8
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