ear_78 a écrit :Le RTS III il apportait quoi au RTS II ?
Le RTS III c'est un gros boîtier de classe professionnelle alors que le RTS II reste amateur. Pour moi il n'y a pas filiation.
Le RTS III se caractérise par son aspirateur dans le dos!
Pour un piqué maximal, le presseur de film est muni de pettiets alvéoles d'aspiration pour assurer une planeité maximale du film 135 dans la fenêtre de prise de vue.
C'était un appareil qui intéressait les pros du studio (qui voulaient s'affranchir du grand et moyen format) aussi était-il bien armé en fonctions de pilotage d'éclairage.
Pour plus il faut que je relise ou que j'amène la notice au restaurant. Je peux ce n'est ni lourd ni encombrant.
Amicalement
! Le RTS II était bien le boitier professionnel de la seconde génération Contax, tant par sa construction (c'est un tank tout métal à la finition sans reproche) que pour ses caractéristiques à l'époque: obturateur titane, 1/2000ème, verre de visée interchangeable, viseur 98 % (c'était très bien à l'époque - 1982), obturateur de viseur, miroir relevable, affichage par diodes, rappel du diaph dans le viseur.... Sa gamme d’accessoires (8 verres de visée, moteur dont un 5i/s, dos dateur, power pack externe...) était typée pro aussi. 
). 1/8000ème, visée 100%, moteur intégré (plus de levier d'armement), synchro flash à toutes les vitesses, mesure spot, correction dioptrique intégrée, bracketing automatique, presse-film à aspiration... Il gagne aussi l'automatisme priorité vitesse (en plus de la priorité ouverture et du manuel) comme tous les Contax de 3ème génération (sauf S2 et S2b), avec au passage modification de la monture (qui reste compatible avec les boitiers précédent).
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